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lundi 26 décembre 2011

Déclaration de la future ex-directrice du FMI

L'économie mondiale est "dans une situation dangereuse" et les dirigeants européens doivent accélérer la mise en oeuvre des mesures décidées notamment lors du sommet de Bruxelles, a déclaré dimanche 25 décembre Christine Lagarde.

vendredi 23 décembre 2011

Le texte de la proposition de loi

PROPOSITION DE LOI
Article 1er
Le premier alinéa de l’article 24 bis de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est remplacé par cinq alinéas ainsi rédigés :
« Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l’article 24 ceux qui auront fait l’apologie, la négation ou la banalisation grossière publiques des crimes de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre, tels qu’ils sont définis de façon non exclusive :
« 1°) par les articles 6, 7 et 8 du statut de la Cour pénale internationale créée à Rome le 17 juillet 1998 ;
« 2°) par les articles 211-1 et 212-1 du code pénal ;
« 3°) par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 ;
« et qui auront fait l’objet d’une reconnaissance par la loi, une convention internationale signée et ratifiée par la France ou à laquelle celle-ci aura adhéré, par une décision prise par une institution communautaire ou internationale, ou qualifiés comme tels par une juridiction française, rendue exécutoire en France. »
Article 2
L’article 48-2 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est ainsi modifié :
1° Après le mot : « déportés », sont insérés les mots : « , ou de toute autre victime de crimes de génocide, crimes de guerre, crimes contre l’humanité ou des crimes ou délits de collaboration avec l’ennemi ».
2° Après le mot : « apologie », sont insérés les mots : « des génocides, ».
Je paie le champagne à celui qui me dira où est citée la Turquie ou les Arméniens dans ce texte.

Cette loi comme les précédentes de même nature est inutile et nuisible en ce qu'elle est contraire à l'esprit de la déclaration des Droits de l'Homme dans ses articles 10 et 11 :
Art. 10
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi. 
Art. 11
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi.  


Mais commme chacun le sait les Droits de l'Homme en France sont limités par la Loi qui leur est supérieure. Les parlementaires et le gouvernement peuvent se permettre n'importe quoi .

En l'occurence ils auraient mieux fait de s'abstenir, mais je rouve très intéressant que cela permette de bien faire apparaitre le caractère islamo-totalitaire du régime Turc. Un bienfait pour nous et pour l'Europe.
Continuez monsieur Erdogan, les anti-européïstes  vous aiment ...pour ce que vous faites. Ils ne pouvaient en espérer tant.

Erdogan dévisse.

Si le président français M. Sarkozy ne sait pas qu'il y a eu un génocide, il peut demander à son père Pal Sarkozy (...) qui a été légionnaire en Algérie dans les années 1940», a déclaré Erdogan. «Je suis sûr qu'il (Pal Sarkozy) a beaucoup de choses à dire à son fils sur les massacres commis par les Français en Algérie», a-t-il poursuivi, avant de conclure: «Les Algériens ont été brûlés collectivement dans des fours. Ils ont été martyrisés sans pitié».
Ce gars est clairement fou, par contre je tiens à sa disposition le "livre blanc de l’armée française en Algérie"où photos à l'appui il pourra découvrir que, finalement, les méthodes des Bachi-Bouzouks et du  FLN n'étaient pas si différentes que ça, ce qui n'a rien d'extraordinaire, tous étant inspirés par la religion d’amour de tolérance et de paix.
Rompons les relations diplomatiques avec ces sauvages, virons tous les Turcs qui encombrent nos cités, ça nous fera un peu d'air, et mettons notre veto à leur entrée dans l'Europe, bloquons les importations en provenance de la Turquie et basta ! Franchement que peut bien nous apporter une Turquie islamiste et fondamentaliste ?

Eva Joly vue de Madagascar

Grâce au site Delanopolis, je vous livre aujourd'hui un article édifiant sur la candidate verte Eva Joly, publié dans un journal réunionnais, relatif au rôle joué à Madagascar par Mme Eva Joly lorsqu'elle conseillait le président  malgache Marc Ravalomanana un grand amoureux de la France.



Cliquer sur l'image pour l'agrandir.

jeudi 22 décembre 2011

Lois mémorielles. Une de plus !

