Il est commun de parler de la libération de la femme. Je dirais même sans crainte qu'on nous rebat les oreilles avec cela, le dernier avatar étant l'affaire Wenstein qui sert en fait de prétexte à ostraciser tous les hommes qui n'ont pas un tempérament de fiottes, la fiotte étant l'homme préféré des femmes, ou plutôt de la femme occidentale, les femmes de l'Est et orientales ayant encore - pour combien de temps - un avis différent .
De l'extrême Orient vient ce qui pourrait passer pour une bonne nouvelle. Les Chinois et Japonais travaillent dur sur la robotique et ont mis au point depuis quelques années des poupées, lointaines descendantes de la poupée gonflable, qui s'améliorent d'année en année au point de commencer à pouvoir concurrencer sérieusement une relation tarifée. Mais jusqu'à présent ce n'était qu'un mannequin réservé aux cas désespérés malgré son prix très élevé.
La nouvelle qui remet l'ouvrage sur le tapis, c'est que les chercheurs commencent à développer des robots encore primitifs qui animent la poupée et lui font exécuter certaines tâches ménagères.
Certaines associations féminines s'en félicitent :
"Un grand nombre d'hommes attendent les mêmes choses
des femmes: sexe, tâches ménagères, enfant... Ils ne les considèrent pas comme
des individus", confie ainsi à l'AFP la militante féministe Xiao Meili.
"Si tous ces minables s'achètent une poupée, cela libérera un tas de
femmes de l'emprise de ce genre de mecs"
Reste que les minables en question sont capables de dépenser 3200 euros ce qui en Chine est largement le prix d'un bras et que pour le même prix on doit bien pouvoir s'acheter une vietnamienne, une laotienne ou une birmane.
On peut d'ores et déjà parier que dans une génération, ces robots à la plastique de rêve pourront, outre le soulagement des sens, aussi remplir la quasi totalité des tâches ménagères jusqu'à présent "réservées" à la gent féminine, sans saute d'humeur, sans maladie, sans problème psychologique, affaire qui pourra en attirer plus d'un, si les frais d'entretien sont inférieurs aux frais d'entretien de l'équivalent humain.
Pendant ce temps là les dames pourront se satisfaire entre elles ou faire développer des Apollons mécaniques, membrés comme des chevaux qui endureront sans broncher ce que j'évoquais ci-dessus et, en plus, feront eux aussi le ménage, tant qu'à faire.
Et ce sera la fin de l’humanité au milieu des soubresauts des orgasmes mécanisés.