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lundi 29 janvier 2018

La commémoration du cent-cinquantenaire de la naissance de Charles Maurras supprimée du catalogue des festivités mortuaires

D'abord s'il existe un au-delà, il doit bien rire Charles, pour l'estime qu'il portait à la Gueuse, il doit s'en sentir soulagé. Il est des hommages qui sont comme des crachats.

Deuxième conséquence, c'est qu'on pense désormais sérieusement à fusionner le ministère de la Culture avec celui de l'Agriculture puisqu'ils ont tous deux du fumier dans leur cour.

Comment on a piégé Fillon aux dernières élection . Le bal des pourris.

Comment on a piégé Fillon aux dernières élections
L'avocat Robert Bourgi, proche de Nicolas Sarkozy, a affirmé sur BFMTV avoir voulu "tuer" François Fillon notamment parce qu'il avait "violé toutes les règles de l'amitié".
"François Fillon, j'ai décidé de le tuer pour diverses raisons". Invité sur BFMTV/RMC ce lundi matin 29 janvier, l'avocat Robert Bourgi, a expliqué comment il s'était retourné contre l'ancien candidat Les Républicains à la présidentielle.

"D'abord, parce qu'il a violé toutes les règles de l'amitié à mon endroit, j'ai toujours été correct avec lui, toujours été fidèle. J'ai toujours défendu la position de Fillon auprès de Nicolas [Sarkozy] dans le but de les réunir un jour ou l'autre", prétendu ce proche de l'ancien président.

"Deux [à cause de] la mise en examen de De Gaulle, ça je l'ai pas supporté", poursuit l'avocat controversé, faisant référence à la sortie de François Fillon sur la mise en examen de Nicolas Sarkozy, quand il avait lancé "Qui imagine le général De Gaulle mis en examen?". "Trois, il passait son temps à démolir Nicolas Sarkozy, ça je ne le supporte pas, ajoute Robert Bourgi. Et quatre, je le savais accro à l'argent, on ne pouvait pas laisser faire cela, parce que tôt ou tard, celui qui aurait pu diriger la France aurait eu de sérieux problèmes."
 
L'avocat aurait donc décidé de "piéger François Fillon" avec des costumes. Le 10 janvier, il dit à Nicolas Sarkozy: "Je vais le niquer. Il ne s'en remettra pas [...] Nicolas Sarkozy ne m'a jamais dit: 'tue-le'. Mais il ne m'a pas retenu le bras. Mais même s'il l'avait fait, je l'aurais fait quand même", lance-t-il dans un documentaire qui sera diffusé ce lundi soir sur BFMTV.

Pour parvenir à ses fins, Robert Bourgi offre trois costumes Arnys au candidat après sa victoire à la primaire, pour une valeur de 13 000 euros, qu'il règle par chèque pour laisser une trace. L'avocat "balance" ensuite l'info à la presse, alors que la candidature de François Fillon est déjà fragilisée par les révélations du "PeneloppeGate".
Source SFR News

Ce qu'il ressort de ces confidences c'est que Fillon était sans doute un pas grand chose "accro à l'argent" comme 90% de ses confrères en politique, donc ni pire ni meilleur que d'autres mais que son projet politique dérangeait  beaucoup d'intérêts car il tendait à reprendre les rênes au profit des Français . Même si son projet était timoré, il était encore trop fort . Par ailleurs Fillon aime probablement l'argent mais contrairement aux amis de Bourgi, ce n'était pas un corrompu. Trois costumes à 13000 euros n'ont rien à voir avec les pots-de-vin de plusieurs millions  qu'empochent régulièrement les partenaires de la Françafrique . Que l'on sache il n’avait pas sollicité les prébendes d'un chef d’État africain  ni remboursé sa dette par la dévastation d'un pays et le lynchage du généreux prêteur.
Les deux cartes du mondialisme étaient Sarkozy et Juppé à "droite" et Macron à "gauche", le système avait déjà beaucoup investi sur ces  clowns, il était impensable qu'un joker, un outsider vienne tout perturber et recule le projet de plusieurs années.
L'instrument ce sera un avocat Chiite libanais, grand ami de Sarkozy ancien collaborateur de Foccard, Aurillac, ami de Bongo, grand "technicien" de la Françafrique, gage de désintéressement et d'altruisme, habitué des élections truquées . Au passage le réseau se dessine.

Nous attendons maintenant que la justice se saisisse de cette confession  volontaire et en tire toutes les conséquences quant à la provocation visant à fausser le résultat d'élections. Comme on le voit Poutine n'y est pour rien ; en matière de pourritures nous avons assez de matière première.