Le débat et surtout les remous politiques engendrés par la loi mémorielle relative à la condamnation de toute négation de génocide est particulièrement symptomatique de l'état de désordre mental qui s'est installé chez nous . Particulièrement symptomatique aussi du désordre d'un système qui en vient à se mordre la queue  quand une victime présupposée (par définition un pays ou un peuple non européen et/ou non chrétien) en vient à être le bourreau d'une plus-victime que soi. Ce qui met du sel dans l'affaire, c'est que contrairement à la doxa admise jusqu'à présent la victime,le peuple arménien, est plutôt chrétien, quand les bourreaux, la Turquie et ses nervis kurdes, sont musulmans.
C'est sans doute l'aboutissement ultime du processus de Nuremberg qui allie lois pénales  rétroactives, preuves non étayées, et parti-pris idéologique de la justice. L'ajustice aurait-on envie d'écrire.
Il va maintenant être difficile à l’État français, en vertu de ses propres lois, de nier le génocide vendéen, voire à l'Italie de nier la responsabilité des Romains dans les massacres commis par César il y a 2000 ans et quelques en Gaule.
Au gré des circonstances et de ses intérêts, chacun aura son génocide en réserve à jeter comme ultime argument à la face de l'autre.


Quelqu'un qui n'aurait jamais ouvert un code pénal pourrait à tort s'imaginer qu'un génocide implique une destruction massive d'un peuple ou d'un groupe de personnes déterminé en vue de le faire disparaitre de la surface de la Terre.

    C'est un peu ce que faisaient les vainqueurs antiques lorsqu'un peuple leur résistait trop. C'est aussi ce que préconisait le doctrine musulmane jusqu'à il n'y a pas si longtemps lorsque les offres de reddition étaient refusées. Depuis ils n'ont fait que perdre les guerres, aussi on ne sait pas comment la doctrine a évolué, quoique le Kosovo nous en donne un peu l'aperçu.


Mais en fait la définition pénale du génocide c'est un peu un inventaire à la Prévert qui regroupe tout et n'importe quoi. Cela va de la tentative d'extermination d'un peuple, ce qui tombe sous le sens, à la soumission à des conditions d'existence de nature à entrainer la destruction totale ou partielle du groupe. Ici on ne juge plus sur les morts  survenues mais sur le fait qu'elles auraient pu survenir, aucun délai n'étant fixé. Pour conclure on enchaîne sur les mesures tendant à entraver les naissances et le transfert forcé d'enfants.

Autre subtilité, on ne parle pas seulement de peuple mais de groupe déterminé à partir de de tout autre caractère arbitraire. La définition valant, il me semble, autant du point de vue du bourreau que du point de vue du juge. Rien n'empêche le juge ou les victimes de définir a postriori qu'un génocide a bien été commis.
C'est d'ailleurs le cas pour les Arméniens. Y -a-t-il volonté concertée  d'exterminer un peuple — point de vue arménien — ou bien une réaction disproportionnée contre ceux qui étaient jugés les alliés de l'ennemi occidental  ? (on est alors en pleine Grande Guerre et les Alliés ont débarqué à Galipoli) — point de vue turc — même si en fait les massacres d'Arméniens ont commencé avant la guerre et se sont perpétués après.
Au titre d'entrave des naissances, la loi Veil pourrait parfaitement entrer dans le cadre du génocide, bien que le Conseil constitutionnel, saisi à l'époque, ait alors refusé de statuer. Quant aux transferts d'enfants orphelins réunionnais vers des familles paysannes françaises, organisé par Michel Debré, ils entrent parfaitement dans le canevas.
Naturellement l'esclavage, surtout celui des peuples d'Afrique par les peuples d'Europe, est de facto admis dans le domaine, même si finalement il a entrainé peu de morts directes (personne n'avait intérêt à la mort d'esclaves)  et a contribué à répandre les peuples africains à la surface du globe, dans des endroits qu'ils n'auraient jamais atteint sans cela. Mais il y a effectivement la soumission à des conditions de nature à,  fut-ce pendant une durée limitée.


En vertu de son propre droit, la France va devoir répondre à des actions incessantes en justice, payer des compensations, se traîner nue et à genoux jusqu'à Canossa ou la mosquée Al Aqsa, implorer le pardon de ses "victimes" , plutôt de leurs descendants gras et repus de la 10ème génération, même s'ils sont devenus depuis des Français à part entière comme les gens d'origine africaine, où l'étaient déjà, comme les Vendéens, pour ne citer que ces deux exemples.


En fait, comme les précédentes lois mémorielles, cette nouvelle loi est bien plus à usage intérieur qu'extérieur et les Turcs auraient bien tort de se faire du mouron pour ça.


Et après on voudrait nous faire croire que les parlementaires français servent encore à quelque chose ?

lundi 19 décembre 2011

Science sans conscience ...

