Pour tenter de faciliter l'accès à certains de mes lecteurs qui ont du mal à commenter, je migre sur Wordpress . L'expérience nous dira si c'est une expérience valable ou non vu que je ne maîtrise pas du tout WP.
Cliquer ici pour accéder au blog sur Wordpress
samedi 27 juin 2020
Il n'est ni scout ni curé, ça ne fera pas la Une de Libé ou de RTL
Source Sputnik
L’imam Mohamed Khattabi a été placé en garde à vue après une plainte pour viol et agression sexuelle sur mineure, relate La Gazette de Montpellier.
L’imam Mohamed Khattabi a été placé en garde à vue après une plainte pour viol et agression sexuelle sur mineure, relate La Gazette de Montpellier.
Déjà
condamné en 2016 pour des faits de fraudes, l’imam de la mosquée Aïcha
de Montpellier, Selon
ses informations, c’est une jeune femme, membre de la famille du
religieux, qui a déposé plainte contre lui fin 2019 pour des faits de
viols et d’agressions sexuelles commis alors qu’elle était mineure.
Le journal souligne que ces accusations ne sont pas sans rappeler les rumeurs d’agressions sexuelles dont l’Imam Khattabi a fait l’objet il y a 15 ans, lorsqu’il dirigeait la mosquée de Beaucaire dans le Gard. Néanmoins, à l’époque, aucune suite judiciaire n’avait été donnée.
Dans le cadre de la nouvelle procédure, l’imam a été déféré devant le procureur de la République le 27 mai avant d’être placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer. Il pourrait être jugé courant juin.
En mai 2016, le tribunal correctionnel de Montpellier a condamné Mohamed Khattabi et son épouse pour des faits de fraudes commis au préjudice de la Caisse d’allocation familiale et l’administration fiscale.
Le journal souligne que ces accusations ne sont pas sans rappeler les rumeurs d’agressions sexuelles dont l’Imam Khattabi a fait l’objet il y a 15 ans, lorsqu’il dirigeait la mosquée de Beaucaire dans le Gard. Néanmoins, à l’époque, aucune suite judiciaire n’avait été donnée.
Dans le cadre de la nouvelle procédure, l’imam a été déféré devant le procureur de la République le 27 mai avant d’être placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer. Il pourrait être jugé courant juin.
En mai 2016, le tribunal correctionnel de Montpellier a condamné Mohamed Khattabi et son épouse pour des faits de fraudes commis au préjudice de la Caisse d’allocation familiale et l’administration fiscale.
vendredi 26 juin 2020
ID 2020 ou l'identification universelle pour les nuls.
Pour ceux qui ont déjà entendu parler d'une puce implantée sous la peau et destiné à nous identifier, mais qui n'ont pas trop fouillé le sujet. .
Sous des prétextes philanthropiques, la bande à Bill a concocté un système d'identiification universel destiné à terme à suppléer les papiers d'identité traditionnels et nationaux.
Se servant du triste sort des réfugiés (violons) Billy nous sert notre ration de pleurs et sort de sa manche ce système d'identification universelle
Ce projet n'a rien d'un phantasme c'est une triste réalité.
Sous des prétextes philanthropiques, la bande à Bill a concocté un système d'identiification universel destiné à terme à suppléer les papiers d'identité traditionnels et nationaux.
Se servant du triste sort des réfugiés (violons) Billy nous sert notre ration de pleurs et sort de sa manche ce système d'identification universelle
Ce projet n'a rien d'un phantasme c'est une triste réalité.
Accenture et Microsoft créent une solution blockchain pour soutenir l’initiative ID2020. Les deux entreprises travaillent ensemble sur un programme d’identité numérique.Paris,le 19 juin 2017 – Accenture (NYSE : ACN) a développé un ensemble de technologies blockchain et biométriques visant à soutenir l’initiative ID2020, un consortium international public-privé dont l’objectif est d’aider plus de 1,1 milliard de personnes à attester de leur identité.Environ un sixième de la population mondiale n’est en effet pas en mesure de participer à la vie culturelle, politique, économique et sociale car elle ne dispose pas de l’information la plus élémentaire : une preuve écrite attestant de son identité. Cette preuve est fondamentale pour garantir l’accès à un large éventail d’activités et services, notamment l’éducation, la santé, le vote, la banque, la téléphonie, le logement,les services sociaux ou encore la garde d’enfants. L’objectif de l’initiative ID2020 est de faire de l’identité numérique une réalité grâce à une approche technologique s’appuyant sur des systèmes dont la sécurité et la fiabilité ont été largement démontrées.Travaillant en partenariat avec Microsoft et Avanade, Accenture a développé un prototype de gestion des identités basé sur la technologie blockchain -un système de base de données permettant à plusieurs parties prenantes de partager un accès aux mêmes informations, avec un degré de confiance et de sécurité extrêmement élevé.Ce prototype, qui mobilise le savoir-faire d’Accenture dans le domaine des technologies blockchain et son expérience en matière de développement et de déploiement de systèmes biométriques à grande échelle, est mis en œuvre sur la plateforme cloud Microsoft Azure, réputée pour son envergure mondiale, sa flexibilité et sa sécurité. Ce système permet aux personnes de décider directement qui est habilité à accéder à leurs informations personnelles et dans quelles circonstances leurs données peuvent être publiées et partagées. Grâce à cette architecture de pointe de données décentralisée (ou « distribuée »), prise en charge par une multiplicité de parties de confiance sur la blockchain, il n’est plus nécessaire de disposer d’un organe de contrôle centralisé. Le prototype ne stocke aucune information personnellement identifiable : il sollicite des systèmes «hors chaîne » existants lorsque l’utilisateur individuel autorise leur accès. Accenture et Microsoft, les partenaires fondateurs de l’alliance ID2020 en matière de déploiement de ressources financières et technologiques, ont présenté aujourd’hui le prototype dans le cadre du sommet ID2020 de l’ONU.« Les personnes ne disposant pas de preuve écrite de leur identité souffrent d’exclusion », explique David Treat, Directeur chez Accenture, en charge de l’activité blockchain. « Notre prototype est personnel, privé et portable. Il offre aux personnes les moyens de consulter et partager des informations lorsque cela est approprié, de façon intuitive et sans avoir à se soucier des risques liés à l’utilisation ou à la perte de documents papiers ».
Principe de fonctionnementLe prototype d’Accenture est conçu pour interagir avec les systèmes de gestion d’identité déjà existants, de telle sorte que les informations personnellement identifiables sont systématiquement « hors chaîne ». Il est par ailleurs conforme aux principes de la Decentralized Identity Foundation (fondation pour l’identité décentralisée), dont Microsoft est membre fondateur, et utilise un protocole de blockchain privé (ou «permissioné») développé par l’initiative Enterprise Ethereum Alliance.Pour résoudre les problèmes rencontrés par les personnes ne disposant pas de pièce d’identité officielle, Accenture va mettre à profit sa plateforme Unique Identity Service. Cette dernière permet de déployer un système biométrique unique, pour gérer les données liées notamment aux empreintes digitales et à l’iris. Grâce à cette technologie, les réfugiés sans papiers disposent, par exemple, d’un registre d’identité immuable, leur permettant de bénéficier d’une assistance dès qu’ils en ont besoin. La plateforme Accenture est au cœur du système de gestion des identités biométriques actuellement utilisé par le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés. À ce jour, plus de 1,3 million de personnes en provenance de 29 pays d’Asie, d’Afrique et des Caraïbes ont été enregistrées. Le système devrait prendre en charge plus de 7 millions de réfugiés, provenant de 75 pays, d’ici à 2020.« La question de l’identité est selon nous l’un des grands enjeux du développement international. C’est également un domaine dans lequel Microsoft et le secteur privé sont idéalement placés pour apporter leur contribution », déclare Yorke Rhodes, Directeur de la stratégie chez Microsoft. « Nous sommes ravis de travailler avec Accenture et de mettre à profit la capacité, la flexibilité et la fiabilité de la plateforme Microsoft Azure pour soutenir l’initiative ID2020 et faire face à ce défi sociétal majeur. »Le prototype a été pris en charge par l’équipe multidisciplinaire de The Dock, le nouveau centre de recherche et d’incubation d’Accenture, baséen Irlande. Une équipe de designers, d’ingénieurs logiciels et d’experts en blockchain a été constituée pour œuvrer à la concrétisation de cette vision.« Nous avons là un excellent exemple de collaboration et d’innovation techniques visant à remédier aux grandes difficultés rencontrées par tant d’individus dans nos sociétés », poursuit Lorna Ross, Directeur groupe, en charge du studio de design Fjord d’Accenture au site The Dock. « Nous espérons que ce travail permettra de centraliser les efforts déployés partout dans le monde pour concevoir une solution garantissant le droit à l’identité pour tous les sans-papiers à travers le monde».Le consortium ID2020 rassemble des gouvernements, des ONG, des professionnels de la technologie et des experts issus des secteurs public et privé, pour que les meilleures innovations technologiques soient mises en œuvre de manière évolutive, sûre et durable. Accenture a déjà joué un rôle clé dans un programme similaire, en tant que membre fondateur et partenaire de conseil de l’initiative Partnership for Refugees, qui assure à titre bénévole des prestations de conseil stratégique, de gestion de projet et de services numériques. Cette initiative a aidé plus de 50 entreprises à mieux comprendre les besoins des réfugiés pour élaborer des réponses efficaces dans trois domaines clés : l’éducation, l’emploi et l’habilitation.« L’un de nos objectifs chez Accenture est d’améliorer la façon dont le monde fonctionne grâce aux technologies numériques, afin de résoudre certains de nos défis les plus pressants », déclare Marty Rodgers, en charge des travaux d’Accenture dans le cadre de l’initiative Partnership for Refugees, et Global Lead d’Accenture pour l’activité ONG. « ID2020 est un nouvel exemple de la volonté d’Accenture et de ses partenaires de travailler ensemble pour venir en aide aux personnes qui en ont le plus besoin ».À propos d’AccentureAccenture, l’un des leaders mondiaux des services aux entreprises et administrations, propose une large gamme de services et solutions en stratégie, conseil, digital, technologie et gestion déléguée d’opérations. Combinant son expérience et son expertise dans plus de 40 secteurs d’activité et pour toutes les fonctions de l’entreprise - en s’appuyant sur le plus grand réseau international de centres de services - Accenture intervient à l’intersection de l’activité de ses clients et de la technologie pour les aider à renforcer leur performance et créer de la valeur sur le long terme. Avec plus de 411 000 employés intervenant dans plus de 120 pays, Accenture favorise l’innovation pour améliorer le monde de demain. Retrouvez-nous sur www.accenture.com.
L'agence européenne autorise le remdesivir contre le covid-19
Un scandale de plus dans la ténébreuse affaire du Covid-19.
Alors que l'Hydroxychloriquine est toujours bannie officiellement du traitement contre la coronavirose malgré des résulatats incontestables où il est employé selon le protocole mis au point par l'équipe du professeur Raoult et plus important, alors que les antipaludéens montrent leur efficacité, un peu malgré eux dans les pays où ils sont prescrits en raison d'une malaria endémique.
A comparer le taux de létalité de la France métropolitaine 28,31% avec celui de Mayotte 1,42% ou de la Guyane 0,90%. Ça se passe de commentaire superflu !
Après avoir trainé des quatre fers, nous avoir proposé des protocoles d'expérimentation débiles, administré ll'hydroxychloroquine dans des conditions où tout le monde savait qu'elle ne servirait plus à rien, les autorités médicales tutélaires accordent l’autorisation à un médicament antiviral fortement controversé aux très forts effets secondaires pour un gain quasi nul. Qu'est-ce que c'est que de gagner 4 jours de guérison quand on reste en moyenne plus de trois semaines à l'hôpital et bien plus pour les cas très graves visés par le médicament .