Naturellement les juges étant parties au complot, elle ne le fera pas .

dimanche 28 janvier 2018

L'Etat nous méprise et nous le dit

Après l'annulation de la réédition de livres de Céline, sous "d'aimables pressions", voici que les commémorations relatives au cent-cinquantenaire de la naissance de Charles Maurras sont annulées par l’État, influencées par "d'aimables pressions" n'en doutons pas.
Bientôt ces auteurs seront sans doute bannis des dictionnaires et leurs œuvres de plus en plus introuvables.
En effet, tout ce qui tendrait à évoquer de près ou de loin que la France a eu une histoire, que le Grand Remplacement n'était en rien une fatalité, que la France n'est pas née en 1789, qu'il y eut une époque où le statut d'intellectuel d’État et de la bien-pensance n'existait pas et ne gagnait pas sur les plateaux TV , tout delà doit être effacé, même si d'ores et déjà le plus grand nombre s'en fout complétement.

A défaut de réagir violemment à ces diktats, ce qui me semble de plus en plus improbable, nous avons un devoir de préservation et de mémoire pour que même si nos générations se perdent sous la vague déferlante que l'on voit poindre à l'horizon, plus tard, ces œuvres puissent être redécouvertes par des générations neuves et sans a priori, dans un siècle, dans cinq siècles, qui le sait ? Il a fallu dix siècles à l'Europe pour redécouvrir l'Antiquité .

lundi 22 janvier 2018

Un petit point sur le macronisme enmêmetempisme

Un petit point intéressant sur l'enmêmetempisme  macronésien par Jacques Myard. Une vision intéressante.
Merci à Minurne Résistance et à Polémia
Les bien-pensants, les médias célèbrent avec gourmandise l’activité tous azimuts de Macron-Jupiter, soulignant sa volonté de faire ce qu’il a dit, de faire bouger les choses et de surmonter les blocages de la France. En fait, Macron ne fait pas bouger les choses, il les agite. On est très loin des solutions pérennes, et l’opinion publique risque fort de vouer aux gémonies le roi de la « com’ » quand elle se sera rendu compte d’une réalité bien éloignée des promesses.
Le président de la République a adopté une politique risquée, consistant à vouloir résoudre « en même temps » :
  • L’apprentissage ;
  • L’indemnisation du chômage élargie aux professions libérales, sans avoir de financements ;
  • La suppression de la taxe d’habitation (TH), sans avoir le début du financement pour compenser les ressources des collectivités privées de cette taxe ; une ministre annonce la création d’un nouvel impôt mais, dès le lendemain, Bruno Le Maire dit le contraire… ;
  • La suppression des APL dont le coût est supporté par les bailleurs sociaux qui se retrouvent en équilibre précaire, ce qui va engendrer une baisse de production des logements sociaux. Belle politique de Gribouille !
  • La réforme territoriale en région parisienne qui provoque critique sur critique, quelle que soit la solution envisagée ;
  • La réforme de la carte judiciaire, sujet très sensible pour les avocats de province qui tirent souvent le diable par la queue ;
  • Le défi des migrants illégaux qu’il promet d’expulser alors qu’il est quasi impossible de le faire en raison de la complexité des lois française et européenne ;
  • Les prisons et la colère des gardiens face aux intégristes islamistes qu’il faudrait expulser ;
  • Les zadistes qui veulent en découdre, forts de leur victoire à Notre-Dame-des-Landes suite à la capitulation en rase campagne de l’État-Macron. Il fallait sauver l’icône Hulot ! Cette décision est catastrophique car elle consacre le non-respect de la loi ;
  • La mise au pas de la presse « qui doit être tenue à distance » et la limitation de la liberté d’expression au nom des « fausses nouvelles » ; est-ce une autocritique d’E. Macron ?
  • Les travailleurs détachés dont la question reste entière malgré les cris de victoire, car elle ne peut se résoudre dans le cadre des traités qui consacrent la libre circulation des travailleurs au sein de l’Union européenne. Macron-Jupiter va-t-il avaler son chapeau de l’euro-béatitude ?
  • En visite en Afrique, E. Macron bat la coulpe de la repentance et qualifie à nouveau la colonisation de crime contre l’humanité. Et de flatter son auditoire en prônant le retour des œuvres d’art africaines, ouvrant ainsi, en totale irresponsabilité et au grand dam des conservateurs de musée, la Boîte de Pandore.
Le prétendu nouveau monde de Macron se déchire au contact rugueux des réalités malgré une « com’ » sans entraves. Mais Macron-Jupiter, toujours dans les nuages de l’Olympe, affirme sans rire qu’il détient sa légitimité de son peuple.
Oyez, bonnes gens, braves sujets, réjouissez-vous d’avoir un tel monarque !
Macron-Jupiter tombera de son piédestal et les Français se rendront compte que la Macronmania est une maladie mortelle, dont ils guériront, en s’en mordant les doigts, dans un beau charivari.
Jacques Myard
19/01/2018
Je réitère à cette occasion ma prévision pour le début de la déconfiture de Juju le jupiter de salon : la rentrée 2018 . Il aura bénéficié du plus long des états de grâce mais la chute n'en sera que plus dure.

dimanche 21 janvier 2018

Le meurtre du père

Le 21 janvier 1793, il y a 225 ans  la France assassine  son roi.