Le Quotidien du Médecin rapporte les propos de Marc Peschanski, directeur scientifique du laboratoire I-Stem (Evry), qui estime que l'arrêt du 18 octobre 2011 de la Cour Européenne de Justice excluant de la brevetabilité tout procédé utilisant des cellules souches embryonnaires humaines et entraînant la destruction de l'embryon (Cf. Synthèse de presse du 18/10/12) repose "sur une argumentation purement idéologique".
Selon le chercheur, cet arrêt "va très loin" parce qu'il concerne "toute application de cellules parthénogéniques". Selon Marc Peschanski, cette décision pourrait avoir des répercussions en terme de collaboration et de financement des recherches en Europe.

Le chercheur, qui prépare actuellement un essai clinique pour des greffes de peau à partir de cellules souches embryonnaires, s'était vu refuser par l'Office européen une demande de brevet pour un bioréacteur capable de faire proliférer des cellules souches embryonnaires humaines dans des conditions industrielles. Marc Peschanski proteste que son métier est "de faire de la science, de la publier, d'obtenir des résultats qui se traduisent par des applications que les uns ou les autres peuvent breveter". Il déplore donc que la Cour européenne ait jeté "l'anathème" sur les cellules souches embryonnaires humaines et explique que la décision de la Cour de Justice rendra plus difficile l'obtention d'investissements dans ce type de recherche en Europe.

En France, cet arrêt de la Cour européenne de Justice a fait écho au maintien de l'interdiction de la recherche sur l'embryon humain suite à la révision de la loi de bioéthique du 7 juillet 2011. En effet, sauf dérogation s'appuyant sur "la pertinence scientifique du projet de recherche", sa susceptibilité "de permettre des progrès médicaux majeurs" et si les chercheurs ne peuvent parvenir au même résultat par une méthode n'ayant pas recours à des embryons humains, les recherches sur les cellules embryonnaires ou l'embryon humain ne sont pas autorisées dans le pays. Le gouvernement français semble vouloir favoriser les recherches alternatives. En 2012, le Parlement se verra remettre un rapport du gouvernement sur "les pistes de financement, notamment public, et de promotion de la recherche en France sur les cellules souches adultes et issues de cordon ombilical, ainsi que sur les cellules souches pluripotentes induites".
Source Le Quotidien du médecin via Contact Gènéthique

ça se passe de commentaire  !

Départ d'Iraq

Les Américains quittent l'Iraq, la queue basse, en laissant un pays dévasté en proie aux religieux attardés et fanatiques.
Ce pays qui, sous l'impulsion du baassisme, avait réussi peu ou prou — il y a des pesanteurs dures à vaincre — à s'extirper de la gangue islamique, qui avait connu des avancées sociales que l'on ne peut pas nier, quoi que l'on pense de feu Saddam Hussein, a néanmoins, grâce aux USA réussi un exploit, celui d'inventer le voyage dans le temps . Dans le passé bien entendu.

Je me demande depuis plusieurs années, et les récents "printemps" semblent confirmer mes interrogations, si le véritable but des USA n'a pas été, dès le début, de casser les régimes arabo-musulmans qui avaient fait un ou plusieurs pas sur le chemin d'un progressisme susceptible de favoriser l'émergence d'un nationalise arabe. Si c'est cela, leur mission a été une parfaite réussite. Les mondialistes, alliés à l'obscurantisme islamique ont vaincu !
Certes l'Iraq, comme la Tunisie, l'Egypte, ou la Syrie et a fortiori la Libye,  n'était pas un modèle de démocratie à l'occidentale. Mais  il est des temps et des régions où l'on demande d'abord la paix, ensuite la paix et le reste après.
Désormais, il n'y a plus de reste et il n'y a plus de paix  et si elle revient, son poids sera encore plus pesant que sous la période de Saddam Hussein, lequel se contentait de museler ses opposants. Dans le futur régime il ne fera pas bon ne pas être musulman, ou Sunnite ou Chiite selon les endroits, ou persophone ou arbophone ou kurdophone ou bédouin ou citadin ... j''imagine que l'on peut dérouler ce schéma sur plusieurs longueurs. Et ne parlons même pas du calvaire des Chrétiens.