Nous ne relèveront pas non plus les liens étroits et de relativement longue date entretenus entre la fondation B1M Gates et GILEAD sur des affaires toutes aussi tordues comme l'essai du tenofovir en 2003. On apprend aussi que la fondation B1M Gaztes pilote un consortium de l'industrie pharmaceutique ou figure en bonne place GILEAD. etc.
Pour information je n'ai même pas fait de tri dans les liens ci-dessus quand on tape "gilead fondation gates" dans gogole ce sont 208 000 résultats qui arrivent.
Dans les années antérieures, le pouvoir, au sens large, craignait le peuple et ses sautes d'humeur. Il faisait au moins semblant d'y prêter une certaine attention.
Ainsi De Gaulle, Mitterrand, Chirac, ont , à tort, ou à raison, tenu compte de la rue.
Les nouveaux gouvernants n'en ont plus rien à foutre de nous. Tenons nous le pour dit. Ils ne font même pas semblant de tenir compte de nous. C'est avec un petit sourire narquois ou en se pinçant pour ne pas rire que Juju joue les présidents, que ses services de santé se foutent de nous et que les différentes instances internationales font de même.
Vous n'aurez pas de traitement adapté parce qu'il faut que vous soyez vaccinés, et il faut que vous soyez vaccinés parce qu'il faut que vous soyez identifié mondialement grâce au plan ID-2020 qui consistera à vous implanter "pour votre bien" une puce qui signalera que vous êtes "sûr", en fait pour suivre vos mouvements en temps réel grâce à un réseau 5G dont c'est le but primordial, et tout cela dans le cadre d'une société globalisée où vos déplacements seront contrôlés et limités à quelques uns bien balisés.
Pour la plupart des veaux ça ne changera pas grand chose, probablement pourront-ils toujours aller à Djerba ou à Punta Cana.
Seuls les esprits libres y perdront quelque chose, du moins s'en apercevront-ils vraiment.
Alors que l'Hydroxychloriquine est toujours bannie officiellement du traitement contre la coronavirose malgré des résulatats incontestables où il est employé selon le protocole mis au point par l'équipe du professeur Raoult et plus important, alors que les antipaludéens montrent leur efficacité, un peu malgré eux dans les pays où ils sont prescrits en raison d'une malaria endémique.
A comparer le taux de létalité de la France métropolitaine 28,31% avec celui de Mayotte 1,42% ou de la Guyane 0,90%. Ça se passe de commentaire superflu !
Après avoir trainé des quatre fers, nous avoir proposé des protocoles d'expérimentation débiles, administré ll'hydroxychloroquine dans des conditions où tout le monde savait qu'elle ne servirait plus à rien, les autorités médicales tutélaires accordent l’autorisation à un médicament antiviral fortement controversé aux très forts effets secondaires pour un gain quasi nul. Qu'est-ce que c'est que de gagner 4 jours de guérison quand on reste en moyenne plus de trois semaines à l'hôpital et bien plus pour les cas très graves visés par le médicament .
En clair ce médicament ne sert à rien ou presque mais il est, lui, autorisé . On ne dira pas, mais rien n'interdit de penser que d'un coût de dix fois supérieur à l'hydroxychloroquine, les gains attendus seront d'une toute autre ampleur pour le laboratoire GILEAD."Une étude réalisée sur plus de 1000 patients hospitalisés atteints du Covid-19 a en effet démontré que ceux traités par du remdesivir se rétablissaient en moyenne quatre jours plus vite que les autres malades, affirme l’EMA.“Cet effet n’a pas été observé chez les patients atteints d’une maladie légère à modérée”, a précisé l’agence. Même si le remdesivir a montré une certaine efficacité pour accélérer le rétablissement des malades hospitalisés à cause du Covid-19, il n’a pas été prouvé qu’il permettait d’éviter des décès." (Huffington Post)
Nous ne relèveront pas non plus les liens étroits et de relativement longue date entretenus entre la fondation B1M Gates et GILEAD sur des affaires toutes aussi tordues comme l'essai du tenofovir en 2003. On apprend aussi que la fondation B1M Gaztes pilote un consortium de l'industrie pharmaceutique ou figure en bonne place GILEAD. etc.
Pour information je n'ai même pas fait de tri dans les liens ci-dessus quand on tape "gilead fondation gates" dans gogole ce sont 208 000 résultats qui arrivent.
Dans les années antérieures, le pouvoir, au sens large, craignait le peuple et ses sautes d'humeur. Il faisait au moins semblant d'y prêter une certaine attention.
Ainsi De Gaulle, Mitterrand, Chirac, ont , à tort, ou à raison, tenu compte de la rue.
Les nouveaux gouvernants n'en ont plus rien à foutre de nous. Tenons nous le pour dit. Ils ne font même pas semblant de tenir compte de nous. C'est avec un petit sourire narquois ou en se pinçant pour ne pas rire que Juju joue les présidents, que ses services de santé se foutent de nous et que les différentes instances internationales font de même.
Vous n'aurez pas de traitement adapté parce qu'il faut que vous soyez vaccinés, et il faut que vous soyez vaccinés parce qu'il faut que vous soyez identifié mondialement grâce au plan ID-2020 qui consistera à vous implanter "pour votre bien" une puce qui signalera que vous êtes "sûr", en fait pour suivre vos mouvements en temps réel grâce à un réseau 5G dont c'est le but primordial, et tout cela dans le cadre d'une société globalisée où vos déplacements seront contrôlés et limités à quelques uns bien balisés.
Pour la plupart des veaux ça ne changera pas grand chose, probablement pourront-ils toujours aller à Djerba ou à Punta Cana.
Seuls les esprits libres y perdront quelque chose, du moins s'en apercevront-ils vraiment.
jeudi 25 juin 2020
Les États-Unis admettent qu’ils sont responsables de la faim en Syrie – Le Cri des Peuples
Les États-Unis admettent qu’ils sont responsables de la faim en Syrie – Le Cri des Peuples
La suite sur Le Cri des Peuples
L’envoyé spécial des États-Unis en Syrie, James Jeffrey, a annoncé dimanche que Washington avait proposé à la Syrie de mettre fin aux sanctions américaines. Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés à Damas a déclaré que les déclarations de James Jeffrey constituaient un aveu clair de la part de l’administration Trump qu’elle était directement responsable des souffrances des Syriens. Les Syriens considèrent les sanctions croissantes comme une guerre économique, imposée après l’échec des États-Unis à provoquer un «changement de régime » en utilisant des terroristes soutenus par la CIA (comme le reconnaît même le New York Times).
Damas déclare que les sanctions violent les droits de l’homme et le droit international car elles affectent la population syrienne. Le Président Trump a hérité de la guerre en Syrie fomentée en premier lieu par son prédécesseur, l’ancien Président Obama. En 2016, Trump a fait campagne en promettant d’arrêter le soutien américain à la guerre en Syrie ; cependant, il a depuis envahi et occupé plusieurs zones en Syrie et a déclaré qu’il était là pour empêcher la Syrie d’utiliser ses ressources en pétrole. Quant à la Russie, elle est entrée en Syrie en 2015 à la demande de Damas pour aider à la lutte contre les terroristes d’Al-Qaïda et de Daech. L’Iran et le Hezbollah étaient intervenus aux côtés de Damas respectivement en 2011 et 2013. Les sanctions les plus récentes sont prévues pour durer 5 ans et peuvent être levées si sept critères sont remplis ; cependant, les deux premiers points sont conçus spécifiquement pour empêcher la lutte contre les terroristes d’Al-Qaïda qui contrôlent Idlib et détiennent environ 3 millions de personnes comme boucliers humains. La Syrie et la Russie, son alliée en Syrie, ont toutes deux déclaré que vaincre le terrorisme était un objectif stratégique.
Les sanctions américaines contre la Syriese sont accumulées en diverses couches depuis 1979 et ont augmenté au cours de la période 2011-2020, aboutissant aux sanctions les plus récentes de ce mois-ci. Certains représentants de l’ONU et des ONG occidentales ont dénoncé les sanctions comme inefficaces et inhumaines.
Un homme d’affaires de Damas a déclaré : « Les sanctions aideront à empêcher la Syrie de parvenir à une quelconque forme de rétablissement », tout en ajoutant : « Les riches expatriés ne reviendront pas tant que des sanctions seront en vigueur ».
Le frère Firas Lutfi, de l’ordre franciscain des Gardiens de la Terre Sainte, a accordé une interview vidéo à « Rome Reports », dans laquelle il a donné son témoignage de première main sur la Syrie avant, pendant et après la guerre. Il a rappelé son ancienne vie à Alep et a expliqué le sort des chrétiens persécutés, qui avaient joui de la pleine liberté de religion en Syrie jusqu’à ce que les terroristes d’Al-Qaïda déferlent sur le pays suite à l’attaque coordonnée par les Frères musulmans qui a commencé en 2011. Les terroristes ont été vaincus, à l’exception d’Idlib ; cependant, une nouvelle forme de terreur est arrivée sous la forme du virus COVID-19. Bien que le nombre de cas soit faible en Syrie, l’effet du confinement a conduit à la pauvreté, car les revenus ont été arrêtés. Le frère Lutfi a téléphoné à un ami en Syrie, qui lui a affirmé : « Je préfère mourir du coronavirus que de faim. Je ne peux pas me permettre de voir mes enfants mourir sous mes yeux, sans pouvoir rien faire. »
Le prix des aliments de base en Syrie a augmenté de 111% en un an. Le coût de la nourriture, des médicaments et d’autres produits de base grimpe en flèche sur les marchés syriens, tandis que la livre syrienne s’effondre en valeur. La valeur de la livre syrienne sur le marché informel est passée d’environ 940 livres pour un dollar américain en janvier à un taux de change d’environ 4 000 livres pour un dollar récemment. De 1992 à 2011, le taux est resté stable à 50 livres syriennes pour 1 dollar. Les années de guerre et les sanctions américaines ont dévalué la monnaie syrienne et plongé les Syriens de la classe moyenne dans la pauvreté.
Depuis peu, certains magasins et pharmacies gardent leurs portes fermées car la valeur de la monnaie baisse trop vite. La hausse des prix des produits essentiels, dont le gaz de cuisine et le pain, cause des souffrances. Même dans les zones qui n’ont pas été attaquées par des terroristes et qui ont passé la guerre dans un calme relatif, les effets des sanctions, qui se sont traduites par une guerre économique, se font ressentir.
Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies a rapporté une enquête en avril selon laquelle environ un tiers de la population ne mangeait pas suffisamment, tandis que 87% avaient épuisé leurs économies après 9 ans de guerre...
