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vendredi 30 octobre 2009

SCANDALE !

A BAS LES POURRIS !

Le débat sur la légitime défense s'était invité dans la campagne dans la campagne électorale pour la présidentielle, après un échange épistolaire entre le garde des Sceaux de l'époque Pascal Clément et le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy. Ce dernier avait demandé à Pascal Clément de faire prévaloir la légitime défense à propos de ce commerçant, mis en examen et incarcéré pour "homicide volontaire", alors qu'il avait tué en 2006 un cambrioleur chez lui à Nogent-sur-Marne, dans le Val-de-Marne. Pascal Clément lui avait sèchement répondu que le ministre de l'Intérieur n'avait pas à interférer dans les enquêtes et décisions de justice. Une divergence aussitôt commentée par l'autre candidate, Ségolène Royal, qui avait dénoncé l'attitude de Nicolas Sarkozy. Avant que la polémique ne retombe.

Nous voici trois ans après. L'affaire a suivi son cours auprès de la justice française. Et le commerçant est finalement renvoyé devant la cour d'assises pour meurtre, a-t-on appris jeudi de source proche du dossier, confirmant une information du site du Parisien. Dans son ordonnance rendue mercredi, le juge d'instruction de Créteil n'a pas retenu pas la légitime défense invoquée par le commerçant et l'a renvoyé devant la cour d'assises du Val-de-Marne pour homicide volontaire. Les deux complices du cambrioleur tué en octobre 2006 ont, eux, été renvoyés pour tentative de vol avec arme. En avril, le procureur de la République de Créteil, Jean-Jacques Bosc, avait requis un non-lieu dans ce dossier à l'égard du commerçant et demandé la mise en accusation des deux complices. Le parquet de Créteil a indiqué qu'il allait faire appel de l'ordonnance rendue par le juge d'instruction.

Le 27 octobre 2006 trois hommes s'étaient introduits au domicile, à Nogent-sur-Marne, de René Dahan, directeur commercial en textile de 58 ans, pour le voler. Ce dernier avait réussi à retourner l'arme d'un des assaillants, blessant l'un d'eux, âgé de 26 ans et connu des services de police. Ce dernier était ensuite tombé par la fenêtre du premier étage, faisant une chute de quatre mètres. Touché à trois reprises, dont deux dans le dos, il avait succombé à ses blessures et ses deux comparses avaient pris la fuite. Ceux-ci, âgés de 23 et 27 ans à l'époque, avaient été interpellés quelques jours plus tard, le 3 novembre, à Brétigny-sur-Orge (Essonne), mis en examen et incarcérés. Le commerçant avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire le 10 novembre 2006 par la cour d'appel de Paris.
source 20minutes.fr


Mettre un arme sur la tempe d'un citoyen c'est un acte bénin, désarmer le gangster et le flinguer c'est un acte criminel !
En France, ce pays dégénéré, on ne peut se défendre contre une agression que si auparavant on a eu la délicatesse de se laisser tuer.

A BAS LES POURRIS !
JUSTICE DE MERDE !

mardi 27 octobre 2009

allons enfants

On dira que je fais du mauvais esprit mais j'en ai marre des chevènement-onneries, sarko-nneries et maintenant des besson-neries.
Régulièrement on nous ressort du placard, la Marseillaise à l'école et le retour de l'instruction civique sur toile de fond de définition de l'identité française (1).
De préférence à l'approche d'élections quand il s'agit de ramener aux urnes, la frange nationalisto-gogo de nos concitoyens, écœurés par le laisser-aller de l'État, assoiffés de paix et d'ordre. Ce qui au demeurant est une aspiration parfaitement légitime.
L'État n'existe même que pour cela.

Français mes frères, je vous le dis, ne croyez pas une seconde en la gesticulation de ces pantins aux trois points.


Lui achèteriez-vous une voiture d'occasion ?
Non ! alors pourquoi lui faire confiance pour le reste ?


Ils vous mentent comme ils vous ont toujours menti. Rien ne les empêchera de poursuivre leur œuvre de destruction et votre avenir est le cadet de leurs soucis. Vous n'êtes qu'un paramètre d'ajustement comme disent si bien les économistes et n'attendez pas d'eux votre salut.
Votez en votre âme et conscience, ou ne votez pas, préparez du mieux que vous pourrez vos enfants aux épreuves qui les attendent, ne vous laissez ni intimider, ni attendrir.
C'est la seule attitude qui vaille.

