Le parti socialiste qui est depuis les années 70 un grand bouteur de feu, qui a profondément vérolé la société par l'intermédiaire de ses officines comme SOS Racisme, qui a toujours été en pointe dans l'apologie des comportements les plus déviants et les plus nuisibles à la société, notamment en matière sexuelle ou d'addiction aux différentes drogues s'inquiète aujourd'hui pour (sic) la radicalisation du discours de la droite extrême¹.
Toutes les théories les plus scabreuses, comme la théorie du genre : on ne naît plus dans une catégorie sexuelle décidée par la nature, on devient mâle ou femelle ou un peu des deux ; celle selon laquelle l'enfant doit être pris en charge par la société dès le plus jeune âge (2 ans !) ; celle selon laquelle il n'y a plus de professeur et d'élève, mais des jeunes qui découvrent eux même la culture et l'instruction tout juste encadrés, orientés par des camarades-enseignants ; le mariage contre nature, l'avortement, l'euthanasie , l'addiction aux drogues, j'en passe et des meilleures, toutes ces théories mises désormais en pratique pour plusieurs d'entre elles, sur le point de l'être pour d'autres ont été élaborées par des socialistes ou leurs proches ou ont été adaptées à la France par les mêmes mouvances intellectuelles sous l'égide bienveillante du triangle .
Il y en a d'autres que la loi nous interdit d'évoquer mais qui ont développé un fort sentiment de culpabilité nationale aussi pervers qu'injustifié, qui ont fait le lit de l'immigration incontrôlée et destructrice et détruit les réflexes normaux d'auto-préservation nationale.
Cet élément destructeur de la société, cet agent du mondialisme uniformisateur et écrêteur des diversités, au nom de la diversité (!), ce propagandiste de l'asservissement de l'homme à un Grand Tout, toujours au nom de l'égalité, voire de la liberté (moins souvent il faut le noter), s'inquiète aujourd'hui que la bête bouge encore et que peut-être, blessée, elle manifeste l'intention de vendre chèrement sa vie, voire même de remporter le combat.
Pour des socialistes qui ont eu depuis des dizaines d'années l’impression de mener le jeu, de rentrer dans les forces vives de la société comme dans du beurre, qui n'ont rencontré aucune opposition sinon de façade chez ceux qui se prétendaient leurs adversaires politiques, la douche est glaciale.
Ils n'ont jamais été le peuple, mais ont prétendu l'être, ils ont parfois donné l'illusion qu'ils le représentaient. aujourd'hui le peuple est devant eux malgré les ricanements de la presse aux ordres.
Le réveil leur est rude, espérons que la "journée" qui débute soit encore plus dure, plus âcre pour eux.
¹ la postposition de l'épithète est sensée, devant la banalisation du terme extrême droite qui ne fait plus frémir personne, bien faire apparaitre le caractère vraiment extrémiste, agressif de cette droite là. A contrario la "droite" deviendrait presque fréquentable. Diviser pour mieux régner.
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