Sur le plan intérieur, aux USA, la guerre d'Iraq a réveillé les vieux démons du Viet-Nam. On est assez loin de l'élan patriotique de l'après 2001, qui faisait considérer que tout ceux qui ne suivaient pas l'Amérique étaient des traîtres (dont nous, vieille tradition anglo-saxonne) .
La guerre d'Iraq a enrichi les pourvoyeurs en matériel et denrées, de l'armée américaine, mais a encore alourdi la dette des USA. Cela n'est jamais évoqué, mais je doute qu'on ne puisse pas lui attribuer une bonne part dans le déclenchement de "la crise".
Enfin, la guerre d'Iraq, a fragilisé à l’extrême, la domination militaire des pays occidentaux, ce qui est une source d'instabilité planétaire. La guerre d'Afghanistan et celle de Libye ont confirmé cela malgré les apparences trompeuses de victoire en Libye.
Il est désormais démontré qu'en cas de guerre asymétrique entre des pays de niveaux technologique et culturel vraiment très différents, les armées occidentales et a fortiori l'armée américaine, peuvent renvoyer un pays à l'âge de pierre ou presque, mais ne sont pas en mesure de tenir durablement le terrain, ce qui depuis la plus haute Antiquité est le seul signe tangible de victoire militaire. Ce qu'avaient parfaitement réussi les armées occidentales du XIXe siècle, les armées occidentales du XXIe ne peuvent plus le faire. L'idéal ni les motivations spirituelles ne sont plus là.
On ne meurt pas pour un chiffre d'affaire ni pour des banques mondiales.


dimanche 18 décembre 2011

Prix de la Carpette Anglaise 2011



L’académie de la Carpette anglaise s’est réunie le 15 décembre 2011. Le jury, présidé par Philippe de Saint Robert, était composé de représentants du monde associatif et littéraire.
Au deuxième tour de scrutin, par huit voix sur douze, la Carpette anglaise 2011 a été décernée à M. Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, pour promouvoir avec vigueur l’usage de la langue anglaise de la maternelle aux grandes écoles et pour faire de la télévision publique en anglais aux heures de grande écoute (sous-titré en français) un des enjeux de son parti et de la prochaine élection présidentielle (article disponible en ligne, intitulé « Les Français must speak english », 3 février 2011).
Le prix spécial du jury à titre étranger  a été décerné au premier tour de scrutin, par onze voix sur douze, à la compagnie Ryanair, présidée par M. Michael O’Leary, pour avoir imposé, en Espagne, aux femmes enceintes de plus de vingt-huit semaines un certificat médical exclusivement rédigé en anglais, y compris pour les vols intérieurs (menaçant de ne plus desservir les aéroports ne se pliant pas à cette exigence). (AFP, Madrid, 13 septembre 2011.).
Anne Cublier, Hervé Bourges, Benoît Duteurtre, Alain Gourdon, Yves Frémion et Dominique Noguez sont membres de cette académie.

Euthanasie d'une nation


Avec la décision d'ouvrir Sciences Politiques à la diversité sans concours et sans épreuve de culture générale, le système vient de scier une des dernières branches sur lesquelles il était assis.
Jusqu'à présent, le peuple avait l'impression plus ou moins diffuse d'être trahi par ses élites, car la France maintenait tout de même, malgré les pauvres résultats de son éducation nationale, une forme d'élitisme.
L’ascenseur social avait beau être grippé, les fameuses élites complètement contaminées par une idéologie mortifère, les difficultés des concours étaient réelles et il y avait quand même peu de chances qu'un conseiller de ministre issu des Grandes Écoles confonde Charlemagne et Charles X ou pense que la dynastie des Bourbon avait des interêts dans une grande marque de whisky américain.

Désormais 5 ans après l'accès de l'inculture revendiquée au pouvoir, Il n' aura plus d'élite du tout.


Nicolas Sarkozy s'en prend à la princesse de... par rue89

On  pourra se régaler des fautes d'orthographe dans les circulaires officielles, voire dans les lois ou règlements. On pourra déguster les à-peu-près historiques.
On verra s'installer définitivement et officiellement  le vaudou, la chiromancie, le chamanisme dans les antichambres ministérielles.
A la place d'ingénieurs, on aura des imprécateurs délégués par telle ou telle tribu. Et pourquoi pas, dans quelques dizaines d'années, on reviendra aux sacrifices d'animaux avant toute décision d'importance.
Bref on touchera du doigt la matérialisation de ce slogan :

Ensemble tout est possible.

à moins que ce ne soit

Ensemb' touté possib'

jeudi 15 décembre 2011

Question de point de vue

Quand un ancien président de la république, ancien maire de la capitale, ancien premier ministre, ancien dirigreant du premier parti de France est condamné à deux ans de prison avec susris pour abus d'influence et autres broutilles, selon les maîtres à penser de l'opinion française cela prouve que "la démocratie française fonctionne bien".
Franchement ce n'est pas tout à fait comme ça que je vois les choses .


RDDV en GAV

Plusieurs faits divers méritent notre attention. Je ne m'attarderai pas sur le massacre de Liège, qualifié dès les premières minutes, de "non terroriste". Normal que les autorités bêlantes et islamophiles protègent ainsi un assassinat de groupe commis par un immigré maghrébin, des fois que ça nuirait à leurs chers protégés. Il voulait parait-il aller à Wouaquebarre, mais personne ne savait où c'était. Sans doute en pays flamand ?