La source, ou du moins le commencement de nos problèmes.


jeudi 18 janvier 2018

Macron : mode d'emploi

Après plus de huit mois passés au pouvoir on commence à être à même de mieux cerner l'objet politique Macron.
Quel que soit son score, quels que soient ses électeurs, il serait vain de nier que Macron a suscité quelques espoirs . Ceux qui l'ont élu et mêmes certains autres espéraient avoir en face d'eux quelqu'un qui allait enfin s'atteler aux problèmes infinis que rencontre ce pays laissé à la dérive depuis 1973.
Pompidou malgré ses défauts a été le dernier président de ce pays. Depuis nous n'avons eu que des clowns, des menteurs et des truqueurs.
C'est dire si finalement l'espoir (que je ne partageais pas mais que je comprenais) était grand.
Or que constatons nous , et je vous livre la clé tout de suite, Macron élude les problèmes en se ralliant systématiquement aux plus forts. Le plus fort en l'occurrence n'étant pas toujours les pouvoirs publics.
C'est ainsi qu'à chaque fois qu'il a en face de lui la foule, ou mieux une multitude d’individus isolés, il se ralliera toujours à celui qui même en minorité flagrante est organisé.

Les vaccins ?  il a pris le parti des laboratoires contre les familles parce que les labos ont l'argent et les familles leur indignation.
Fessenheim, il prend le parti des écolos parce qu'ils représentent une force électorale et de nuisance que n'ont pas les 2000 employés bientôt au chômage du site.
L'aéroport de NDDL, il prend le parti des gauchistes déjà en quasi sécession, contre des notables qui la fermeront car tous espèrent un jour ou l'autre leur investiture. Quant aux riverains de Nantes, leur indignation est reportée à deux ou trois ans, l'éternité pour un politicard. Vinci ? les grasses indemnités de près de 395 millions d'euros mettront de l'huile dans les relations . A noter qu'aménagements aéroportuaires et indemnités à Vinci couteront aussi cher qu'un nouvel aéroport, pour un service nettement dégradé.

Il a joué les migrants contre les Français, les contribuables contre les communes, les ayants droits contre les retraités, il a cédé devant la levée de boucliers lorsqu'il a voulu attribuer des droits constitutionnels à son épouse car ça l'aurait placé en première ligne, etc.
Sa règle sera toujours de céder au plus fort et si le plus fort change en fonction des circonstances, il n'hésitera pas à changer de portage.
Ainsi il déclarera un jour qu'il ne connait pas l'art ou la culture français, que la colonisation a été un crime contre l'humanité, mais aussi il exaltera la nation française ou le peuple français si l’occasion se présente.
Il s'est clairement démasqué, c'est une marionnette. Certes nous le savions déjà, mais il est bon de le dire et de le répéter et surtout de comprendre qu'il n'y a absolument rien à en attendre et que nous devons impérativement nous organiser ou intégrer des mouvements déjà existants.

Quelques aphorismes de Cioran

De la nécessité d'une certaine sauvagerie : 
Une société est condamnée quand elle n'a plus la force d'être bornée. Comment, avec un esprit ouvert, trop ouvert, se garantirait-elle des excès, des risques mortels de la liberté?
Une que l'on croirait écrite tout exprès pour Juju le Jupiter de salon :
La force de ce chef d’État est d'être chimérique et cynique. Un rêveur sans scrupules.
Où nous mène la république des droits de l'homme ? :
A la longue, la tolérance engendre plus de maux que l'intolérance . Si ce fait est exact, il constitue l'accusation la plus grave que l'on puisse porter contre l'homme.
Les attaques contre la langue ne sont possibles que parce que nous sommes déjà en pleine décadence, plus qu'une cause c'est une conséquence et un marqueur de notre triste état.
L'interprète des ambassadeurs envoyés par Xerxès pour demander aux Athéniens la terre et l'eau, Thémistocle, par un décret approuvé de tous, le fit condamner à mort , "pour avoir oser employer la langue grecque à exprimer les ordres d'un barbare".
Un peuple ne commet un geste pareil qu'au sommet de sa carrière. Il est en pleine décadence, il est hors circuit, dès lors qu'il ne croit plus à sa langue, dès qu'il cesse de penser qu'elle est la forme suprême  d'expression, la langue même.

