Les "rebelles syriens" qui ne sont, pour beaucoup, que des agents étrangers pilotés par quelques émirats du golfe et la gouvernance mondialiste, viennent pour la troisième fois de perpétrer une attaque aux gaz contre une population qu'ils prétendent protéger ; comme toujours avec le soutien de "l'opinion internationale" dont on sait qu'elle n'est ni une opinion, ni même internationale.
Suivant l'exemple du marché de Sarajevo, des "massacres au Kosovo", toujours la même histoire.
Un provocation aussi grossière que mortelle qui a pour but d'entraîner dans le conflit les puissances occidentales afin de porter au pouvoir des assassins islamistes, la seconde option étant de ne rien faire, tout en laissant croire que l'on va faire quelque chose, pour ternir l'image du pouvoir et rendre le pays durablement ingouvernable. Cherchez à qui cela pourrait bien profiter.
Au moment où l'armée d'Assad reconquiert toutes les enclaves rebelles une à une, où il s'avère que le peuple syrien dans son immense majorité continue à faire confiance à l’État et à son président, au moment où, heureux hasard — notez bien que le hasard est souvent heureux en la matière — des inspecteurs de l'ONU sont sur place, l'armée légaliste aurait choisi de gazer des quartiers de la capitale où tout se sait et même se voit !
Ça n'a naturellement aucun sens à tel point qu'il me semble que même quelques journalistes français, pourtant durs à la détente ont le début du commencement d'un doute. Ils le refrèneront mais quand même ...
Quant à la clique de politiciens qui soutiennent cette accusation, ils ont d'ores et déjà du sang sur les mains puisqu'ils cautionnent systématiquement les crimes des "rebelles" depuis de nombreux mois.
Nous nous souviendrons d'eux lorsque la roue tournera.
Ils ont d'ores et déjà, du sang sur les mains |
Revenons un moment sur les fameux inspecteurs de l'ONU que la gouvernance mondiale instrumentalise complètement.
Fabius a déclaré "si les Syriens refusent les observateurs c'est qu'ils sont coupables" qu'on pourrait assimiler à un "s'il a parlé sous la torture c'est qu'il est coupable".
D'une part les inspecteurs ne sont pas mandatés pour inspecter cette zone là, sont-ils seulement équipés du matériel nécessaire pour détecter des gaz de combat et ensuite s'ils constatent la présence de gaz de combat et même de débris de munitions dans la zone concernée, en quoi cela pourrait-il constituer la preuve que l'armée est bien à l'origine des tirs, si même il y a eu tir ?
C'est un gros piège bien signé et l'armée syrienne a eu, j'imagine sur les conseils des Russes, parfaitement raison de ne pas obtempérer à cette énième tentative de mettre le chaos .
Du sang sur les mains ! Encore...
RépondreSupprimerCe type est à dé-contaminer d'urgence...
il est d'ailleurs secondé par son alter ego à "droite" le brillant Juppé qui appelle lui aussi à la guerre
RépondreSupprimer"Armons-nous et partez !" pourrait être leur devise.