Par contre quand un Italien tue des immigrés, l'ombre de la bête immonde n'est pas loin.
Mais d'autres blogueurs ont déjà écrit sur le sujet et comme ils ont tout bien dit je n'insisterai pas.

Non, moi le fait divers qui me plait bien, c'est le passage en garde à vue de RDDV ou Renaud Donnedieu de Vabre . Outre ce que cela continue à révéler sur l'état de complète pourriture de la classe politique, il me sied  que cet individu, grand pourfendeur de l'extrême droite et moralisateur d'internet, en fait, traqueur de la liberté d'expression, goûte aux joies saines de la République laïque et démocratique.


dimanche 11 décembre 2011

Boute-en-train

Boute-en-train : animal, mâle ou femelle que l'on utilise pour mettre l’animal de sexe opposé en état de s'accoupler mais que l'on retire prestement pour faire intervenir un reproducteur et recueillir son sperme.

Eh bien j'ai comme l'impression que comme en 2007, notre baudet des Pyrénées, va nous la jouer style je t'aime, moi non plus pour finalement laisser la place à un candidat plus membré, si je peux utiliser cette image un peu osée.
Qu'a donc à nous proposer, dans la situation actuelle, ce partisan inconditionnel de la construction européenne dans la lignée de  Monet à Barroso  à part des circonvolutions de langage ?
Mais bon, les Français sont à la fois lâches et immatures politiquement, le baudet va bien nous taper un 15% voire plus si Sarkozy s'effondre emporté par la crise.



samedi 10 décembre 2011

Coup d'Etat et forfaiture

En fait les semi-échecs ou semi-réussites du sommet européen n'en sont pas. Ce sommet ne fait qu'entériner la position traditionnelle de la Grande-Bretagne que rappelait Zbigniew "Londres a choisi de rester à l'écart du jeu européen," position déjà posée en 1955 " Vous discutez un traité qui ne sera jamais ratifié, s'il était ratifié il ne sera jamais appliqué, s'il était appliqué, il serait irrecevable par la Grande-Bretagne".
En fait les mondialistes comme Zbigniew Brzezinski, s'accommodent parfaitement d'une Europe qui ne soit que continentale, la Grande-Bretagne pouvant toujours servir de "porte-avions" ancré au large de l'Union.

L'élément important, c'est le passage en force du couple Merkozy auquel la défection du Royaume-Uni permet de faire l'économie d'un traité, donc d'un référendum ou d'une consultation solennelle devant les parlements. Il ne s'agira que d'un accord intergouvernemental dont les procédures d'approbation seront à l'évidence plus souples, plus rapides et surtout plus discrètes.
Comme pour le Traité de Lisbonne, il s'agit de renforcer l'intégration européenne en s'épargnant de consulter les peuples.

Il ne s'agit ni plus ni moins que d'un second coup d'Etat en ce qui nous concerne.

Le pouvoir s'arroge des droits sur notre vie, notre descendance, notre argent ,droits qu'il n'a pas quand bien même on lui reconnaitrait d'être notre représentant selon des procédés qui restent discutables. Son mandat n'est pas infini et de tels chambardements, sciemment organisés sous couvert d'une crise qui n'est ni plus ni moins justifiée qu'il y a quinze ou vingt ans, nécessitent d'en référer au peuple autrement que par des sondages et des conférences de presse servies par des journalistes aux ordres.

La crise ?
Un autre moyen de faire la guerre que mènent les dirigeants contre leurs propres sujets !


jeudi 8 décembre 2011

Vote des étrangers


La revanche de Bouvines

On va encore dire que je verse dans le complotisme mais observez bien les points suivants.

On assiste depuis quelques semaines  à deux manœuvres concertées, d'une part la mise sous pression, ou supposée telle, des Etats européens par les agences de notations, d'autre part à une gesticulation au sommet de l'Union européenne, gesticulation menée par le "couple" franco-allemand, en vue de réduire de manière drastique la liberté de manoeuvre des pays européens sous l'égide de l'Allemagne.
On veut nous faire croire que la menace éventuelle d'une dislocation de la zone euro ferait le bonheur secret des USA.
Que nenni bonnes gens.
L'Europe a été portée sur les fronts baptismaux par les Américains, qui souhaitent que le monde se réduise à quelque zones monétaires et que l'Europe se fédère sous l'autorité de l'Allemagne.
Tout cela a été dévoilé par Zbigniew Brzezinski, dans son ouvrage "Le Grand Echiquier : L'Amérique et le reste du monde", déjà de nombreuses fois cité ici, véritable bible de la mondialisation sous coupe américaine.
La France était considérée par ces mondialistes comme une empêcheuse de tourner en rond.. Or les USA ne conçoivent l'UE que sous direction allemande considérée comme plus docile aux suggestion d'outre-atlantique. La crise, en mettant la France à genoux, par la faute de ses "élites", résout le problème de primauté.