(1) le fait même que l'on s'évertue depuis des décennies à vouloir sans succès la définir, prouve qu'elle est mal assurée, pourtant entre Français on se reconnait rapidement. Curieux non ?

lundi 26 octobre 2009

Abrégé

Un pédophile souhaiterait qu'on lui coupe les couilles pour mettre fin à sa perversité, ce qui pose un gros problème au Législateur.
Et si on s'arrêtait au cou ?

samedi 24 octobre 2009

Le délire continue

BHO président des USA vient de décréter l'état d'urgence aux USA relativement à la grippe H1N1.
Les USA ont eu environ 1000 morts de la grippe H1N1 depuis le mois d'avril soit en 6 mois.
Annuellement la grippe saisonnière tue bon an mal an 36000 (trente six mille) personnes au USA.
Cherchez l'erreur.
De plus aux USA certains États et entreprises ont rendu la vaccination obligatoire.

jeudi 15 octobre 2009

Que la bête meure

Il ne viendrait l'idée à personne sauf quelques grincheux, de contester la notion d'état de droit.
L'état de droit c'est dans le mythe démocratique collectif, le contraire d'arbitraire et de pouvoir absolu. L'état de droit, c'est la victoire de l'écrit et de la raison sur le fantasque et le caprice .

En vérité, citoyens-consommateurs, ne vous a-t-on pas pris pour des billes ?

Arbitraire et pouvoir absolu ne sont réellement nuisibles que lorsqu'ils sont aux mains de souverains dévoyés.
On pourra dire ce que l'on voudra de l'Ancien Régime, mais la quasi totalité des rois qui ont gouverné la France avaient une très haute opinion de leur mission, de leur fonction qu'ils exerçaient dans la crainte de Dieu.
La justice ne pouvait être inéquitable ce que permettait l'absolutisme et l'arbitraire du Roi qui exerçait la décision en dernier recours en son âme et conscience.
J'entends déjà les quolibets : c'est une vision idéalisée de l'Ancien Régime qui comportait aussi sa part de bandits, de canailles etc.
Certes tout n'était pas parfait, loin de là mais il y avait au moins une différence fondamentale, celui qui commettait le mal faisait profil bas par crainte des représailles.

Voyons maintenant comment l'état de droit nous a fait entrer dans la "modernité".
L'état de droit c'est un système basé sur des lois le plus souvent écrites, dont généralement une fondamentale que l'on appelle "constitution".
Les lois sont censées prévoir toutes les situations de la vie et tout ce qui n'est pas défendu expressément par la loi est autorisé.
Quand l'Ancien Régime, en cas de problème nouveau se référait en ultime recours à la loi de Dieu : en gros à la notion de bien et de mal que chacun porte en soi , l'état de droit exige que le cas ait été envisagé auparavant.
Ce qui est intéressant dans l'état de droit c'est qu'il inclut en son sein sa propre référence éthique (la morale n'existe plus en état de droit) .
La conséquence, c'est qu'il n'existe plus de loi "éternelle", immuable. Tout peut changer en permanence, ce qui amène nécessairement à une certaine désagrégation de la société qui s'y réfère.
Tout peut changer, donc tout change, tout peut aussi être le contraire de tout.
Dans la plupart , voire dans la totalité des sociétés humaines, tuer autrui est condamnable . C'est une des clés de voute d'une société. Si chacun peut en toute impunité tuer autrui, il n'y a pas de société, c'est l'état sauvage, l'état de nature.
Naturellement la mort d'autrui reste autorisée dans certaines conditions, généralement les mêmes quelle que soit la société en question : la guerre et la punition des crimes. Ces morts contribuent à la solidité de l'édifice en éliminant les ennemis extérieurs et intérieurs, les forces qui veulent désagréger cette société.
L'état de droit , puisqu'il constitue sa propre référence a changé cela.
La mort en punition de crimes n'est presque plus appliquée, certains verraient bien des guerres sans l'autorisation de tuer.
Par contre la mort est autorisée pour l'enfant à naître dans le ventre de sa mère, le vieillard, le malade . En un mot les ultra-faibles mais porteurs de l'avenir et de l'histoire. Ainsi la société qui vit sous le règne de l'état de droit nie son passé et ne revendique aucun avenir.
La mort est également, sinon autorisée, du moins tolérée quand elle est donnée par un marginal de la société, quelqu'un qui pour diverses raisons se met en marge de la société en donnant la mort à ses contemporains qui par rapport à lui sont des faibles puisqu'on ne leur reconnait pas le droit ni de se défendre ni de se venger. Il y acquiert d'ailleurs une protection de sa vie pour tout le temps où il sera sous la protection de l'État (en prison, mais pas nécessairement). Il y a une certaine logique à cela puisque le tueur contribue à renforcer l'état de droit en participant indirectement à l'élaboration de lois supplémentaires. C'est la justification la plus évidente du système.
Je vous passe le culte de l'égalité en lieu et place de l'équité, la quête sans fin aux "droits à", sans devoir quand les "droits de" liés à des devoirs s'étiolent. Chaque droit à est nécessairement universel et fini par se retourner contre le citoyen, donc contribue à l'affaiblissement de l'ensemble, tandis que les droits de sont perçus comme des menaces par le système. Il est clair que leur mise sous le boisseau affaibli tout autant la société qui perd ainsi le ciment qui la faisait tenir debout : l'adhésion de ses membres à la société qu'ils composent.