La suite sur Le Cri des Peuples
Les manfdarins de la médecine : des blaireaux dans leur terrier Raoult dixit
C'est clair et dit en peu de mots. Mais les députés ont dû aussi se sentir visés, ce qui montre que cet homme est un peu innocent et les hommes seront certainement moins magnanimes que Dieu.
mercredi 24 juin 2020
Le Conseil d'Etat élève l'avortement au niveau d'une nécessité
Pendant le confinement, CIVITAS a déposé une requête en référé liberté contre l’extension de l’avortement favorisée parmi les mesures pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Le gouvernement a favorisé l’avortement dit « médicamenteux » (IVG) mais également l’avortement postérieur à 12 semaines nommé interruption médicale de grossesse (IMG).D’une part, le gouvernement a autorisé la réalisation, en dehors d’un établissement de santé, d’une interruption volontaire de grossesse par voie médicamenteuse au-delà du délai de cinq semaines de grossesse pour l’étendre à sept semaines. D’autre part, il a permis la prescription, dans le cadre d’une téléconsultation, des pilules nécessaires à la réalisation d’une interruption volontaire de grossesse par voie médicamenteuse.Le Conseil d’État a jugé que le gouvernement était habilité à prendre ces décisions qui relevaient pourtant du domaine de la loi car ces mesures « étaient strictement nécessaires et proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. » Il a ensuite rajouté qu’ « il ne résulte pas de l’instruction que les mesures litigieuses ne sont, à ce jour, plus justifiées, eu égard, notamment, aux conditions dans lesquelles les établissements de santé fonctionnent actuellement et compte tenu de ce que le télétravail reste autant que de possible privilégié. »Le jugement se passe de commentaire et est laissé à votre libre appréciation. Malgré une situation sanitaire sous contrôle, le Conseil d’État permet au gouvernement d’intervenir dans le domaine de la loi et considère que ces mesures sont proportionnées à la situation actuelle.Par ailleurs, le gouvernement sous la houlette du ministre de la Santé a écrit plusieurs recommandations permettant une interruption de grossesse pour raison médicale (donc jusqu’au terme de la grossesse) sous prétexte de “situation de détresse psychosociale”.Lors du contradictoire, quel a été notre étonnement lorsque l’administration a écrit que cela se pratiquait déjà et qu’elle a produit un rapport de l’Agence de la biomédecine mentionnant qu’il existait déjà des avortements postérieurs à 12 semaines dont certains après sept mois de grossesse pour « détresse psychologique sans anomalie fœtale ».Malgré l’aveu de l’administration qui n’a fait aucune différence entre détresse psychologique et détresse psychosociale, le Conseil d’État a jugé qu’aucun élément figurant dans ce rapport ne permet de conclure qu’il s’agirait, en réalité, d’un motif de « détresse psychosociale » et « à défaut d’autres éléments produits dans le cadre de l’instruction contradictoire, la situation dénoncée par les requérantes ne peut, en tout état de cause, être regardée comme établie. Il n’y a donc pas lieu de se prononcer sur la question de sa légalité ». Le Conseil d’État n’a même pas cherché à nous demander lors de l’instruction de produire des pièces de ce que nous pensions établi du seul fait des termes utilisés par le ministre Véran et de l’aveu même de l’administration. Nous restons donc dans un flou juridique, le Conseil d’État ne dit pas que cette situation n’existe pas mais seulement qu’elle n’est pas démontrée en jugeant malgré les dires de l’administration qu’il y a une différence entre détresse psychologique et détresse psychosociale comme motif pour une IMG. Par ailleurs, il ne se prononce pas non plus sur la légalité des recommandations du ministère de la santé.
Bien que CIVITAS soit très déçu de cet arrêt qui ne répond finalement pas aux questions posées, nous tenons à vous remercier de vos prières et nous tenons à vous dire que le combat de CIVITAS continue pour la vie mais également pour toutes les valeurs catholiques.La cellule juridique de CIVITAS prépare dès à présent de nouveaux recours contre ces mesures mortifères insensées.
L'application Stop Covid est un vrai filet destiné à collecter les identités de tous les smartphones à proxilité
L’application StopCovid collecte plus de données qu’annoncé
Et c'est l'Immonde qui le dit, donc selon la doxa en vigueur, c'est plus vrai que vrai.
Contrairement à ce qui était annoncé, l'appli StopCovid ne se contente pas de relever l'identité électronique d'un malade présent pendant 15 minutes au moins à moins d'un mètre, mais tout ce qui traine dans un rayon de plusieurs mètres.
C'est exactement le genre de craintes que nous avions dit et écrit et qui une fois de plus se confirme.
Le gouvernement le reconnaît ─ et pourquoi ne le ferait-il pas puisque les parlementaires s'en battent les nouilles ?
Bref, bien que peu de personnes aient téléchargé ce logiciel espion, elles sont capables, en ville en particulier, d'identifier une masse énorme de citoyens lambdas ou pas.
Et c'est l'Immonde qui le dit, donc selon la doxa en vigueur, c'est plus vrai que vrai.
Contrairement à ce qui était annoncé, l'appli StopCovid ne se contente pas de relever l'identité électronique d'un malade présent pendant 15 minutes au moins à moins d'un mètre, mais tout ce qui traine dans un rayon de plusieurs mètres.
C'est exactement le genre de craintes que nous avions dit et écrit et qui une fois de plus se confirme.
Le gouvernement le reconnaît ─ et pourquoi ne le ferait-il pas puisque les parlementaires s'en battent les nouilles ?
Bref, bien que peu de personnes aient téléchargé ce logiciel espion, elles sont capables, en ville en particulier, d'identifier une masse énorme de citoyens lambdas ou pas.
mardi 23 juin 2020
Le confinement augmente catastrophiquement la mortalité due au COVID-19
Un excellent article du docteur Delépine en collaboration avec France Soir que je vous invite à découvrir sur le site de ce journal.Contrairement à l’avis du « décodeur » du Monde, nous confirmons que le confinement aveugle et policier a augmenté la mortalité.Dans un article des décodeurs du monde du 15 juin[1], en réponse à notre article sur le confinement dans France soir [2] William Audureau, journaliste, présente le docteur G Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue[3] comme un « cancérologue controversé ». Réaction de l’intéressé : « première nouvelle, je suis très surpris de l’apprendre, car pour la communauté internationale des chirurgiens des cancers des membres, je représente plutôt un chirurgien novateur de la chirurgie évitant l’amputation, reconnu dans le monde entier, ainsi qu’en attestent les invitations qui m’ont été faites d’aider des collègues dans plus de 10 pays d’Europe et d’Afrique, mes articles référencés dans PubMed[4] , et des conférences ou des modérations de séminaires de congrès de très nombreuses sociétés internationales dans plus d’une trentaine de pays depuis plus de 30 ans. Je suis encore souvent sollicité pour des avis tant en France qu’à l’étranger, n’en déplaise à nos critiques du Monde ».
On y apprend tout plein de choses intéressantes et en particulier que l'épidémie a explosé en Belgique et en Italie après le confinement et que l'Italie n'a repris la main qu'avec l'utilisation de l'hydroxychloroquine.
A lire avant la "seconde vague" pour laquelle j'ai ma petite idée si elle survenait .
lundi 22 juin 2020
Bamako
Une fresque Traoré/Floyd inaugurée à Stains suscite la colère du syndicat policier Alliance
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/76186-fresque-traorefloyd-inauguree-stains-suscite-colere-syndicat-policier
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/76186-fresque-traorefloyd-inauguree-stains-suscite-colere-syndicat-policier
Une fresque Traoré/Floyd inaugurée à Stains suscite la colère du syndicat policier Alliance
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/76186-fresque-traorefloyd-inauguree-stains-suscite-colere-syndicat-policier
En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/76186-fresque-traorefloyd-inauguree-stains-suscite-colere-syndicat-policier
A Stains une fresque Traoré:Flyoyd ne plait pas au syndicat alliance
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage
Les djembés et les dununs résonnent partout
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage
Les djembés et les dununs résonnent partout
Les balans et les tamas résonnent partout
La kora et le n’goni sont aussi au rendez-vous
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Les parents et les sympathisants sont au rendez-vous
Les copains et les voisins sont au rendez-vous
Les Fonés et les Djélis sont aussi au rendez-vous
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Les hommes et les femmes ont mis leurs beaux boubous
Les bijoux et les chaussures sont au rendez-vous
Les bazins et les bogolans sont au rendez-vous
La mariée et le marié sont aussi au rendez-vous
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage
La kora et le n’goni sont aussi au rendez-vous
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Les parents et les sympathisants sont au rendez-vous
Les copains et les voisins sont au rendez-vous
Les Fonés et les Djélis sont aussi au rendez-vous
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Les hommes et les femmes ont mis leurs beaux boubous
Les bijoux et les chaussures sont au rendez-vous
Les bazins et les bogolans sont au rendez-vous
La mariée et le marié sont aussi au rendez-vous
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
Le dimanche à Bamako c’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage
C’est le jour de mariage
samedi 20 juin 2020
Une autre vision des dessins animés japonais (enfin de certains dessins animés)
Miyazaki l'initiateur
Vous ne regarderez plus les dessins animés japonais du même œil
Le black out électrique pour cet hiver ou le prochain
Peut-on continuer longtemps à dire des âneries aux Français sur l’énergie électrique ?
17 juin 2020 - 09:48 par Infodujour
Pour ma part je n'ai qu'un souhait, que ces écolos de salon et les politiciens qui nous amènent dans tous ces culs-de-sac soient responsables sur leur vie de leurs mauvaises décisions comme ça se faisait au bon vieux temps.
17 juin 2020 - 09:48 par Infodujour
Point-de-vue. Conseil en énergie, Loïk le Floch-Prigent met en garde contre la politique de production qui marginalise EDF. « Il faut poursuivre les expérimentions du solaire et de l’éolien, dit-il, mais il faut se concentrer sur les circuits courts, c’est-à-dire à l’utilisation de l’électricité produite au plus près de la production. »
Par Loïk Le Floch-Prigent
Le 11 juin la Ministre de l’écologie et de l’énergie accompagnée du Président de RTE responsable du réseau électrique national ont voulu rassurer les Français : ils sont vigilants , s’il fait froid cet hiver , il n’y aura pas de black-out ! En plein déconfinement après que les français , désormais masqués, se souviennent des propos rassurants du début de la pandémie sur le fait que, certes nous n’avions pas de masques, mais qu’ils étaient inutiles et peut-être même nuisibles, cet avertissement du type « dormez bien mes petits », a des saveurs d’avertissement ! Il est vrai que l’ensemble du discours qui suit montre bien l’étendue du problème, le PPE dont les décrets viennent de sortir en Avril est déjà dépassé et c’est grâce aux centrales à charbon qui ne ferment qu’en 2022, et aux centrales à gaz que nous allons nous en sortir cet hiver 2020 /2021 !
Fermeture de Fessenheim
C’est effectivement au Parlement et dans les ministères que se décide une politique très technique, celle de la fourniture d’une énergie essentielle pour la population française, l’électricité. Il y a donc eu un plan , Plan Pour l’Electricité (PPE) et un examen permanent de la politique de production qui marginalise la Société Nationale (EDF) qui doit se plier aux vœux de la nation et des technocrates qui lui sont associés. La population doit donc être rassurée, elle vivra bien un black-out, pas forcément en 2021, mais peut-être en 2022, tout est organisé en ce sens puisque jour après jour ceux qui ont eu en charge de sécuriser une énergie abondante et bon marché sont écartés des décisions, ils doivent s’adapter aux diktats des idéologues et des bureaucrates .
La production électrique est assurée pour plus de 70% par les centrales nucléaires, pour 11% par les centrales hydrauliques, le reste par le charbon, le gaz, le solaire et l’éolien.
Deux décisions ont été prises, celle de fermer la centrale nucléaire de Fessenheim en 2020, la première tranche le 21 Avril, la deuxième le 30 Juin, privant le pays de 6 à 7 TWH, soit plus de 2% de la consommation nationale, et l’autre (PPE) de passer au plus vite à 50% seulement la production des centrales nucléaires et donc d’en fermer encore d’autres parfaitement utilisables et amorties .
Ces décisions n’ont aucune justification, ni technique, ni économique, ni climatique, il s’agit de politique politicienne destinée à plaire à un électorat anti-nucléaire. Ces décisions sont d’un cout prohibitif pour un pays qui ressort difficilement d’un séisme coronavirus qui lui a fait perdre au moins 4 ans de croissance. On aurait pu souhaiter que quelqu’un, quelque part, demande de surseoir à ces deux décisions dont la stupidité n’a d’égale que la charge pour le contribuable, mais les responsables viennent de nous dire, nous allons dans le mur, mais ne vous inquiétez pas, on s’en occupe.