Or que constate-t-on objectivement, que les Etats européens ont été gentillement poussés à s'endetter, puis qu'une crise financière survenue aux Etas-Unis a surtout des conséquences en Europe.
L’Europe ficelée par une monnaie commune se trouve désormais devant le dilemme suivant : que chaque État abdique sa souveraineté entre les mains d'un organisme bidon, qui sera, de fait, dans les mains de l'Allemagne, à cause de l'influence que l'Allemagne a et aura dans l'UE pour, en contrepartie, avoir sa dose de méthadone financière, des prêts pour payer ses intérêts ; ou bien exploser, déclencher une crise sociale de première grandeur, voire une guerre civile, pour finalement être rachetés par lots par des pays ayant trop d'argent disponibles dans leurs caisses, mais surtout complètement annexés, voire pourquoi pas annexés "pour maintenir la paix".

Bref méditez bien la phrase de "nicolas l'Américain " ainsi que lui même se surnomme :

Il n'y aura pas de seconde chance pour la zone euro, ébranlée par la crise des dettes souveraines, si le Conseil européen ne prend pas vendredi de décision sur les réformes nécessaires.

Réformes par ailleurs évoquées dans la conférence de presse du 5 décembre.
  • Sanctions automatiques en cas de non respect de la règle du déficit,
  • contrôle des budgets par les juges, c'est à dire fin de la séparation des pouvoirs,
  • mise en œuvre du mécanisme européen de stabilité un an plus tôt que prévu et mise en œuvre de la majorité qualifiée donc fin de la règle de l'unanimité,
  • confirmation de l'indépendance de la BCE  vis à vis du politique.
Tout ce qui faisait la spécificité de la politique française est définitivement mis au rancart. La France est définitivement et les mondialistes l'éspèrent, pour longtemps, rentrée dans le rang.
La conférence de presse du 05 décembre, c'est la revanche de Bouvines qui a vu le roi de France mettre fin à sa vassalité à l'égard de l'Empereur Germanique (Le roi est empereur en son royaume).








mercredi 7 décembre 2011

La France conservera son AAA

Malgré les déclarations de défaitistes qui n'auraient pas été abreuvés du nouveau lait patriotique qui étanche la soif de nos zélites, la France conservera son triple A contre vents et marées. N'en déplaise à certains !



Il sera juste adpaté aux circonstances et au nouvel environnement dans lequel nous devons désormais évoluer.



lundi 5 décembre 2011

du réchauffement climatique et de la panne mentale

Je lisais l'autre jour sur le blog d'un éditorialiste d'un journal connu, un billet comparant les postures sur l'Euros et la viscosité mentale affirmée de ceux qui remettaient en cause le réchauffement climatique, sous entendu (mais à peine) le rôle de l'homme dans ce réchauffement.

Il n'y a pas de doute que le climat s'est réchauffé ces dernières années, se réchauffe-t-il encore, les avis sont partagés. Peut-on valablement, sur une période d'un siècle et quelques années de collecte de données, parler valablement de réchauffement ou de refroidissement ?
Dans son ouvrage, Histoire humaine et comparée du climat, Leroy Ladurie montre bien comment, sans recul, il est difficile de tirer des conclusions définitives. Les années froides et chaudes se succèdent, pareil pour les années sèches et humides, de même pour les décennies, les siècles, les millénaires peut-être. Or le moins que l'on puisse dire, c'est qu’actuellement nous sommes le nez dans le guidon. Tout évènement climatique ordinaire devient une catastrophe du siècle, de mémoire humaine etc.

Il y a  30 ans c'est au contraire un refroidissement important que nous prévoyaient les scientifiques. Il faut dire qu'à l'époque plusieurs hivers rigoureux s'étaient succédé entre les années 60 et 80. En 63 ou 64, la mer gelait en Bretagne sur la côte Sud, j'ai vu de mes yeux dans la même décennie des cascades gelées dans le Morvan. En 78/79, la région parisienne était bloquée entre Noël et le premier de l'an par un mètre de neige. Seuls les tanks de l'armée pouvaient ouvrir les routes ! Dans les années 80 les aérodromes du nord de la Bretagne étaient bloqués par le neige pendant quelques jours, les lignes à haute tension de l'Ouest se brisaient sous le poids de la glace.
A l'appui de cette hypothèse, le fait que notre époque se situe à ce qui semble être un pic de réchauffement entre deux périodes glaciaires.  Une inconnue aussi, c'est qu'on n'a que de vagues hypothèses sur les raisons qui ont bien pu déclencher les réchauffements et les refroidissements dans les temps passés.