Un tel système ne peut perdurer, il est clair qu'il va imploser sous le poids de ses propres contradictions. Surtout que la pression extérieure n'a pas cessé . Aujourd'hui l'immigration, demain pourquoi pas la menace militaire.
Les époques de décadence brillent souvent de mille feux. La notre laissera sans doute des regrets quand on aura oublié son côté obscur. J'ignore naturellement quels évènements conduiront à la chute de l'Occident. Mais une chose est sûre, à chaque fois qu'une civilisation sombre, c'est qu'elle a rencontré son pire ennemi, à savoir elle-même.

samedi 10 octobre 2009

Exit la démocratie

Jean Sarkozy, un morveux mal torché qui se voit investi d'une baronnie à moins que ne ce soit d'un comté alors qu'il n'est rien, sinon le fils de, n'a rien fait, n'a même pas le niveau d'étude que l'on demande maintenant à un quasi smicard ; Frédéric Mitterrand, un dévoyé promu ministre de la cul-ture par le fait du prince, pourtant Fassbinder n'a pas sa galerie au Louvre ; Carla, qui dans les romans de Zola n'aurait pas eu d'autre appellation que demi-mondaine et tant d'autres, promus uniquement par leur appartenance à une communauté ou à une société sinon secrète du moins souterraine.
Le chef du clan lui même, féal fidèle d'une puissance étrangère, voire de deux, passionné par le clinquant et le brillant, menteur, trompeur, méprisant, hautain, traitre à sa patrie, traitre à ses électeurs, traitre à la République aussi.
Et c'est cela qui nous gouverne, qui nous impose son "éthique" (le mot morale est ici déplacé) , veut nous imposer sa manière de voir et de penser, son éthique anale, son demi-monde composé de déviances sexuelles, de violences commises sur les faibles, de coups de force, de paroles vides, de promesses non tenues.
Ce monde, cette société, cette classe de merdeux, de petites mains, d'exécuteurs de basses oeuvres, je le hais, je l'exècre, je l'abomine, et le moment est venu ou je ne souhaite que sa chute, quelle qu'elle soit, pourvu qu'elle soit proche et totale. Surtout totale.

vendredi 9 octobre 2009

Le "vert" est dans la pomme !

L'un des deux frères arrêtés jeudi matin dans l'Isère, soupçonnés d'avoir entretenu des relations par internet avec Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), avait manifesté son envie de commettre un attentat, a-t-on appris vendredi de source proche du dossier. Il en était au stade de "souhait, d'envie", mais ne semble "pas avoir commis d'actes matériels de préparation" d'attentat, a-t-on ajouté de mêmes sources.