Une centrale à charbon
Qu’importe si la décision de fermeture de Fessenheim a entrainé la mise en service d’une centrale au charbon de 600 MW dès le mois d’avril pour veiller à l’approvisionnement électrique de la région aux trois pays qu’elle desservait , qu’importe les 9 millions de tonnes de CO2 émises, qu’importe les 2000 emplois, qu’importe les risques de pénurie …ou de black out, nous avons encore les centrales à charbon, nous avons un programme d’effacement (industriels prêts à arrêter leur production) procédure non gratuite pour le contribuable, (faut-il vraiment encourager les usines à arrêter de produire alors qu’elles viennent de subir trois mois de difficultés-coronavirus ), et puis les Français n’ont pas de thermostats et le gouvernement (donc le contribuable) va leur donner 150 euro par nouveau thermostat installé destiné à faire des économies d’énergie. Bien sur il a été remarqué que nous vivions en électricité inter connectée et que nos voisins allaient nous fournir une énergie (gratuite ?) dès que nous en aurions besoin !
Quand va-t-on arrêter de prendre 65 millions de français pour des enfants attardés à qui on peut asséner n’importe quoi ? Les masques ne vous ont pas suffi ?
Éviter le black-out
La réalité c’est que nous avons une des électricités les plus décarbonées du monde, de l’ordre de 85% avec le nucléaire et l’hydraulique, et que c’est notre intérêt de les conserver. Pour passer l’hiver 2020/2021 , compte tenu de la fermeture de Fessenheim et du retard pris dans le programme de maintenance dû au confinement et donc à l’arrêt des travaux, la production d’électricité nucléaire doit être réexaminée pour être surs d’éviter le black-out. Heureusement il nous reste des centrales à charbon -celle de Cordemais en Loire-Atlantique sauve chaque année la Bretagne depuis dix ans- des centrales à gaz qui ont fonctionné à plein régime toute l’année 2019, car il se trouve, les responsables se gardent bien de le dire, que l’hiver correspond à une période souvent sans vent et sans soleil ! C’est donc le mix électrique associé au nucléaire qui nous permet chaque hiver de nous donner lumière et chauffage. Les beaux discours sur les énergies nouvelles sont intéressants en Mai et on arrive alors à dire: « tel jour on a eu 10% de solaire, tel autre 30 % d’éolien » , ce n’est pas inexact, mais cela correspond , à cause de l’intermittence et de la non prévisibilité à des surcouts qui ont déjà augmenté de 25% la note d’électricité de chaque Français et qui a réduit la compétitivité industrielle des gros consommateurs. Il faut poursuivre les expérimentions du solaire et de l’éolien, mais maintenant que nous disposons des chiffres , il faut se concentrer sur les circuits courts, c’est-à-dire à l’utilisation de l’électricité produite au plus près de la production .
Je ne crois pas M. Prigent que l'on ait encore le droit de réfléchir et de penser dans ce pays .Quatre fois le prix
Nous avons tous les éléments pour remettre le dossier électrique sur les bons rails, nous savons que nous allons à plus ou moins brève échéance connaitre un black-out un hiver prochain, on nous l’a annoncé, qu’attendons-nous pour revenir sur un programme suicidaire ? En hiver froid nous ne pouvons pas compter sur les fermes éoliennes ou solaires pour nous en sortir. Fermer le charbon et une partie du nucléaire conduit à nous précipiter sur des centrales à gaz, est-ce que nous le voulons, comme le font les Italiens ? Mais continuer à sortir des âneries en mélangeant la base et le pic, en prenant des jours de soleil et de vent pour crier victoire et en déroulant des programmes d’investissements d’éoliennes en mer comme au Cap Fréhel en Bretagne avec un prix de l’électricité quatre fois celui du nucléaire et en faisant payer le raccordement au contribuable touche à l’odieux. On a le droit de penser et de réfléchir dans notre pays, le droit aussi d’éviter notre faillite collective.
Pour ma part je n'ai qu'un souhait, que ces écolos de salon et les politiciens qui nous amènent dans tous ces culs-de-sac soient responsables sur leur vie de leurs mauvaises décisions comme ça se faisait au bon vieux temps.
vendredi 19 juin 2020
Au Mali, l'esclavage entre Noirs n'a jamais cessé - On en parle avec les Black Lives Matter ? (1) - medias-presse.info
Au Mali, l'esclavage entre Noirs n'a jamais cessé - On en parle avec les Black Lives Matter ? (1) - medias-presse.info
Alors que les Black Lives Matter et
l’extrême gauche prétendent déboulonner toute statue représentant un
personnage lié même de très loin à l’esclavage ou au colonialisme, il y a
une réalité qu’il convient de rappeler : l’esclavage entre Noirs n’a jamais cessé au Mali.
l’extrême gauche prétendent déboulonner toute statue représentant un
personnage lié même de très loin à l’esclavage ou au colonialisme, il y a
une réalité qu’il convient de rappeler : l’esclavage entre Noirs n’a jamais cessé au Mali.
Voici
le témoignage d’un ancien ministre de la Justice malien sur
l’esclavage, les viols et ventes d’enfants pratiqués dans certaines
ethnies...
le témoignage d’un ancien ministre de la Justice malien sur
l’esclavage, les viols et ventes d’enfants pratiqués dans certaines
ethnies...
La suite sur medias-presse.info
L'archéologie censurée - Théories alternatives
Pour changer un peu de la politique, bien que ...
Pour ceux qui voudraient creuser le sujet je vous conseille aussi :
L'Histoire secrète de l'espèce humaine de Cremo et Thompson
Les Journalistes demandent plus de censure à l'Union européenne (OJIM)
Reblogué depuis l'observatoire du journalisme
Plus, toujours plus de libertés ? Non, plus de demandes de censure et de la part de ceux qui devraient défendre les libertés d'expression et d'opinion, les médias et les journalistesDES ASSOCIATIONS PANTOUFLES ET DES GÉMISSEMENTSQui connaît les activités ou même l’existence, du « Conseil européen des éditeurs », de la « Fédération européenne des journalistes » ou de « l’Association des télévisions commerciales européennes » ? Prétextes à postes de président, de secrétaire général, à titres ronflants, à dépenses de déplacement et repas dans les meilleures auberges avec les notes de frais y afférentes. Personne ne les connaît. Pantoufles confortables, un peu endormies, elles se réveillent parfois d’un profond sommeil postprandial pour mitonner un petit communiqué, indiquant que la digestion se passe bien et que l’heure du prochain repas approche.LA DÉSINFORMATION A BON DOSC’est émergeant d’une sieste prolongée que les trois associations ont réuni leurs cercles dirigeants pour réclamer des « mesures plus fortes ». Qui serait opposé à des « mesures plus fortes » par exemple pour faire respecter le pluralisme des opinions dans les médias, dans les rédactions, dans les écoles de journalisme ? Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit.Suivant un communiqué AFP en date du 15 juin 2020, les petits chéris se disent « alarmés par l’augmentation de la désinformation en ligne pendant la pandémie », qui a eu « un impact dévastateur sur les efforts de santé publique ». Ils considèrent que le « code de bonnes pratiques » européen, signé en 2018 par les plateformes internet, « s’est révélé inadéquat pour traiter la source et les moteurs de la désinformation propagée en ligne ».Conclusion ? Il faut leur serrer la vis à ces utilisateurs des réseaux sociaux qui utilisent encore un espace de liberté disponible. On va leur apprendre, il nous faut des « sanctions ». La loi allemande qui restreint la liberté sur internet ? Insuffisante. La loi Avia liberticide contre les pseudo « discours de haine » ? Intéressante, mais il faut aller plus loin. Il faut un rapport mensuel de l’Union Européenne et des GAFAM sur les efforts pour juguler les « fausses informations ». Entendez par là, les aberrations que l’on peut lire sur la toile, mais surtout, surtout pour juguler toute opinion qui irait à l’encontre des intérêts matériels et moraux du monde libéral libertaire. Le tout enrobé de sucre poisseux sur la « liberté éditoriale » et les « droits fondamentaux ». Qui a dit au fond de la salle : dégoûtant ?Sur les dénonciations liées à la loi Avia, lire un texte prophétique de Céline paru dans Les Beaux draps.
La loi Avia rate son envol
La loi Avia, du nom de cette charmante députée issue de la diversité, loi largement inspirée par les humanistes, défenseurs des libertés du CR*IF, en fait ordonnée à Juju lors d'un dîner dudit CR*IF vient d'être censurée (chacun son tour) par le Conseil Constitutionnel.
Je vous passe les attendus dont le détail a peu d'intérêt tant cette loi était inique et digne de figurer au fond d'une fosse septique.
Pour autant, et malgré ce sursaut d'honneur auquel le Conseil constitutionnel ne nous avait pas habitué, gardons nous de croire que nous sommes revenus dans un pays de liberté d'expression. Les agents de la police politique continuent d'arpenter le web, en particulier touitter et fesses-de-bouc . Depuis la loi Pleven, en 72 la censure fonctionne à plein pour les motifs les plus anodins.
Un des arguments utilisé par le CC dispose bien que la loi Avia ne tenait pas assez compte des circonstances et donc ─ ça ils ne le disent pas mais il faut l’entendre derrière les mots ─ que même leurs agents gauchiasses auraient pu être chopés grâce à cette loi.
Faisons confiance à nos ennemis pour replacer la même loi de manière plus dissimulée.
Donc plus que jamais prudence et subtilité, évitons les déclarations non sourcées tant que possible..
Mais en attendant ne boudons pas notre plaisir et si ça pouvait renvoyer la grosse dans les limbes dont elle n'aurait jamais dû sortir, tant mieux !
Je vous passe les attendus dont le détail a peu d'intérêt tant cette loi était inique et digne de figurer au fond d'une fosse septique.
Pour autant, et malgré ce sursaut d'honneur auquel le Conseil constitutionnel ne nous avait pas habitué, gardons nous de croire que nous sommes revenus dans un pays de liberté d'expression. Les agents de la police politique continuent d'arpenter le web, en particulier touitter et fesses-de-bouc . Depuis la loi Pleven, en 72 la censure fonctionne à plein pour les motifs les plus anodins.
Un des arguments utilisé par le CC dispose bien que la loi Avia ne tenait pas assez compte des circonstances et donc ─ ça ils ne le disent pas mais il faut l’entendre derrière les mots ─ que même leurs agents gauchiasses auraient pu être chopés grâce à cette loi.
Faisons confiance à nos ennemis pour replacer la même loi de manière plus dissimulée.
Donc plus que jamais prudence et subtilité, évitons les déclarations non sourcées tant que possible..
Mais en attendant ne boudons pas notre plaisir et si ça pouvait renvoyer la grosse dans les limbes dont elle n'aurait jamais dû sortir, tant mieux !
jeudi 18 juin 2020
L'appel du 18 juin ou l'histoire d'une imposture
Reblogué depuis le blog Arnaud de Brienne d'après un article de contre-info.com
Note liminaire .
En reprenant cet article je ne m'en prends nullement aux jeunes révoltés qui dès la fin juin ont embarqué sur des bateaux de fortune pour rejoindre l'Angleterre pour continuer la lutte et dont la totalité n'a pu entendre "l'Appel" pour la bonne raison qu'il n'avait pas été diffusé, du moins pas en ces termes.
J'avais un oncle et deux grand-cousins dans ces jeunes et c'est à la fois la honte et la fierté associées à la rage qui les ont poussés à passer chez le Godon, pas De Gaulle qu'ils n'ont découvert qu'après.