La peur du réchauffement repose sur deux axiomes. Le premier postule que nous serions fautifs, le second que ce serait mauvais pour la planète considérée comme un être vivant.

Ne serait-ce que pendant les 2000 ans que nous connaissons bien, plusieurs réchauffements et refroidissements ont alterné et nous sommes toujours là.
Si on remonte encore plus loin dans le temps, sur plusieurs dizaines de milliers d'années d'abord, sur plusieurs millions d'années ensuite, il y a eu des périodes de froid extrême et des périodes de chaleur extrême. Et pourtant nous sommes là. Pendant les périodes chaudes on chassait en string en Alaska et pendant les périodes froides, on nageait tranquillement dans le Hoggar.

Un des points d'appui des réchauffistes, c'est à dire ceux qui tiennent l'homme pour responsable des changements de climat, c'est le taux de gaz carbonique dans l'atmosphère.
On ne va pas faire le tour des hypothèses scientifiques mais on peut au moins citer une controverse sur le dégagement de gaz carbonique. Pour les partisans d'une cause humaine dans le réchauffement, les émissions de gaz précèdent et sont la cause du réchauffement, pour d'autres  ça n'en n'est que la conséquence.
En fait dans tout cela, le réchauffement n'a pas d'importance en soi. Ce qui compte, à l'heure où la religion traditionnelle de l'Occident semble régresser, c'est de recréer une nouvelle religion avec sa déesse Gaïa, ses interdits, ses péchés, son péché originel et tutti quanti.
Écraser l'homme sous le péché du réchauffement pour mieux le tenir et le diriger voilà le vrai but. Contrairement au péché originel  de la religion chrétienne, ce péché ne se rachète pas puisque la faute c'est d'exister — Je respire donc je pollue — . Le seul rachat c'est nécessairement la disparition de l'espèce. Belle religion que celle-là !

Comme dans toute religion naissante, les hérétiques, les mécréants, les apostats, les non croyants sont sévèrement ostracisés. On n'en est pas encore à les agresser physiquement, mais j'ai bon espoir que cela  se produise sous peu. Les principes scientifiques ne jouent plus, on adopte la théorie aux voix. Cette théorie regroupe plus de (centaines de scientifiques) et est reconnue par les gouvernements de (dizaines de pays) donc elle est vraie et il n'y plus lieu dans discuter. Notez bien elle est vraie, donc ce n'est plus une théorie, c'est un dogme nécessairement religieux, parce qu'une théorie c'est un outil dont on se sert pour progresser, pas une fin en soit.
Si demain l'expérience scientifique sur les neutrinos prouvait définitivement que la vitesse de la lumière n'est pas fixe et que des neutrinos peuvent se déplacer plus vite que C alors la théorie générale de la relativité qui explique beaucoup de phénomènes scientifiques, mais pas tous, serait remise en cause et on en élaborerait une autre.

Selon certains scientifiques Russes, on va droit vers un refroidissement extrêmement important d'ici au plus une cinquantaine d'années. Ont-ils tort ou raison je ne sais pas, mais j'aimerais bien voir la tête des donneurs de leçon actuels si d'aventure ces Russes  avaient raison.

dimanche 4 décembre 2011

A propos de la crise

Le Coche et la Mouche

Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au Soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche.
Femmes, Moine, vieillards, tout était descendu.
L'attelage suait, soufflait, était rendu.
Une Mouche survient, et des chevaux s'approche ;
Prétend les animer par son bourdonnement ;
Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment
Qu'elle fait aller la machine,
S'assied sur le timon, sur le nez du Cocher ;
Aussitôt que le char chemine,
Et qu'elle voit les gens marcher,
Elle s'en attribue uniquement la gloire ;
Va, vient, fait l'empressée ; il semble que ce soit
Un Sergent de bataille allant en chaque endroit
Faire avancer ses gens, et hâter la victoire.
La Mouche en ce commun besoin
Se plaint qu'elle agit seule, et qu'elle a tout le soin ;
Qu'aucun n'aide aux chevaux à se tirer d'affaire.
Le Moine disait son Bréviaire ;
Il prenait bien son temps ! une femme chantait ;
C'était bien de chansons qu'alors il s'agissait !
Dame Mouche s'en va chanter à leurs oreilles,
Et fait cent sottises pareilles.
Après bien du travail le Coche arrive au haut.
Respirons maintenant, dit la Mouche aussitôt :
J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.
Ca, Messieurs les Chevaux, payez-moi de ma peine.
Ainsi certaines gens, faisant les empressés,
S'introduisent dans les affaires :
Ils font partout les nécessaires,
Et, partout importuns, devraient être chassés.
Jean de La Fontaine

samedi 3 décembre 2011

vendredi 2 décembre 2011

Y'en a marre !