L'individu, un Français d'origine algérienne de 32 ans,
travaillait comme chercheur au Centre de recherche nucléaire de Genève (Cern), a révélé le figaro.fr. Le suspect, interpellé avec son frère, était en contact avec des personnes proches d'Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), la branche nord-africaine de la nébuleuse islamiste. Toujours selon le Figaro.fr, il "aurait renseigné Al Qaïda sur des sites à frapper dans l'Hexagone".

Les deux frères ont été interpellés jeudi par des policiers de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) sur commission rogatoire d'un juge antiterroriste, indique-t-on de source policière. "Il appartiendra à l'enquête de démontrer quels étaient les objectifs poursuivis par ceux-ci", avait alors déclaré le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux. "Peut-être l'enquête démontrera que, grâce à ces deux interpellations, le pire a pu être évité", avait-il ajouté.

source LCI

Cela confirme que les pires sont souvent ceux que l'on pense "intégrés".

jeudi 8 octobre 2009

Pourriture et pétoncle.

[cette polémique ] est indigne [...] Il n'y a pas de faits [contre lui]. Il a écrit un livre.
C'est ainsi que Henri Guaino défend Frédéric Mitterrand.

Alors de deux choses l'une, soit ce Mitterrand est un parano qui n'écrit que des c....ries, et on se demande ce qu'il fait au ministère de la culture, soit le fait d'écrire les pires insanités en opposition avec la loi n'entraine aucune conséquence.
Pour ma part je me féliciterais volontiers de cela si la parole était vraiment libre dans ce pays. Je crois qu'il y a un certain nombre de militants et d'hommes politiques français qui ont payé assez cher pour savoir que c'est faux.
Ici, on peut dire qu'on aime pratiquer, contre de l'argent, des actes contre nature avec des "garçons" mais pas que, peut-être, l'occupation n'était pas aussi terrible que cela . Dans les deux cas vous en conviendrez, l'acte technique est le même et il n'y a pas plus de faits matériels dans le cas A que dans le cas B.
Mesurez bien le degré d'horreur, qui dans l'esprit de nos gouvernants pourris jusqu'à la moelle , sépare ces deux déclarations.
Ainsi va la décadence.
Pour reprendre une citation du général Rondot, ils considèrent vraiment que ceux qui ne sont pas de leur (hyper) classe ont des QI de pétoncle !

Le virus AH1N1 supporterait-il mal le vin rouge et le camembert ?

Curieusement, l'apocalypse virale prend du retard.
On nous avait promis que nous approcherions du pic de l'épidémie début octobre.

"Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ?
Rien que la route qui poudroie et Roselyne qui s'agitoie."

mardi 6 octobre 2009

Bugaled Breizh et complotisme.

Le complotisme est partout.
Depuis le naufrage du Bugaled Breizh, les familles n'ont de cesse de vouloir impliquer un sous-marin de l'OTAN dans celui-ci.
Ainsi des thèses sinon improbables, du moins surprenantes circulent.
Des marins auraient été recueillis vivants puis assassinés par des militaires tandis que les corps enlevés par hélicoptère auraient été déposés à proximité des côtes britanniques.
Loin de moi l'idée de nier qu'un sous-marin puisse se prendre dans le chalut d'un bateau de pêche, mais en l'occurrence cette histoire me parait improbable.
Il faut savoir que les risques d'une telle collision pour un sous-marin de la taille du Dolphin, sous-marin diésel, sont au moins aussi importants pour lui que pour le chalutier.
Ensuite il faudrait admettre que toute la hiérarchie du commandant du sous-marin ainsi que tout l'équipage seraient impliqués dans cet accident, suivi selon certains de deux meurtres.

Cela me parait tout à fait invraisemblable, parce qu'on discerne mal quels auraient été les enjeux, si importants que cela, pour que la vérité soit ainsi dissimulée.

Aujourd'hui je peux l'avouer, j'ai participé à certaines opérations en liaison avec les sous-marins et dans certains cas le secret le plus total était de mise et l'est toujours. Mais les enjeux étaient autrement importants. La guerre froide battait son plein, les Américains disposaient d'un système de détection ultra sophistiqué et ultra secret dont ils ne laissaient filtrer que quelques bribes à des alliés choisis et selon les circonstances.
Pareillement les Américains, les Français, les Anglais protégeaient leurs secrets nucléaires .
Tout cela dans un environnement de sous-marins soviétiques chargés à bloc de quoi stériliser une partie de la planète et de sous marins d'attaque pistant les SNLE et parfois pistés eux-mêmes.
Le film "Octobre Rouge " montre un aspect de ce qu'il se passait pendant cette période.