On aimerait avoir aujourd'hui des jeunes de cette trempe que je ne vois guère être représentés aujourd'hui que par Les Identitaires, toutes proportions gardées.
« L’appel du 18 juin » ou l’histoire d’une imposture
L’appel qu’on entend de nos jours n’est pas l’original et le texte de cet appel qu’on apprend dans les manuels scolaires depuis 1958 est tout simplement un faux.« Le 18 Juin 2010 va être célébré le 70ème anniversaire du célèbre appel de Londres de Charles de Gaulle. Or la version officielle, qui va être lue à la BBC, est un faux, comme le démontre le général d’aviation Le Groignec, compagnon de Saint-Exupéry, dans son livre paru en 2004 Philippiques contre les Mémoires gaulliens (Nouvelles Editions latines).
Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 Juin commence par cette phrase : « Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant rien n’est perdu …. »
Or, historiquement, Charles De Gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes :
- A cette date du 18 juin 1940, ces
« gouvernants de rencontre » n’avaient pu capituler, car non seulement
l’armistice n’était pas signé, mais les plénipotentiaires français
n’avaient pu encore rejoindre les lignes allemandes étant donné les
difficultés des communications. Cet armistice ne sera signé que le 22
juin avec l’Allemagne, et le 24 juin avec l’Italie. Par ailleurs on ne
peut confondre armistice et capitulation. L’armistice est un acte
politique, une suspension d’armes où le vaincu peut négocier certaines
conditions, c’est le contraire d’une capitulation où le vaincu doit se
soumettre sans condition au vainqueur, ce à quoi De Gaulle a consenti le
19 mars 1962 en capitulant devant le FLN, ennemi vaincu sur le terrain,
pour se débarrasser du « boulet algérien ».
En demandant un armistice, la France demande et obtient, le 22 juin 1940, que ni la marine, ni l’Afrique française, ne soit livrées à l’ennemi, qu’un tiers du pays reste en zone libre, et que Lyon et Clermont Ferrant soient évacués par l’armée allemande. En cas de capitulation il y aurait eu deux millions de prisonniers de plus, et tout le territoire aurait été occupé : les Allemands, en effet, avaient atteint Valence et se trouvaient à une étape de Marseille lorsque l’armistice a été signé. - ·Devant l’échec total de cet « appel du 18 Juin » auquel n’avait répondu aucun chef militaire de l’armée, de la marine ou de l’aviation, notamment aucun officier de la division que Charles De Gaulle commandait devant Arras en mai 1940 (suprême affront !) aucun homme politique, aucun diplomate français accrédité à Londres ou dans une autre capitale étrangère , aucun gouverneur ou responsable des colonies de l’Afrique française, aucun ministre résidant dans les pays sous protectorat ou sous mandat, Charles De Gaulle va s’affoler, car il se trouve désormais à Londres complètement isolé, en rupture de ban, sans mission officielle. En effet, la guerre continue et le gouvernement français le somme de rentrer en France, sous peine d’être jugé comme déserteur. Alors de Gaulle écrit au général Weygand la lettre suivante à la date du 20 juin 1940 :
Londres le 20 Juin 1940
Mon Général, J’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune autre résolution que de servir en combattant ….. ( MEMOIRES DE GUERRE) Charles de Gaulle- Edition PLON 1954 tome I – page 269)
Depuis 1958, cette lettre est dans les livres scolaires, car incompatible avec la légende, avec l’Histoire de France revue et corrigée par la falsification gaulliste, en vigueur encore aujourd’hui.
La suite reste entourée de mystère. Car de Gaulle ne dispose à cette date d’aucun moyen de transport pour rejoindre Bordeaux où siège le gouvernement français. Il est probable que Churchill, qui venait de rompre avec la France, refusa de lui donner un avion pour que de Gaulle rentre en France. La dissidence de la « France Libre » est donc née sous la contrainte de l’Angleterre, vérité que s’efforce de masquer l’imposture de la version officielle actuelle. Si de Gaulle avait pu rejoindre Bordeaux, comme il en avait manifesté l’intention le 20 Juin 1940, il n’y aurait probablement jamais eu ni de saga, ni de fabulation gaulliste. En effet, quand un officier français écrit une telle lettre pleine de déférence et d’esprit de discipline à son supérieur hiérarchique le 20 juin 1940, il ne peut être le même que celui qui aurait déclaré le 18 juin, deux jours avant, au micro de Londres, parlant du même supérieur, que ce dernier appartenait à « un gouvernement de rencontre qui a capitulé, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude ».
C’est pourtant ce faux, fabriqué après coup, qui est répandu dans tous les livres scolaires depuis 1958, qui est inscrit dans le marbre au 4 Carlton Garden à Londres, et que nous allons entendre dire et répéter des milliers de fois lors de la célébration officielle du mythe de l’Appel du 18 Juin 1940, pour continuer à entretenir le mensonge de la légende gaullienne de l’homme providentiel. »
Jean-Marie AVELIN Alain ALGUDO et Geneviève de TERNANT
Président Vice-présidents Et l’équipe de Veritas
lundi 15 juin 2020
Discours de Macron : A l'ouest rien de nouveau ! Juste quelques massacres en devenir
Le discours de Macron ne nous a rien appris que nous ne sachions. Comme d'habitude un discours fourre-tout, impossible à synthétiser ou à résumer.
Ce que j'en retiens, c'est qu'il entérine le début de la guerre raciale, donc qu'il valide la phase B de l'opération de destruction de l'Occident débutée avec l'opération Covid.
Sur l'hypothèse de la guerre raciale avalisée et confirmée par le maintien de Castaner en fonctions, je vous renvoie à l'article de Terre autochtone, il explique très bien les alternatives que nous avons.
Ce que j'en retiens, c'est qu'il entérine le début de la guerre raciale, donc qu'il valide la phase B de l'opération de destruction de l'Occident débutée avec l'opération Covid.
Sur l'hypothèse de la guerre raciale avalisée et confirmée par le maintien de Castaner en fonctions, je vous renvoie à l'article de Terre autochtone, il explique très bien les alternatives que nous avons.
dimanche 14 juin 2020
La mort de l'Homme
Un superbe texte de Saint-Exupéry trouvé par l'intermédiaire de La Lime .
Toute ressemblance avec notre époque est complètement fondée .
Lettre au Général X
Je viens de faire quelques vols sur « P-38 ». C’est une belle machine. J’aurais été heureux de disposer de ce cadeau-là pour mes vingt ans. Je constate avec mélancolie qu’aujourd’hui, à quarante-trois ans, après quelque six mille cinq cents heures de vol sous tous les ciels du monde, je ne puis plus trouver grand plaisir à ce jeu-là. Ce n’est plus qu’un instrument de déplacement – ici, de guerre. Si je me soumets à la vitesse et à l’altitude à un âge patriarcal pour ce métier, c’est bien plus pour ne rien refuser des emmerdements de ma génération que dans l’espoir de retrouver les satisfactions d’autrefois.
Ceci est peut-être mélancolique, mais peut-être bien ne l’est pas. C’est sans doute quand j’avais vingt ans que je me trompais. En octobre 1940, de retour d’Afrique du Nord où le groupe 2-33 avait émigré, ma voiture étant remisée, exsangue, dans quelque garage poussiéreux, j’ai découvert la carriole et le cheval. Par elle, l’herbe des chemins. Les moutons et les oliviers. Ces oliviers avaient un autre rôle que celui de battre la mesure derrière les vitres à cent trente kilomètres à l’heure. Ils se montraient dans leur rythme vrai qui est de lentement fabriquer des olives. Les moutons n’avaient pas pour fin exclusive de faire tomber la moyenne. Ils redevenaient vivants. Ils faisaient de vraies crottes et fabriquaient de la vraie laine. Et l’herbe aussi avait un sens puisqu’ils la broutaient.
Et je me suis senti revivre dans ce seul coin du monde où la poussière soit parfumée (je suis injuste, elle l’est en Grèce aussi comme en Provence). Et il m’a semblé que, durant toute ma vie, j’avais été un imbécile...
Tout cela pour vous expliquer que cette existence grégaire au cœur d’une base américaine, ces repas expédiés debout en dix minutes, ce va-et-vient entre les monoplaces de 2 600 CV dans une sorte de bâtisse abstraite où nous sommes entassés à trois par chambre, ce terrible désert humain, en un mot, n’a rien qui me caresse le cœur. Ça aussi, comme les missions sans profit ou espoir de retour de juin 1940, c’est une maladie à passer. Je suis « malade » pour un temps inconnu. Mais je ne me reconnais pas le droit de ne pas subir cette maladie. Voilà tout. Aujourd’hui, je suis profondément triste – et en profondeur. Je suis triste pour ma génération qui est vide de toute substance humaine. Qui, n’ayant connu que le bar, les mathématiques et les Bugatti comme forme de vie spirituelle, se trouve aujourd’hui dans une action strictement grégaire qui n’a plus aucune couleur. On ne sait pas le remarquer. Prenez le phénomène militaire d’il y a cent ans. Considérez combien il intégrait d’efforts pour qu’il fût répondu à la vie spirituelle, poétique ou simplement humaine de l’homme. Aujourd’hui que nous sommes plus desséchés que des briques, nous sourions de ces niaiseries. Les costumes, les drapeaux, les chants, la musique, les victoires (il n’est pas de victoire aujourd’hui, rien qui ait la densité poétique d’un Austerlitz. Il n’est que des phénomènes de digestion lente ou rapide), tout lyrisme sonne ridicule et les hommes refusent d’être réveillés à une vie spirituelle quelconque. Ils font honnêtement une sorte de travail à la chaîne. Comme dit la jeunesse américaine : « Nous acceptons honnêtement ce job ingrat »et la propagande, dans le monde entier, se bat les flancs avec désespoir. Sa maladie n’est point d’absence de talents particuliers, mais de l’interdiction qui lui est faite de s’appuyer, sans paraître pompière, sur les grands mythes rafraîchissants. De la tragédie grecque, l’humanité, dans sa décadence, est tombée jusqu’au théâtre de M. Louis Verneuil (on ne peut guère aller plus loin). Siècle de la publicité, du système Bedeau, des régimes totalitaires et des armées sans clairons ni drapeaux ni messe pour les morts. Je hais mon époque de toutes mes forces. L’homme y meurt de soif.
Ah ! Général, il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde. Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles. Faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien. Si j’avais la foi, il est bien certain que, passé cette époque de « job nécessaire et ingrat », je ne supporterais plus que Solesmes. On ne peut plus vivre de frigidaires, de politique, de bilans et de mots croisés, voyez-vous ! On ne peut plus. On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour. Rien qu’à entendre un chant villageois du XVe siècle, on mesure la pente descendue. Il ne reste rien que la voix du robot de la propagande (pardonnez-moi). Deux milliards d’hommes n’entendent plus que le robot, ne comprennent plus que le robot, se font robots. Tous les craquements des trente dernières années n’ont que deux sources : les impasses du système économique du XIXe siècle, le désespoir spirituel. Pourquoi Mermoz a-t-il suivi son grand dadais de colonel sinon par soif ? Pourquoi la Russie ? Pourquoi l’Espagne ? Les hommes ont fait l’essai des valeurs cartésiennes : hors les sciences de la nature, ça ne leur a guère réussi. Il n’y a qu’un problème, un seul : redécouvrir qu’il est une vie de l’esprit plus haute encore que la vie de l’intelligence, la seule qui satisfasse l’homme. Ça déborde le problème de la vie religieuse qui n’en est qu’une forme (bien que peut-être la vie de l’esprit conduise à l’autre nécessairement). Et la vie de l’esprit commence là où un être « un » est conçu au-dessus des matériaux qui le composent. L’amour de la maison – cet amour inconnaissable aux États-Unis – est déjà de la vie de l’esprit.