Je ne le supporte plus cet agité du bocal qui discours après discours nous prend pour des demeurés ou des imbéciles.
Cet homme est au pouvoir depuis bientôt vingt ans et a occupé des fonctions clés dans un gouvernement comme ministre du Budget, ministre de l'Intérieur et ministre de l'Economie et des Finances.
Cet homme est donc parfaitement au courant des choix financiers et économiques qui ont été opérés dans le pays, en particulier quand c'était sous son impulsion ou sa direction.



Il sait bien quelles ont été les erreurs commises, pourquoi et les conséquences qu'elles ont eues et continuent d'avoir.
Ce n'est pas à cet homme de venir maintenant nous expliquer ce que nous devons faire pour pallier ses erreurs et renflouer les caisses.
Nous nous passerons de lui et de toute sa clique pour remettre le pays en route.

Ce n'est pas à un homme qui à contribué à la submersion de ce pays sous les vagues d’immigration successives, à celui qui a donné une place politique, en France, à l'islam de venir nous expliquer qu'il faut maitriser l'immigration. Maitriser quoi quand parallèlement il refuse un réel contrôle aux frontières, lui  qui a été des gouvernements qui ont établi le droit du sol. Probablement que près de 30% de la population actuelle est d'origine africano-musulmane et beaucoup sont français de papier. Contrôler quoi  ? vraiment quel enfantillage !



Lui qui a largement contribué à décrédibiliser l'Europe avec le putsch de Lisbonne, vient nous parler de plus de démocratie dans l'Europe . Il faut dire qu'il a une vision très orwellienne de la démocratie : "L'Europe plus démocratique, c'est l'Europe où ce sont les responsables politiques qui décident". Responsables tous cooptés pour ce qui concerne l'état-major bruxellois, rappelons-le. Responsables qui en France ne rendent aucun compte aux citoyens sauf tous les cinq ans, le jeu étant aors de trouver un bon sujet de diversion pour éviter de parler de l'essentiel. Ainsi on nous parle régulièrment du vote des étrangers pour éviter de parler du seul sujet qui vaille en la matière, la présence des étrangers, qu'aucune raison ne justifie. Ainsi on évite de parler de tout le reste, comme de la politique européenne, de l'incapacité de la classe politique de réformer le pays, ligotés qu'ils sont par une clientèle politique etc, etc.



Dans son discours de Toulon, Il fait la bonne analyse de la situation, c'est à dire qu'il sait discerner les causes, du moins certaines causes, mais comme d'habitude, il apporte les mauvaises réponses. Il dit même tout et son contraire.
Quand la France perd son tissu économique, source de chômage et finalement source de dettes, lui, propose des frontières ouvertes, quand on constate que l'Euro a été le moyen de briser les économies nationales par cause de son extrême rigidité, empêchant les pays de s'adapter, lui propose de s'arc-bouter sur l'Euro.
Quand on constate que l'intégration européenne est la source ou du moins, un des outils qui ont servi à propager la crise, lui propose une Europe encore plus forte et  une intégration à l'Allemagne. Allemagne qui porte une grosse responsabilité dans la situation des pays européens en ayant refusé que le politique ait son mot à dire sur l'évolution de l'Euro, en laissant le pouvoir aux banquiers. Choix sur lequel il ne revient pas.
L'Allemagne est riche, l'Allemagne est exportatrice,mais  l'Allemagne est vieille et ne tiendra pas vingt ans . Faut-il s'enchaîner à un vieillard politique ?

La France doit reprendre la maitrise de sa souveraineté qu'elle a trop laissée filer entre les doigts des fonctionnaires de l'Europe, mais ce n'est pas avec cette démarche qu'elle y arrivera !

Il peut dire tout ce qu'il veut, il sait bien qu'il ne pourra rien faire qui ne soit autorisé par la clique de Bruxelles et par l'Allemagne. Il sait bien qu'il ne maitrise plus rien et la seule chose qu'il veut, c'est éviter une explosion au sens propre et au sens figuré d'ici les élections. Plus que trois mois à tenir, après il compte bien disposer des moyens pour présurer les Français.


Et s'il le faut il fera peut-être appel à l'armée américaine, qui sait ?