Mais pour le Bugaled Breizh, rien de tout cela. La guerre froide était finie depuis quelques années, la Manche n'a jamais été très fréquentée par les sous-marins soviétiques puis russes. La présence des sous-marins était connue et notifiée, pas de présence secrète à masquer. Il s'agissait d'un exercice.
Pourquoi tout un système de plusieurs nations se serait mis en branle pour protéger une erreur de navigation toujours possible d'un sous marin, ou l'infraction d'un chalutier (les zones dangereuses à la navigation pour cause de sous-marin sont portées à la connaissance des bâtiments civils) ?
Ce qui me gêne dans la démarche des familles, ce n'est pas la possibilité d'une collision entre un sous-marin et des apparaux de pêche entrainant un naufrage, c'est le manque totale de mobile pour mettre sur pied un tel complot.
Pendant la guerre froide un tel accident aurait pu être dissimulé, car le reconnaitre aurait pu révéler la présence d'un sous-marin sur les lieux, donc révéler à un sous-marin soviétique qu'il était suivi, donc que sa présence et ses caractéristiques physiques étaient connues. Autant dire que c'était un sous-marin en sursis qui ne naviguait que par le bon vouloir de ses adversaires, chose à ne jamais révéler à son ennemi.
Encore une fois dans cette affaire rien de tout cela mais je suis partisan de ce que toutes les hypothèses soient creusées à fond, car rendre un non lieu en laissant des zones d'ombre nuirait bien plus aux marines occidentales qu'une enquête menée à son terme.

dimanche 4 octobre 2009

Où l'on reparle de l'AF 447 Rio Paris

Dans son édition d'aujourd'hui, le Journal du Dimanche publie une interview du président du syndicat des pilotes d'Air France qui publie un rapport mettant clairement en cause le givrage des tubes pitots, hypothèse à laquelle nous nous étions rallié rapidement dès qu'il était apparu que c'était la seule hypothèse vraisemblable.
Tout le travail de désinformation du BEA, d'Air France dans une moindre mesure d'Airbus avec la complicité active du gouvernement, va pouvoir désormais être mis à plat. Et que l'on ne vienne plus mêler les familles à ce travestissement de la vérité pour protéger les intérêts de certains, certaines de celles-ci viennent de se décider à porter plainte.

samedi 3 octobre 2009

A quand la belle ?

Comme prévu, les Irlandais votent oui.
Un coup non, un coup oui. A quand la belle ?
A moins que les européistes ne soient pas fair play ?

Une pensée pour les Irlandais

Il ne faut pas se leurrer, les Irlandais, quelles que soient leurs qualités ne sont certainement pas des héros du quotidien, pas plus que nous, pas plus que n'importe quels citoyens européens.
Déjà, s'il s'en trouve 40% pour rejeter Lisbonne, on pourra dire qu'ils ont bien mérité.

Les journaleux fêtent la victoire, optant pour un ton condescendant à l'égard des Irlandais, rappelant à l'envi qu'emplis d'une sainte frayeur devant la crise, ils étaient désormais prêts à aller à Canossa et à faire contrition en célébrant l'alléluia du futur Laïc Empire Germanique. A moins que ce ne soit l'hymne à la Sublime Porte ?

Ce qu'oublient de dire nos servants du Veau d'Or, c'est que pour les Irlandais, la crise a débuté dès le dernier bulletin du précédent référendum dépouillé. A ce moment là, La ministre Lagarde déclarait à qui voulait l'entendre que les voyants étaient au vert !
Les politiques et les financiers européens avaient décidé que les Irlandais iraient revoter et pour cela quoi de mieux que de frapper au portefeuille.
Ça marchera, n'en doutons pas, mais l'UE n'en sortira pas grandie et surtout va continuer d'engranger des haines sourdes mais tenaces jusqu'au jour où ...

Au fait, si le "Oui" l'emporte cette fois, on la joue quand la troisième manche ?