- Pour ses premiers vœux, Hollande veut donner des raisons d'espérer aux Français.
- Ayrault confirme que la taxation à 75% "sera rétablie" pour les revenus 2013.
Dont acte .
la loi à venir devrait avoir pour but non pas de rendre possibles les statistiques ethniques¹, mais de les rendre obligatoires, dans tous les domaines où elles sont pertinentes, comme le recommande la directive 2000/43/CE du Conseil de l'Union Européenne.
"Nous sommes tous d'honnêtes gens, embrassons nous !" |
À l’heure où certaines questions de société s’imposent plus que jamais comme d’actualité, l’ancien secrétaire d’État Yves Jégo, député de la troisième circonscription de Seine-et-Marne, vient de prendre clairement position sur Twitter en faveur du mariage homosexuel et du droit de vote des étrangers, positions qu’il indique comme siennes depuis dix ans [...] La suite sur Novopress.
Montesquieu dit que la peur est le "principe" du despotisme, autrement dit ce qui le "fait agir", ce qui lui permet de fonctionner en tant que système. Or il y a deux manières possibles d'actionner ce levier. Le pouvoir peut faire peur par lui-même (manière directe), mais il peut aussi rester dans la coulisse et en pousser d'autres sur le devant de la scène (manière indirecte). Ce n'est pas ici le pouvoir lui même qui fait peur (police, justice etc.) mais mais ceux qu'il pousse sur le devant de la scène à sa place (voyous délinquants et criminels).
[...] il est tout à fait inexact de dire que les gouvernements européens se contentent de subir passivement l'immigration . La vérité est au contraire qu'ils l'encouragent de mille et une manières [...] Tout simplement parce qu'ils considéreraient qu'il est de leur intérêt même de la laisser se développer. Non seulement elle ne leur porte en rien préjudice, mais elle leur profite. [...] Elle leur a été d'un précieux secours pour maintenir et consolider leur position dominante par rapport au reste de la population.
Eric Werner - L'avant-guerre civile
Le gouvernement envisagerait de donner une allocation transport, destinée à compenser une augmentation du gas-oil (dont il serait question) aux bénéficiaires de la CMU (ai-je-bien entendu ?) même aux personnes ne disposant pas de véhicule (là je suis sûr, j'ai bien entendu) .
La déclaration de guerre est autorisée par le Parlement.On peut donc en retenir que le gouvernement demande au Parlement (Sénat plus Assemblée) la déclaration de guerre.
Le Gouvernement informe le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l’étranger, au plus tard trois jours après le début de l’intervention. Il précise les objectifs poursuivis. Cette information peut donner lieu à un débat qui n’est suivi d’aucun vote.
Lorsque la durée de l’intervention excède quatre mois, le Gouvernement soumet sa prolongation à l’autorisation du Parlement. Il peut demander à l’Assemblée nationale de décider en dernier ressort.
Si le Parlement n’est pas en session à l’expiration du délai de quatre mois, il se prononce à l’ouverture de la session suivante.
6 novembre 2012 Communiqué de l'Institut du Pays LibreLe rapport Louis Gallois : « beaucoup de bruit pour rien » !Le rapport de Louis Gallois, brandi et évoqué avec une grandiloquente solennité proche du grotesque par le Premier Ministre Ayrault et exalté comme un sublime programme de salut public économique et social par le vaniteux ministre du redressement industriel Montebourg, mérite vraiment le titre de la comédie de Shakespeare : « Beaucoup de bruit pour rien ». Mais son indigence est telle qu’il sera beaucoup plus vite oublié que la pièce du génial dramaturge.On y trouve encore heureusement quelques justes constats et lieux communs de bon sens sur la maladie de l’économie française tels que formulés avant lui depuis des décades par les acteurs de la vie industrielle et les militants de la Droite de conviction.Pour dénoncer la ruineuse hypertrophie administrative de l’État et des collectivités publiques et de leurs chevauchements, on n’avait vraiment pas attendu ce « grand industriel » !Observons que si Louis Gallois a l’honnêteté élémentaire de faire remonter « le décrochage de l’industrie française aux années 1970 », le citoyen politicien Ayrault l’impute seulement aux dix dernières années. Son rapport est ensuite constitué d’une belle compilation de souhaits dans une utilisation répétée du conditionnel sur ce qu’il vaudrait mieux que l’on fasse plutôt que de ne pas le