Et la fête villageoise et le culte des morts (je cite ça, car il s’est tué depuis mon arrivée ici deux ou trois parachutistes, mais on les a escamotés : ils avaient fini de servir). Cela c’est de l’époque, non de l’Amérique : l’homme n’a plus de sens.
Il faut absolument parler aux hommes.
À quoi servira de gagner la guerre si nous en avons pour cent ans de crise d’épilepsie révolutionnaire ? Quand la question allemande sera enfin réglée, tous les problèmes véritables commenceront à se poser. Il est peu probable que la spéculation sur les stocks américains suffise, au sortir de cette guerre, à distraire, comme en 1919, l’humanité de ses soucis véritables. Faute d’un courant spirituel fort, il poussera, comme champignons, trente-six sectes qui se diviseront les unes les autres. Le marxisme lui-même, trop vieillot, se décomposera en une multitude de néo-marxismes contradictoires. On l’a bien observé en Espagne. À moins qu’un César français ne nous installe dans un camp de concentration néo-socialiste pour l’éternité.
Ah ! quel étrange soir ce soir, quel étrange climat. Je vois de ma chambre s’allumer les fenêtres de ces bâtisses sans visage. J’entends les postes de radio divers débiter leur musique de mirliton à cette foule désœuvrée venue d’au-delà des mers et qui ne connaît même pas la nostalgie.
On peut confondre cette acceptation résignée avec l’esprit de sacrifice ou la grandeur morale. Ce serait là une belle erreur. Les liens d’amour qui nouent l’homme d’aujourd’hui aux êtres comme aux choses sont si peu tendus, si peu denses que l’homme ne sent plus l’absence comme autrefois. C’est le mot terrible de cette histoire juive : « Tu vas donc là-bas ? Comme tu seras loin ! – Loin d’où ? » Le « où » qu’ils ont quitté n’était plus guère qu’un vaste faisceau d’habitudes. En cette époque de divorce, on divorce avec la même facilité d’avec les choses. Les frigidaires sont interchangeables. Et la maison aussi si elle n’est qu’un assemblage. Et la femme. Et la religion. Et le parti. On ne peut même pas être infidèle : à quoi serait-on infidèle ? Loin d’où et infidèle à quoi ? Désert de l’homme.
Qu’ils sont donc sages et paisibles, ces hommes en groupe. Moi, je songe aux marins bretons d’autrefois, qui débarquaient à Magellan, à la Légion étrangère, lâchés sur une ville, à ces nœuds complexes d’appétits violents et de nostalgie intolérable qu’ont toujours constitués les mâles un peu trop sévèrement parqués. Il fallait toujours, pour les tenir, des gendarmes forts ou des principes forts ou des fois fortes. Mais aucun de ceux-là ne manquerait de respect à une gardeuse d’oies. L’homme d’aujourd’hui, on le fait tenir tranquille, selon le milieu, avec la belote ou avec le bridge. Nous sommes étonnamment bien châtrés. Ainsi sommes-nous enfin libres. On nous a coupé les bras et les jambes, puis on nous a laissés libres de marcher. Mais je hais cette époque où l’homme devient, sous un totalitarisme universel, bétail doux, poli et tranquille. On nous fait prendre ça pour un progrès moral ! Ce que je hais dans le marxisme, c’est le totalitarisme à quoi il conduit. L’homme y est défini comme producteur et consommateur, le problème essentiel est celui de distribution. Ainsi dans les fermes modèles. Ce que je hais dans le nazisme, c’est le totalitarisme à quoi il prétend par son essence même. On fait défiler les ouvriers de la Ruhr devant un Van Gogh, un Cézanne et un chromo. Ils votent naturellement pour le chromo. Voilà la vérité du peuple ! On boucle solidement dans un camp de concentration les candidats Cézanne, les candidats Van Gogh, tous les grands non-conformistes, et l’on alimente en chromos un bétail soumis. Mais où vont les États-Unis et où allons-nous, nous aussi, à cette époque de fonctionnariat universel ? L’homme robot, l’homme termite, l’homme oscillant du travail à la chaîne : système Bedeau, à la belote. L’homme châtré de tout son pouvoir créateur et qui ne sait même plus, du fond de son village, créer une danse ni une chanson. L’homme que l’on alimente en culture de confection, en culture standard comme on alimente les bœufs en foin. C’est cela, l’homme d’aujourd’hui.
Et moi, je pense que, il n’y a pas trois cents ans, on pouvait écrire La Princesse de Clèves ou s’enfermer dans un couvent pour la vie à cause d’un amour perdu, tant était brûlant l’amour. Aujourd’hui, bien sûr, des gens se suicident. Mais la souffrance de ceux-là est de l’ordre d’une rage de dents. Intolérable. Ça n’a point à faire avec l’amour.
Certes, il est une première étape. Je ne puis supporter l’idée de verser des générations d’enfants français dans le ventre du Moloch allemand. La substance même est menacée. Mais, quand elle sera sauvée, alors se posera le problème fondamental qui est celui de notre temps. Qui est celui du sens de l’homme, et il n’est point proposé de réponse et j’ai l’impression de marcher vers les temps les plus noirs du monde.
Ça m’est bien égal d’être tué en guerre. De ce que j’ai aimé, que restera-t-il ? Autant que des êtres, je parle des coutumes, des intonations irremplaçables, d’une certaine lumière spirituelle. Du déjeuner dans la ferme provençale sous les oliviers, mais aussi de Haendel. Les choses, je m’en fous, qui subsisteront. Ce qui vaut, c’est certain arrangement des choses. La civilisation est un bien invisible puisqu’elle porte non sur les choses, mais sur les invisibles liens qui les nouent l’une à l’autre, ainsi et non autrement. Nous aurons de parfaits instruments à musique distribués en grande série, mais où sera le musicien ? Si je suis tué en guerre, je m’en moque bien. Ou si je subis une crise de rage de ces sortes de torpilles volantes qui n’ont plus rien à voir avec le vol et font du pilote parmi ses boutons et ses cadrans une sorte de chef comptable (le vol aussi, c’est un certain ordre de liens). Mais, si je rentre vivant de ce « job nécessaire et ingrat », il ne se posera pour moi qu’un problème : que peut-on, que faut-il dire aux hommes ?
Je sais de moins en moins pourquoi je vous raconte tout ceci. Sans doute pour le dire à quelqu’un, car ce n’est point ce que j’ai le droit de raconter. Il faut favoriser la paix des autres et ne pas embrouiller les problèmes. Pour l’instant, il est bien que nous nous fassions chefs comptables à bord de nos avions de guerre.
Depuis le temps que j’écris, deux camarades se sont endormis devant moi dans ma chambre. Il va me falloir me coucher aussi, car je suppose que ma lumière les gêne (ça me manque bien, un coin à moi !). Ces deux camarades, dans leur genre, sont merveilleux. C’est droit, c’est noble, c’est propre, c’est fidèle. Et je ne sais pourquoi j’éprouve, à les regarder dormir ainsi, une sorte de pitié impuissante. Car, s’ils ignorent leur propre inquiétude, je la sens bien. Droits, nobles, propres, fidèles, oui, mais aussi terriblement pauvres. Ils auraient tant besoin d’un dieu. Pardonnez-moi si cette mauvaise lampe électrique que je vais éteindre vous a aussi empêché de dormir et croyez en mon amitié.
Lettre écrite à La Marsa, près de Tunis, en juillet 1943.
Parue dans Le Figaro littéraire, no 103, 10 avril 1948.
Recueillie dans Un sens à la vie, Gallimard, 1956.
Habemus Vaccinam ! Alleluia !
Le laboratoire AstraZeneca annonce pouvoir mettre sur le marché un vaccin contre la coronavirose d'ici la fin de l'année.
Concert de louanges et d'espoir du côté des imbéciles.
Tout cela serait presque anecdotique puisque ce n'est que le troisième, ou plus, laboratoire à indiquer qu'il était sur le point de pouvoir vacciner la population du globe contre cette maladie merveilleusement opportuniste, mais note attention doit être attirée par d'autres points.
Et là qu'est-ce que l'on nous annonce ? Qu'on est arrivé à mettre au point un vaccin contre un virus inconnu en moins de 6 mois ─ il faut quand même une bonne année pour la grippe autrement mieux connue ─ et le plus croustillant c'est que ce vaccin a été élaboré à partir d'un virus affectant le singe, que l'on a désactivé, puis qu'on lui a greffé des caractéristiques du SARS-CoV-2 (celui qui nous intéresse) afin que le corps humain, reconnaissant ces caractéristiques puisse fabriquer des anticorps.. Je sentais la journaliste qui nous décrivait le processus mouiller sa culotte tellement c'était beau et grandiose.
Le directeur du labo la main sur le cœur, a déclaré qu'il ne faisait tout ça que par bonté d'âme et que le prix serait ridicule (combien ça fait 7,5 milliards de fois que multiplient deux fois rien ? ) afin que tout le monde puisse en "profiter", quand à Juju de l'Elysée, du moment que les Afwicains pourraient en profiter ça déclenche chez lui des érections incontrôlables.
Mais attendez ! ce que l'on nous décrit, ce n'est rien d'autre que la fabrication d'un virus humain (ici désactivé pour la bonne cause) à partir d'un virus animal auquel on associe des caractéristiques propres à infecter le corps humain . En l'occurrence plusieurs chercheurs ont décrit dans le détail, même si "d'aimables pressions" les ont conduit à dire le contraire plus tard, que le SARS-Cov2 n'était rien d'autre qu'une sorte de virus du rhume auquel on aurait greffé des morceaux de VIH, c'est à dire techniquement exactement la même opération que la création du vaccin "salvateur".
Ces ânes bâtés nous décrivent donc dans le détail les manipulations qui ont conduit à la création du virus et peut-être même la manipulation qui a conduit à sa diffusion, à savoir une campagne de vaccination sur des volontaires ayant mal tourné . Mais naturellement le SARS-Cov2 n'est que le fait du hasard dû au croisement d'une pauvre bestiole et d'une recette de nouvelle cuisine .
Si d'ici la fin de l'année le pays n'est pas à feu et à sang, si les villes ne sont pas mises en coupe réglée par des milices "diverses" notre souci principal devra porter sur le fait de savoir comment éviter ce vaccin, vecteur à plus ou moins court terme de l'implantation d'une puce d'identification prouvant de manière universelle que l'on peut voyager sans risque.
Voyez, c'est avec une grande tristesse que j'écris ces quelques lignes, parce que je constate une fois de plus que nous avons plusieurs coups de retard et que je ne vois toujours pas qui serait en mesure de galvaniser les énergies pour enfin s'opposer à ces manœuvres sataniques et destructrices.
.
Concert de louanges et d'espoir du côté des imbéciles.
Tout cela serait presque anecdotique puisque ce n'est que le troisième, ou plus, laboratoire à indiquer qu'il était sur le point de pouvoir vacciner la population du globe contre cette maladie merveilleusement opportuniste, mais note attention doit être attirée par d'autres points.
Retour en arrière.
On nous a déjà indiqué que ce virus était un virus transmis de l'animal à l'homme par des pratiques culinaires que nous trouvons dégoutantes mais qui objectivement ne le sont pas plus que de manger des escargots, des cuisses de grenouilles ou des crabes, trois mets que j'apprécie.
Ce virus était totalement inconnu bien qu'étant finalement le cousin germain du SRAS et du MERS-Cov et surtout Ô grands Dieux ! il n'avait surtout pas été fabriqué en laboratoire. Non surtout pas ! Bande de sales complotistes qui méritez à peine le nom d'humains !
