Le climat se réchauffe depuis la dernière glaciation, personne ne peut le nier, mais ce réchauffement s'effectue en dent de scie, ce qui fait qu'à l'échelle humaine on peut ressentir soit un refroidissement comme le mini âge glaciaire du XIIème ou bien un réchauffement comme aux environs de l'an mil ou peut-être maintenant.
Cela est dû tout d'abord à l'oscillation de la Terre sur son axe de rotation, à l'activité du soleil, à la région de l'espace dans laquelle se déplace le système solaire, à l'activité volcanique, pourquoi pas à la chute de météorites importants, bien qu'assez rares, à l'albédo de la Terre en fonction de la couverture de glace, enfin une multitude de phénomènes tout à fait naturels, même lorsqu'ils sont catastrophiques.
Pour autant que l'augmentation du gaz carbonique soit la cause du réchauffement et non pas la conséquence (par dégazage des océans sous le fait de l'augmentation de la température comme cela a été prouvé tout à fait scientifiquement), la part due aux activités humaines est complètement négligeable et ne saurait en aucun cas être la cause des augmentations catastrophiques de températures que l'on nous prédit (je n'ai pas les chiffres sous la main, mais ça se trouve) .
Toute cette manipulation à l'échelle globale dont curieusement seuls sont victimes ceux qui peuvent payer et parmi ceux-ci essentiellement les Européens tandis qu'Américains et autres parties du monde se gavent, n'a qu'un but, générer des sources juteuses de revenus pour les initiés et tenir les populations en état de stress permanent sous une domination qui n'a pas lieu d'être.
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Al Gore en plein show |
Le but étant de lutter contre un phénomène qui échappe totalement à notre contrôle, la rente est assurée et la domination aussi. Il suffit de constater l'évolution des mentalités en moins d'un demi siècle, pour voir comment nous sommes devenus des moutons que l'on mène ou bon leur semble.
Par contre, à part quelques larmes de crocodile vite séchées, on ne s’appesantit pas sur la dévastation de la nature dans certaines régions de la planète sauf pour rapprocher cela du réchauffement anthropique.
On culpabilise le conducteur d'automobile, qui n'a guère le choix, qui tue un ours blanc chaque jour qu'il va travailler, mais les zones urbaines continuent de centraliser toute l'activité économique, tout en incitant la population d'actifs à se loger de plus en plus loin des zones de production, l'agriculture produit de manière extensive, en saccageant les sols, pour le plus grand bien des banques devenues les vraies propriétaires foncières, le capitalisme boursier qui ne saurait tolérer une baisse de la courbe pousse toujours plus à l'augmentation "du chiffre" jusqu'à ce que la courbe exponentielle nous mène à dévisser et à la dégringolade fatale. Les populations continuent de croître parce qu'il faut toujours plus de consommateurs, alors même que l'on a besoin de moins en moins de producteurs ce qui amène le monde contemporain à se plonger dans une schizophrénie fatale .
Le système nous assène un mélange de phrases à la fois lénifiantes et alarmantes conduisant à maintenir, voire accentuer la schizophrénie de toute la population.
Ainsi on nous parle de "l’océan plastique" sans qu’aucun effort réel ne soit fait pour substituer le plastique dans le "pakaging" mis en place par le "marketing", alors qu'un reboisement conséquent par des espèces à croissance rapide, contribuerait à l’absorption du CO2 prétendument excédentaire et fournirait le bois nécessaire à la confection de papier.
On nous parle de disparitions d’espèces animales, ces jours-ci on évoque même une sixième grande extinction qui au passage conduirait à notre disparition, mais l'introduction de deux malheureux ours dans les Pyrénées conduit régulièrement à un psychodrame national, tandis que dans les Alpes, l’État joue le "en même temps" à l'égard des loups qui se sont réintroduits tous seuls, pour contenter les producteurs et les défenseurs des loups.
En fait, le vrai problème sur cette planète ce n'est pas le réchauffement car à celui-ci succèdera dans peu de milliers d'années un refroidissement, le vrai problème, c'est l'absence de maitrise de la démographie, chose qui était en passe de réalisation en Europe, avant que les maitres du monde décident de nous déverser une partie du trop plein africain pour détruire tout l'édifice et nier notre droit au choix d'une démographie maitrisée.
On ne saurait passer sous silence l'association délétère de ce laxisme démographique avec la course au profit "à tout prix".
La pire invention de ces derniers 150 ans, ce n'est pas le moteur à explosion, ni même la bombe atomique, la pire invention c'est le vaccin, les méthodes de prophylaxie, l’hygiène et le confort de vie apportés à des populations qui n'étaient pas en état culturel de les recevoir, comme si l'on gavait d'un coup un anorexique.
A titre personnel, je tiens les médecins ayant contribué à la baisse de la mortalité naturelle et à la maitrise des pandémies sur les autres continents comme de réels criminels contre l'humanité, ayant compromis l'existence de la totalité pour la sauvegarde d'une partie.
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Max Theiler, prix Nobel de médecine, découvreur du vaccin contre la fièvre jeune |
Le temps que ces populations assimilent le progrès, l'Afrique aura dépassé les 2 milliards d'habitants (au cours de ce siècle) , se sera déchirée dans des guerres affreuses et aura contaminé tous les autres continents, en particulier le continent européen qui d'ores et déjà approche de la mort clinique, l'état du canard qui continue de courir après qu'on lui a coupé la tête.
En 1900, on estime la population ouest-africaine entre 30 et 35 millions
d’habitants, soit une densité de population de 5 à 6 hab/km2.
Ce sous-peuplement, c’est-à-dire cette densité de population nettement
inférieure aux potentialités du milieu, ne suggère pas seulement des
techniques d’encadrement et de production inadaptées (Gourou, 1983). En
effet, la traite négrière et les premières incursions européennes ont
participé au déséquilibre des sociétés ouest-africaines et ont ainsi
affecté leurs capacités à maîtriser leur environnement (productions
agricoles, pathologies, faune sauvage…). Au-delà d’un taux élevé de
mortalité infantile ou d’infertilité liée à certaines pathologies
(gonococcie, trypanosomiase, schistosomiase, etc.), ce sous-peuplement
était d’autant plus accentué que les conflits dépeuplaient certaines
régions. Par exemple, avant la capture de Samory à Guélémou (région de
Touba en Côte d’Ivoire), et à l’approche de son campement provisoire, le
capitaine français Gouraud (1939, p. 199) écrit : «Dans tout le Soudan,
la plupart d’entre nous ont vu depuis longtemps les traces du passage
de l’Almamy, mais des traces vieilles, refroidies : la ruine, le vide,
l’abandon. Ici c’est le royaume de la mort, de l’horreur ! » Ce contexte
d’insécurité générale fut réduit au fur et à mesure que les
colonisateurs implantaient les postes militaires, comme par exemple dans
le Sud-Ouest ivoirien (Thomann, 1999) ou dans le Fouta Djalon
(Monénembo, 2008)
Le cas de l'Asie n'est pas moins inquiétant, mais par chance la Chine dispose d'un gouvernement central fort qui est en mesure de maitriser même partiellement sa démographie. Toutefois le XXI ème ou le XXII ème siècle verront certainement se développer les guerres de Sibérie pour la maitrise des matières premières et d'un espace vital sur le continent asiatique.