faire.L’affligeant c’est que monsieur Gallois ne s’avise pas du tout de remonter des effets aux causes réelles de la maladie économique qui est d’abord une maladie politique et sociale et à vrai dire une maladie morale. Pas un mot sur notre système étatisé, sclérosé, massifié, idéologisé d’éducation nationale ! Le simple constat sans la moindre esquisse de critique qu’il est « budgétairement sanctuarisé ».Passons sur ce jargon. Mais prenant cet exemple de sanctuarisation comme modèle, Gallois, en parfait socialiste, en propose l’extension à « la recherche publique et au soutien à l’innovation ». Comme si un regard critique sur les gabegies nombreuses en ces domaines ne s’imposait pas.Louis Gallois ne remet pas davantage en cause la stupide loi des 35 heures alors que c’est sur la base des 40 heures la souplesse sur le temps de travail qu’il faut introduire en facilitant notamment dans les accords d’entreprise la possibilité du travail à mi-temps ou à temps partiel. Mesure efficace de lute contre le chômage.Louis Gallois n’esquisse même pas la nécessité de simplifier et diminuer, un peu sur le modèle du Japon, le nombre aberrant de nos collectivités territoriales et de leurs comités de liaison et de coordination surgissant sans cesse. Une quarantaine de « généralités » pourraient, à un moindre coût, succéder aux départements et aux régions.Prônant essentiellement le transfert des charges sociales sur la fiscalité directe et indirecte, Louis Gallois demeure, à l’évidence par sclérose idéologique, dans un affligeant conformisme. Tout cela pour tomber sur un chiffre « convenable » de 30 millions d’économie.Mais on ne trouve pas un mot de jugement dans son texte sur les choix si contestables, voire aberrants, de la politique française en matière européenne, de commerce international, d’écluses douanières et de flux de population.Louis Gallois n’a pas l’envergure de caractère du Baron Louis, ce grand ministre des finances qui adjurait ainsi Louis Philippe en 1830 : « Sire, faites moi de la bonne politique et je vous ferai de bonnes finances ! ».Il aimait rappeler aussi que « L’État doit être le plus honnête homme de France ».Bernard Antony.
encore quatre ans pour le pire ... |
Louis René Fernand Gallois, né le 26 janvier 1944 à Montauban dans le Tarn-et-Garonne, est un haut fonctionnaire et dirigeant d'entreprise français.© Wikipédia
Président de la SNCF de juillet 1996 à juillet 2006, il est nommé co-président d'EADS le 2 juillet 2006 et PDG d'Airbus le 9 octobre de la même année, en remplacement de Christian Streiff. Fait rare, lors de son départ de la SNCF, même les syndicats ont salué les qualités de ce patron atypique. Il avouera cependant au magazine Challenges que « franchement, je ne pensais pas rester dix ans à la SNCF. Je suis venu par hasard. Je n'étais pas prédestiné ». Le 16 juillet 2007, il est nommé PDG d'EADS ce qui met fin à la structure bicéphale de l'entreprise. C'est le 14e patron le mieux payé de France avec 2,5 millions € en 2008. Son mandat a pris fin le 31 mai 2012.
Le 10 octobre 2011, il fonde La Fabrique de l'Industrie, un laboratoire d'idées, destiné à ouvrir et stimuler la réflexion sur les enjeux et les perspectives de l'industrie. Il est également président de la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS), une fédération française d'organismes et d'associations proposant aux personnes en situation de grave détresse sociale un accueil, un hébergement et une aide à la réinsertion sociale.
Quarante ans après la fin de la guerre d'Algérie, l'armée française est aujourd'hui mise en accusation.Lancée par le parti communiste, soutenue par les anciens porteurs de valises, les professionnels de la repentance et leurs relais, une campagne de presse d'une violence inouïe vise à mettre au pilori ceux qui ont dû dans des circonstances dramatiques, assumer la responsabilité du rétablissement de l'ordre face au terrorisme.
A cette nouvelle offensive contre l'honneur de l'armée française, il n'est qu'une réponse, celle de la Vérité.
C’est elle qu'ont cherché à retracer, dans sa complexité, les historiens, les journalistes et les témoins de l'époque qui se sont associés à un groupe d’officiers de réserve, pour réaliser ce "Livre Blanc de l'armée française en Algérie" [...]
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.Duflot, souhaite donc que les logements vacants soient réquisitionnés pour héberger "les mals-logés".