Et là qu'est-ce que l'on nous annonce ? Qu'on est arrivé à mettre au point un vaccin contre un virus inconnu en moins de 6 mois ─ il faut quand même une bonne année pour la grippe autrement mieux connue ─ et le plus croustillant c'est que ce vaccin a été élaboré à partir d'un virus affectant le singe, que l'on a désactivé, puis qu'on lui a greffé des caractéristiques du SARS-CoV-2 (celui qui nous intéresse) afin que le corps humain, reconnaissant ces caractéristiques puisse fabriquer des anticorps.. Je sentais la journaliste qui nous décrivait le processus mouiller sa culotte tellement c'était beau et grandiose.
Le directeur du labo la main sur le cœur, a déclaré qu'il ne faisait tout ça que par bonté d'âme et que le prix serait ridicule (combien ça fait 7,5 milliards de fois que multiplient deux fois rien ? ) afin que tout le monde puisse en "profiter", quand à Juju de l'Elysée, du moment que les Afwicains pourraient en profiter ça déclenche chez lui des érections incontrôlables.
Mais attendez ! ce que l'on nous décrit, ce n'est rien d'autre que la fabrication d'un virus humain (ici désactivé pour la bonne cause) à partir d'un virus animal auquel on associe des caractéristiques propres à infecter le corps humain . En l'occurrence plusieurs chercheurs ont décrit dans le détail, même si "d'aimables pressions" les ont conduit à dire le contraire plus tard, que le SARS-Cov2 n'était rien d'autre qu'une sorte de virus du rhume auquel on aurait greffé des morceaux de VIH, c'est à dire techniquement exactement la même opération que la création du vaccin "salvateur".
Ces ânes bâtés nous décrivent donc dans le détail les manipulations qui ont conduit à la création du virus et peut-être même la manipulation qui a conduit à sa diffusion, à savoir une campagne de vaccination sur des volontaires ayant mal tourné . Mais naturellement le SARS-Cov2 n'est que le fait du hasard dû au croisement d'une pauvre bestiole et d'une recette de nouvelle cuisine .
Si d'ici la fin de l'année le pays n'est pas à feu et à sang, si les villes ne sont pas mises en coupe réglée par des milices "diverses" notre souci principal devra porter sur le fait de savoir comment éviter ce vaccin, vecteur à plus ou moins court terme de l'implantation d'une puce d'identification prouvant de manière universelle que l'on peut voyager sans risque.
Voyez, c'est avec une grande tristesse que j'écris ces quelques lignes, parce que je constate une fois de plus que nous avons plusieurs coups de retard et que je ne vois toujours pas qui serait en mesure de galvaniser les énergies pour enfin s'opposer à ces manœuvres sataniques et destructrices.
.
Casques Bleus place de la Concorde, Paris, février 2021 |
samedi 13 juin 2020
Coronavirus : ce qui cloche dans les chiffres Français.
Alors que les autorités françaises ont cessé, ou presque, de nous parler d'une seconde vague de contagion, elles pratiquent toujours un déconfinement qui ressemble plus à une promenade dans la cour de la prison qu'à un retour à la liberté.
Les statistiques, que l'on retrouve sur le site Worldmeter ou bien sur le site du gouvernement français donnent en particulier 4 chiffres, celui du nombre total des gens qui ont été contaminés (cumulatif) celui des personnes décédées (cumulatif), des personnes guéries (cumulatif) et celui des cas actifs, c'est à dire des malades ou contaminés en cours.
Compte tenu des conditions de recueil, ces chiffres peuvent être entachés d'une importante marge d'erreur. Ainsi le 02 juin, la méthode de recueil des cas a changé car certains malades étaient comptés deux fois. Le nombre de cas détectés a ainsi perdu 37543 cas et les et celui des cas actifs, 38267, ce qui représentait quand même 35% des cas recensés. Excusez la marge d'erreur !
Ça ne serait que cela ça ne serait pas trop inquiétant, l'erreur est humaine. On s'étonnera juste que la méthode de comptage ait changé à la baisse quand le gouvernement a eu besoin d’étayer sa décision de remettre tout le monde, ou presque, au boulot. Quand il fallait confiner tout le monde, on pouvait compter les malades deux ou trois fois.
Ce qui est étonnant, c'est que dans les pays qui semblent agir avec un peu plus d'honnêteté, les courbes cumulatives ont grosso modo la forme d'une demi-cloche qui ensuite se stabilise en plateau, alors que les courbes des cas au jour le jour (en rouge sue le graphique) ont la forme d'une courbe de Gauss, plus ou moins déformée (ici le cas de l'Allemagne, l'Italie et la Suisse sont similaires)
Dans le cas de la France, la situation est très différente. La courbe des cas actifs est établie en plateau, ce qui logiquement veut dire, soit que les gens ne guérissent pas, soit qu'il y a un apport quotidien de malades égal aux sorties par décès ou par guérison ─ ce que semble démentir le gouvernement ─ et que le temps de guérison est exceptionnellement plus long que dans d'autres pays.
On notera les "escaliers" dus à diverses manipulations sur les chiffres et encore, j'en ai effacé quelques uns.
En gros, en France, depuis la mi-avril (si l'on excepte la magouille du 2 juin) le nombre de malades ne décroit plus alors qu'on nous affirme le contraire et que dans notre entourage nous ne sommes confrontés à aucun cas depuis que nos vieux sont morts quasi assassinés en mars-avril.
Si l'on regarde le chiffre des malades en réanimation, A Paris il était de 855 le 08 avril, de 232 le 18 mai et de 112 aujourd'hui. Il parait incroyable que la courbe des malades ne suive pas un chemin similaire.
L'impression que j'en retire c'est que le gouvernement s'en garde sous le coude "au cas où", lui qui, du jour au lendemain, a fait s'évaporer 35% des malades qui devenaient encombrants .
A quoi riment toutes ces simagrées ? Quelle est la vraie situation du pays ? Que nous prépare encore le joker de l'Elysée ?
Les statistiques, que l'on retrouve sur le site Worldmeter ou bien sur le site du gouvernement français donnent en particulier 4 chiffres, celui du nombre total des gens qui ont été contaminés (cumulatif) celui des personnes décédées (cumulatif), des personnes guéries (cumulatif) et celui des cas actifs, c'est à dire des malades ou contaminés en cours.
Compte tenu des conditions de recueil, ces chiffres peuvent être entachés d'une importante marge d'erreur. Ainsi le 02 juin, la méthode de recueil des cas a changé car certains malades étaient comptés deux fois. Le nombre de cas détectés a ainsi perdu 37543 cas et les et celui des cas actifs, 38267, ce qui représentait quand même 35% des cas recensés. Excusez la marge d'erreur !
Ça ne serait que cela ça ne serait pas trop inquiétant, l'erreur est humaine. On s'étonnera juste que la méthode de comptage ait changé à la baisse quand le gouvernement a eu besoin d’étayer sa décision de remettre tout le monde, ou presque, au boulot. Quand il fallait confiner tout le monde, on pouvait compter les malades deux ou trois fois.
Ce qui est étonnant, c'est que dans les pays qui semblent agir avec un peu plus d'honnêteté, les courbes cumulatives ont grosso modo la forme d'une demi-cloche qui ensuite se stabilise en plateau, alors que les courbes des cas au jour le jour (en rouge sue le graphique) ont la forme d'une courbe de Gauss, plus ou moins déformée (ici le cas de l'Allemagne, l'Italie et la Suisse sont similaires)
Dans le cas de la France, la situation est très différente. La courbe des cas actifs est établie en plateau, ce qui logiquement veut dire, soit que les gens ne guérissent pas, soit qu'il y a un apport quotidien de malades égal aux sorties par décès ou par guérison ─ ce que semble démentir le gouvernement ─ et que le temps de guérison est exceptionnellement plus long que dans d'autres pays.
On notera les "escaliers" dus à diverses manipulations sur les chiffres et encore, j'en ai effacé quelques uns.
En gros, en France, depuis la mi-avril (si l'on excepte la magouille du 2 juin) le nombre de malades ne décroit plus alors qu'on nous affirme le contraire et que dans notre entourage nous ne sommes confrontés à aucun cas depuis que nos vieux sont morts quasi assassinés en mars-avril.
Si l'on regarde le chiffre des malades en réanimation, A Paris il était de 855 le 08 avril, de 232 le 18 mai et de 112 aujourd'hui. Il parait incroyable que la courbe des malades ne suive pas un chemin similaire.
L'impression que j'en retire c'est que le gouvernement s'en garde sous le coude "au cas où", lui qui, du jour au lendemain, a fait s'évaporer 35% des malades qui devenaient encombrants .
A quoi riment toutes ces simagrées ? Quelle est la vraie situation du pays ? Que nous prépare encore le joker de l'Elysée ?
La marche vers le totalitarisme de l'émotion - Liberté Politique
Article rédigé par François Billot de Lochner, le 12 juin 2020 dans Liberté Politique
Un beau texte, je trouve. Plutôt que de démissionner ne devrait-il pas plutôt se pendre ?
Le pire n’est jamais décevant : il semble que cette boutade caractérise assez bien l’escalade de scandales à laquelle se livre la Macronie depuis déjà quelques trop longues semaines. Malheureusement nous ne sommes certainement pas au bout de nos surprises.
François Billot de LochnerCette semaine, la coupe d’or est revenue à Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, locataire de la Place Beauvau, et comme on dit, « premier flic de France », dans sa déclaration saluant l’explosion des manifestations en soutien à George Floyd. Manifestations interdites, mais tolérées, en vertu d’un nouveau principe constitutionnel : « l’émotion dépasse les cadres juridiques. »
Nous en restons sans voix. Fi des lois, fi des règlements, fi des ordonnances, fi de la constitution même, et ne parlons pas de la vertu : en haut de la hiérarchie des principes régulateurs doit siéger Sa Majesté l’émotion. L’art et la matière de dynamiter, en direct, le semblant de colonne vertébrale qui restait à notre pauvre pays, le vague souvenir qu’il existait un ordre public régulé par la Loi. Montesquieu doit se retourner dans sa tombe…Après des semaines d’incurie gouvernementale, de retournements rhétoriques et pratiques, d’incertitudes et de mesures suintant alternativement l’idéologie et l’amateurisme, comment faut-il interpréter cette saillie ? Elle résonne bien douloureusement. Les Français ont eu à se plier à des consignes absurdes, l’économie entière a été sacrifiée et mise au pas, avec tout ce que cela signifie comme drames humains pour des milliers de familles, mais tout cela était vain en regard de l’émotion suscitée par l’arrestation et la mort de George Floyd.Que ne l’avons-nous su plus tôt ! Si l’émotion surpasse tout, cela signifie que l’on aurait pu éviter les morts silencieuses et solitaires, les adieux pour l’éternité qui n’ont jamais eu lieu, pour tous ceux qui ont laissé partir leurs proches sans pouvoir leur adresser un ultime témoignage de leur affection… Merci Monsieur Castaner de nous en informer… après coup. Mais il y a fort à parier que ce n’est pas de cette émotion-là que parle le ministre. Comme pour tout, il y a de « bonnes » émotions, et de mauvaises émotions.