Cioran " De l'inconvénient d'être né"

mardi 9 janvier 2018

Haro sur la liberté d'expression

L'observatoire du journalisme vient de publier un excellent article relatif à la dernière avancée de la censure en France, prônée par Macron et dite "loi des fake news" . Sans s'attarder sur la parfaite adéquation du fils de la banque avec cette mode du français dégradé et avili, je ne saurais que vous inciter à lire l'article de ce site et découvrir ainsi que la fausse nouvelle en période électorale, le jupiter de bazar, il connait.
[...] Dès la campagne présidentielle, le candidat Macron montrait une surprenante conception de la liberté de la presse et des médias, en n’autorisant par exemple que sa propre équipe de journalistes à le suivre et en donnant ensuite aux médias des images sous contrôle. Ce fut le cas lors de la visite à l’usine Whirlpool d’Amiens. En cette période où il convenait d’aider le candidat Macron à gagner, les médias officiels ne se sont offusqués de rien. Un peu plus quand le président a fait appel à Bruno Roger-Petit à l’Élysée. Dans l’ensemble, la convergence idéologique entre politiques et médias sociaux libéraux autorisait ces petits arrangements entre amis. Personne n’avait tiqué quand par exemple le candidat Macron avait accusé en mode rumeur les médias russes de s’immiscer dans la campagne électorale. En mode rumeur ? C’est-à-dire « fake news ». Qu’est-ce qu’une « fake news » ? Une nouvelle fausse diffusée volontairement. Ainsi, lancer une rumeur, jamais vérifiée depuis, sur l’implication de médias russes dans un processus électoral ou bien nier en direct à la télévision, lors du débat présidentiel, que l’on va baisser les APL une fois élu, cela peut être considéré comme la diffusion volontaire d’une fausse nouvelle. Du coup, la question se pose : qui va définir ce qu’est ou non une « fake news » ? Au fond, la « fake news » devient : simplement tout mode de pensée contestant le mode de pensée idéologique dominant, d’où ce sentiment d’une soft-censure en marche [...]
La suite sur l'Observatoire du journalisme

vendredi 5 janvier 2018

Svetlana Kapanina - Sochi "Olympic Sky 2015"

Parce que ça nous change un peu de la politique
et que ça nous montre que le femmes russes savent s'envoyer en l'air

jeudi 4 janvier 2018

L'interprofession cidricole est gay-friendly

Tout au long de l'année, l'interprofession cidricole, l'Unicid, émet des publicités visant à promouvoir le cidre.
Rien à redire sur le principe.
Ces publicités, à la radio, prennent la forme de saynètes.

En ce moment, à l'approche de l’Épiphanie, transformée en fête de la Galette (des Rois) sont mis en scène la Galette, le Cidre et le Chocolat, et celui-ci de se plaindre auprès d'un tiers, que le Cidre et la Galette flirtent ensemble. Réponse du tiers, "tu sais bien qu'entre le cidre et la galette, c'est une vieille histoire". Et le Chocolat (voix d'homme) de soupirer "comme j'aimerais être à la place de la galette".

Comme on sait que les adultes entendent plus les publicités qu'ils ne les écoutent, à votre avis quelle est la cible secondaire de cette pub, passée la volonté de faire vendre du cidre ?

L'ombre de la censure s'étend sur l'internet français

Lors de ses vœux à la presse, Macron a annoncé divers projets devant se traduire par des textes législatifs visant à museler le net français "surtout en période électorale" mais pas que, avant la fin 2018.
Naturellement ces lois ne s'appliqueront pas aux médias officiels comme l'Immonde, France Désinfos ou BFMacron et c. puisque la "vérité" ce sont eux qui la font, parfois en contradiction flagrante et totale avec les faits.
Ce que peuvent la Chine ou la Corée du Nord, phares de la liberté de pensée, la France le peut aussi, tel semble être le résumé de la pensée du jupitérion de pacotille en costume aussi étriqué que son esprit qui occupe le poste de directeur général de la pensée, accessoirement président de la ripoublique.

On attend avec impatience la création d'un ministère de la Vérité.

EDIT du 04 janvier

A l'heure où Macron veut museler les sources d'information alternatives la  déclaration suivante du conseiller général du FN dans le 93 Jordan Berdella est à méditer :
"Sans les réseaux sociaux nous n'aurions rien su de l'agression des policiers à Champigny."

lundi 1 janvier 2018

Macron promet de punir les agresseurs des deux policiers de Champigny sur Marne

ts ! ts ! ts
D'abord il faudrait les arrêter; Les images ne montrent pas grad chose, ensuite il ne faut pas faire de promesses en l'air !
Il parait que nous sommes en démocratie. Il parait !
En démocratie, le pouvoir judiciaire est indépendant du pouvoir politique. Enfin il parait. C'est même à ce que l'on dit une des pierres d'achoppement qui fait que l'on est ou pas en démocratie.
Dans ce cas qu'on m'explique comment le chef de l’exécutif peut s'engager pour le pouvoir judiciaire ?
Je ramasse les copies.