Il paraît que Michel Fields supporte assez mal les citations que l'on fait de Robert Brasillach.
Pour la peine et en espérant que ça lui fera très mal voici le poème Mon Pays me fait mal tiré des Poèmes de Fresnes, écrit en prison alors qu'il attendait le procès qui devait le mener au peloton d’exécution. Procès expédié en 6 heures, la condamnation étant acquise après un délibéré de 20 minutes, uniquement pour des délits d'opinion .
Rappelons que de grands Résistants comme Aragon ont vécu la guerre dans le midi de la France sinon protégés du moins pas vraiment inquiétés par l’État Français. Sartre, cette ordure, autre grand pourfendeur de fascistes et Grand Résistant, donnait ses pièces en représentation dans Paris occupée en 1943 au théâtre de la Cité, sans être le moins du monde inquiété et bien d'autres .
18 novembre 1944.
Pour la peine et en espérant que ça lui fera très mal voici le poème Mon Pays me fait mal tiré des Poèmes de Fresnes, écrit en prison alors qu'il attendait le procès qui devait le mener au peloton d’exécution. Procès expédié en 6 heures, la condamnation étant acquise après un délibéré de 20 minutes, uniquement pour des délits d'opinion .
Rappelons que de grands Résistants comme Aragon ont vécu la guerre dans le midi de la France sinon protégés du moins pas vraiment inquiétés par l’État Français. Sartre, cette ordure, autre grand pourfendeur de fascistes et Grand Résistant, donnait ses pièces en représentation dans Paris occupée en 1943 au théâtre de la Cité, sans être le moins du monde inquiété et bien d'autres .
Mica,
RépondreSupprimerMerci, en lisant cet hommage, je pense aussi à Louis-Ferdinand Céline, écarté du recueil des célébrations nationales par notre ministre de la culture.
Lire ou relire "voyage au bout de la nuit ", "mort à crédit" etc...Des bijoux de la littérature française.
Bonsoir.
j'ai découvert Céline sur le tard dans ma trentaine, mais ça a été un éblouissement.
RépondreSupprimerPeut-etre aurait-il pu continuer dans ce sens:
RépondreSupprimermon pays m'a fait mal par ses enfants tués
massacrés dans leur tete, dans leur âme,
assujetis par une ecole traitesse affolée.
Quand donc réveillera-t-elle sa franche flamme?
comme quoi, de tout temps notre pauvre pays eut à souffrir...merci pour ce poeme de Brasillach.
bravo Sonia !
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