Il y a aussi un « bon » racisme, qui s’appelle le racialisme, pour qui Blanc rime avec méchant, et qui a les faveurs des médias, et un mauvais racisme, qui lui, mérite que l’on défile de Bastille à République parce qu’il serait incarné par Trump.En entendant, le fameux aphorisme de Chesterton vient une fois encore prouver son actualité : « le monde moderne est plein d’anciennes vertus chrétiennes devenues folles. » La compassion a été remplacée par l’émotion, et Castaner présente maintenant avec sa folle formule un terrible crible, qui va servir à réduire en poudre notre société, notre capacité à « vivre ensemble », pour reprendre une expression qui pourtant leur est si chère. La dictature de l’émotion au service du pire.Fort heureusement, au-delà de l’engouement hystérique pour la cause Floyd, bien des consciences, de droite comme de gauche, se réveillent et dénoncent le règne d’Ubu. Dans ce chaos, les plus à plaindre sont bien sûr les policiers. Ils ont été utilisés à tort et à travers lors de la crise des Gilets jaunes, aujourd’hui leur patron les méprise, les empêche de travailler, leur crache au visage. Dans d’autres circonstances, on pourrait même dire qu’ils ont à subir un harcèlement moral de la part de celui-là même qui est supposé les employer et défendre leurs droits. Comment espérer faire un vrai travail de maintien dans l’ordre dans ces conditions, quand au plus haut sommet de l’Etat ce même ordre est officiellement subverti ? Alors plutôt que de mettre genou en terre, ils jettent leurs menottes au sol.Nous sommes assis sur un baril de poudre. Ce week-end, des séries de manifestations sont programmées. Interdites, mais tolérées. Des syndicats de police ont d’ores et déjà appelé à la grève des interpellations. Ils ne veulent pas faire l’objet de soupçons avérés de racisme à répétition, ils ne veulent pas que leur vie et leur carrière servent de défouloir à la folie anti-raciste. Ils vont s’abstenir, et par leur retrait, c’est le pays qui est livré à l’anarchie, non par leur faute, mais par l’attitude irresponsable du ministre de l’Intérieur.
Depuis quelques jours, la presse est agitée par une rumeur qui enfle et grossit, évidemment démentie par l’Elysée, selon laquelle Macron aurait envisagé de démissionner. Si seulement ! Mais à une seule condition, qui n’est pas la sienne : qu’il ne se représente pas et qu’il disparaisse du champ politique de notre beau pays auquel il a fait tant de mal.
Un beau texte, je trouve. Plutôt que de démissionner ne devrait-il pas plutôt se pendre ?
Manifestation d'une probable exaspération
Il est quand même symptomatique de la manipulation, qu'un, appelons-le drame, survenu lors d'une arrestation d'un afro-américain , se déroulent aux USA et ne mettant en scène que des Américains de diverses ethnies, sans qu'un quelconque acte de racisme ne soit pour l'instant prouvé, déclenche, chez nous un mouvement d'une telle ampleur.
Je claque la gueule du premier qui me parle de hasard.
Rappelons que dans l'affaire Traoré, aucun geste d'immobilisation spécifiquement dangereux n'avait été appliqué et que le dénommé Traoré aurait pu tout aussi bien s'appeler Blanchard que ça n'aurait rien changé à son sort si le susdit Blanchard avait été sujet aux mêmes pathologies.
Rappelons en passant que sur les trois gendarmes ayant contrôlé ledit Traoré, deux étaient d'une couleur de peau presque identique à la victime et que ce dernier qui n'était pas un perdreau de l'année avait refusé d'obtempérer aux ordres de la police.
Certes la France a un passé colonial, certes des négociants français dont un nombre non négligeable appartenant à une communauté invisible se sont livrés à l'esclavage. Certes l'esclavage comme la colonisation ont été de graves erreurs comme probablement le fait d'exterminer la totalité de la population de Bourges par les armées de César.
Mais c'est l'histoire et nous n'allons pas nous étendre sur les guerres intestines permanentes en Afrique qui ont conduit les roitelets locaux à vendre des populations aux marchands d'esclaves arabo-musulmans et occidentaux . Certes ces pratiquent perdurent depuis la plus lointaine Antiquité, mais personne ne demande aux Africains de faire repentance pour leur propre turpitude et personne ne met en cause les populations de l'Afrique du nord, de la Turquie, de l’Égypte , des Arabies pour en avoir largement profité et ce bien longtemps après que les pays occidentaux y avient mis fin.
Personne ne demandera une repentance aux pays maghrébins pour avoir razzié les côtes européennes pendant des siècles, d'en avoir kidnappé les populations et d'avoir établi un commerce d'esclaves très lucratif, amenant le France à débarquer à Alger en 1830, nous faisant commettre une de nos plus belles erreurs historique.
Alors que la France, depuis la fin des années 60 a accueilli sur son sol plus de 20 millions d'immigrés de ses anciennes colonies, haïssant tellement leur colonisateur qu'ils se sont empressés d'y venir pour travailler, pour certains, et vivre des subsides publiques pour beaucoup. Alors que les transferts d'argent depuis la métropole vers les anciens pays colonisés représentent une part importante du budget de ces pays, au moins pour les familles, à quoi riment ces manifestations ? Vous croyez vous en droit d'exiger quoi que ce soit, vous qui prenez plus que vous ne donnez ? Depuis quand une manifestation menée par un ou plusieurs repris de justice, va permettre d'effacer plusieurs siècles d'histoire ? A part les fous qui voudrait modifier le passé ?
En quoi cela va-t-il permettre à l'Afrique sub-saharienne de rentrer enfin dans l'histoire ?
Et vous les lopettes blanches, les aigris de gauche, les anti-France, le parti éternel de l'étranger, qu'espérez vous de votre veulerie et de votre couardise ? que vous apportera la disparition du pays de vos ancêtres ?
Et vous les prétendus révoltés, que croyez vous qu'il se passera lorsque vous aurez poussé le pays à la guerre civile ? Croyez vous vraiment en réchapper ? C'est mal connaître ce pays qui est lâche uniquement tant qu'il peut l'être mais qui devient sauvage lorsqu'il se réveille et retrouve alors une fierté dont vous aurez à subir la flamme.
Je claque la gueule du premier qui me parle de hasard.
Rappelons que dans l'affaire Traoré, aucun geste d'immobilisation spécifiquement dangereux n'avait été appliqué et que le dénommé Traoré aurait pu tout aussi bien s'appeler Blanchard que ça n'aurait rien changé à son sort si le susdit Blanchard avait été sujet aux mêmes pathologies.
Rappelons en passant que sur les trois gendarmes ayant contrôlé ledit Traoré, deux étaient d'une couleur de peau presque identique à la victime et que ce dernier qui n'était pas un perdreau de l'année avait refusé d'obtempérer aux ordres de la police.
Certes la France a un passé colonial, certes des négociants français dont un nombre non négligeable appartenant à une communauté invisible se sont livrés à l'esclavage. Certes l'esclavage comme la colonisation ont été de graves erreurs comme probablement le fait d'exterminer la totalité de la population de Bourges par les armées de César.
Mais c'est l'histoire et nous n'allons pas nous étendre sur les guerres intestines permanentes en Afrique qui ont conduit les roitelets locaux à vendre des populations aux marchands d'esclaves arabo-musulmans et occidentaux . Certes ces pratiquent perdurent depuis la plus lointaine Antiquité, mais personne ne demande aux Africains de faire repentance pour leur propre turpitude et personne ne met en cause les populations de l'Afrique du nord, de la Turquie, de l’Égypte , des Arabies pour en avoir largement profité et ce bien longtemps après que les pays occidentaux y avient mis fin.
Personne ne demandera une repentance aux pays maghrébins pour avoir razzié les côtes européennes pendant des siècles, d'en avoir kidnappé les populations et d'avoir établi un commerce d'esclaves très lucratif, amenant le France à débarquer à Alger en 1830, nous faisant commettre une de nos plus belles erreurs historique.
Alors que la France, depuis la fin des années 60 a accueilli sur son sol plus de 20 millions d'immigrés de ses anciennes colonies, haïssant tellement leur colonisateur qu'ils se sont empressés d'y venir pour travailler, pour certains, et vivre des subsides publiques pour beaucoup. Alors que les transferts d'argent depuis la métropole vers les anciens pays colonisés représentent une part importante du budget de ces pays, au moins pour les familles, à quoi riment ces manifestations ? Vous croyez vous en droit d'exiger quoi que ce soit, vous qui prenez plus que vous ne donnez ? Depuis quand une manifestation menée par un ou plusieurs repris de justice, va permettre d'effacer plusieurs siècles d'histoire ? A part les fous qui voudrait modifier le passé ?
En quoi cela va-t-il permettre à l'Afrique sub-saharienne de rentrer enfin dans l'histoire ?
Et vous les lopettes blanches, les aigris de gauche, les anti-France, le parti éternel de l'étranger, qu'espérez vous de votre veulerie et de votre couardise ? que vous apportera la disparition du pays de vos ancêtres ?
Et vous les prétendus révoltés, que croyez vous qu'il se passera lorsque vous aurez poussé le pays à la guerre civile ? Croyez vous vraiment en réchapper ? C'est mal connaître ce pays qui est lâche uniquement tant qu'il peut l'être mais qui devient sauvage lorsqu'il se réveille et retrouve alors une fierté dont vous aurez à subir la flamme.
jeudi 11 juin 2020
De Colbert aux Confédérés
Colbert, parce que ça les fait chier. |
Ce que nous enseigne la crise raciale aux USA et sa transposition fantasmagorique à la France, c'est que la société multiraciale et multiculturelle que l'on cherche à nous imposer est tout à la fois un mythe et un danger mortel . Mortel pour les Etats, mais aussi les individus et la nation. Un mythe parce que ça ne repose que sur une idéologie et pas sur des faits .
Évacuons la nation tout de suite, il n'y a plus de nation en France, il y n'y a, déjà, qu' une coexistence pas très pacifique de communautés qui cherchent chacune à s'assurer la primauté sur les autres, à commencer sur ce qu'il subsiste de la nation française. Mais quand la partie autochtone de la population aura succombé aux autres, ce sera pas pour autant l'avènement d'un nouveau monde ou coulera le miel et le thé à la menthe. Chaque communauté voudra étendre son pouvoir sur les autres. N'oublions pas que c'est ce qui sous-tend la seconde, sinon la première religion de ce pays, professée par nombre de nos allochtones.
Le manque d'adhésion à une culture reconnue comme commune, aggravée par des conflits raciaux, qui sont de tout temps, amène nécessairement à une guerre permanente, même si elle est parfois larvée.
C'est ce que nous enseigne l'histoire des USA, de l'Afrique du Sud, des Balkans et de bien d'autres pays, le Brésil, la Thaïlande, la Birmanie, la Chine, etc;
Il serait certainement plus difficile de trouver un pays ou "ça marche" que ceux où ça ne se passe pas bien.
Et c'est là où l'on revient au complot. pourquoi les mondialistes tiennent-ils tant à promouvoir l'abaissement des cultures et des valeurs traditionnelles qui ont fait leurs preuves, au profit de cultures et de valeurs importées ?
Certainement, ni par admiration, ni pour promouvoir la paix. ils le font pour détruire tout l'édifice existant pour bâtir leur monde , celui ou une élite, eux, dominera la piétaille, nous, de manière encore plus brutale et injuste que ce peut être le cas aujourd'hui. Tout cela pour notre bien et grâce aux bons sentiments.
Il convient donc d'observer les événements récents et d'analyser les différents discours et postures à la lumière de ce que je viens de dire. Ceux qui semblent mener la danse, certains mouvements racialistes et disons le, racistes, sont menés par des marionnettes hyper-violentes, souvent repris de justice du droit commun, dans les mains de bien plus futés qu'eux . Il n'y a donc rien à espérer d'eux, tout au plus pouvons nous nous préparer à nous défendre si le mouvement prend de l'ampleur.et souhaiter l'émergence en France d'un dirigeant couillu et charismatique.
Ceux qui nous ont mené là devront payer par quelque moyen que ce soit, mais on ne peut détruire ainsi des nations, des pays, la vie des gens pour de bas intérêts pécuniaires.
Parce que ça les fait chier ! |
Inscription à :
Articles (Atom)