Cette crise financiaro-monétaire ne sent pas bon du tout.
D'abord parce que l'on sait qui va payer les pots cassés. Certainement pas Trichet et toute sa clique.
Ensuite il semble bien que se qui se profile derrière cette crise, c'est une mainmise de plus en plus grande des lobbies financiers sur l'économie et donc sur la vie des gens. La mise sur pied d'une "gouvernance" (1) (je hais ce mot) alors que la banque européenne qui n'est pas étrangère à cette crise c'est déjà une forme de gouvernance.
Ne voilà-t-il pas que la Commission serait autorisée à contracter des emprunts pour garantir l'Euro, emprunts eux mêmes garantis, j'imagine automatiquement, sinon ça n'a pas de sens, par les Etats donc par vous et moi.
Une commission de gens cooptés sans véritable légitimité va donc pouvoir plomber l'économie réelle donc la vie de gens ordinaires sans leur accord explicite. Et ce n'est pas de la science fiction .
On ne relève nulle part dans la presse que cette crise de l'Euro, c'est aussi celle d'une Europe qui n'a pas voulu se donner de centre.
Il y a au moins une demi-douzaine d'Europes, entre les pays qui font partie de l'UE ou pas, qui ont l'Euro ou pas, qui font partie de l' OCDE ou pas, de Schengen ou pas etc.
Il y avait une autre possibilité de structurer l'Europe, encore évoquée lors du débat sur la "constitution", c'était celui des cercles concentriques. Cette structure qui aurait constitué un noyau dur autour duquel auraient orbité des satellites aurait eu le mérite, le défaut (?) de mieux organiser l'Europe et donc d'en faire autre chose qu'un bazar oriental. La monnaie n'aurait certes pas été commune pour l'ensemble, la circulation peut-être un peu plus surveillée, mais l'équilibre de l'ensemble n'aurait pas été mis en péril par les problèmes budgétaires d'un État périphérique.
(1) En gros une gouvernance dont on nous rebat les oreilles, c'est un ramassis de gens cooptés qui s'attribuent le pouvoir sur tout ou partie de la vie politique et économique par le jeu de lobbies de clubs, de confréries plus ou moins occultes, mais qui n'en assument jamais les conséquences surtout les négatives cela va sans dire.
Ils n'ont aucune légitimité politique, donc sont par nature irresponsables, par conséquent, il appartient aux États donc au citoyen de base d'assumer leurs erreurs.
OUI, c'est désespérant !
RépondreSupprimerderrière ces joueurs de la Haute-Finance (club Juif maçonnique) il y a le destin de millions de gens en cause. c'est épouvantable !
vous leur en voulez aujourd'hui .
RépondreSupprimerQu'ils fassent quand même attention avec cette impunité pénale que les hommes politiques s'octroient. Oui toutes les dernières affaires jugées depuis quelques années finissent par une relaxe ou une peine ridicule en regard des infractions relevées. Consensus des politiques.
RépondreSupprimerLes manifestations grecques ne sont qu'une ébauche de ce qui peut arriver en masse.
Notre bon peuple de bourrins qui ne cesse de se plaindre, mais qui vote toujours pour les mêmes, ce bon peuple dont on lave quotidiennement le cerveau avec la télé, les jeux, le people, la shoa, les bienfaits du métissage, et de l'immigration (faut être décérébré pour y croire!), dont on achète la paix à coup de diverses primes,
et bien ce bon peuple quand il se retrouvera en grande masse dans la rue suite à une crise encore bien plus importante que les dernières, une foule n'ayant pas plus de cerveau qu'une grenouille objet d'une expérience de Pavlov,
Il y en a quelques uns de ces sois-disant irresponsables, s'ils n'ont pas pris la poudre de l'escampette, risquent bien de se faire lyncher. Il n'y a qu'à voir la fin de quelques régimes politiques (Iran, Roumanie). Et là nos chère banlieues peuplées de toutes ces chances pour la France ne seront pas les dernières à oeuvrer.
L'Europe des cercles concentriques, je n'y crois pas une seconde. Le problème c'est l'Euro et la gestion technocratique de nos dirigeants qui veulent financer de la dette par encore plus de dette. (Politique de Gribouille téléguidée par qui tu sais) Une solution aurait été de sortir de l'euro tous les états menacés et non de le sauver de cette imbécile manière qui va forcément propager la crise aux autres économies fragilisées (Espagne, Portugal, Italie et même France...) A court terme nous paierons et nous nous appauvrirons, comme tu l'expliques et à long terme l'euro disparaîtra quand même (quand l'Allemagne en aura assez de payer pour les autres par exemple). Une monnaie ne peut pas reposer sur des économies et des fiscalités aussi disparates. Cela a été dit dans nos milieux dès sa création et les gens autorisés répondaient que l'euro allait instaurer la prospérité, la stabilité, le plein emploi... On voit le résultat aujourd'hui et ce n'est que le début !
RépondreSupprimerJ'ai longtemps cru à un sursaut populaire, je n'y crois plus vraiment, en tous cas pas à un sursaut qui irait dans le sens de mes aspirations. Des émeutes il y en aura, faite par une populace d'assistés d'ayants-droit qui réclameront leurs allocations auprès de Trésoreries vides et qui se paieront sur les pauvres clampins qui seront encore là.
RépondreSupprimerL'europe des cercles concentriques, il ne s'agit pas d'y croire puisqu'elle n'existe pas et que l'opportunité ayant été perdue elle n'existera jamais, mais si l'Europe originelle, celle du traité de Rome s'était développée différemment, de manière structurée comme un cristal plutôt que comme un cancer alors l'avenir eut été tout autre.
Mais avec le recul on sait que ça ne pouvait pas arriver puisque l'UE est une création du mondialisme et de l'impérialisme américain n'en déplaise aux bisounours européistes . Il ne fallait en aucun cas qu'émerge une Europe puissance capable de jouer un rôle entre les deux blocs de le guerre froide
J'étais de bonne humeur en voyant la bourse s'effondrer... Mais visiblement, ils ont réussi à la remonter avec nos sous (750 milliards). Et ils comptent encore continuer leurs magouilles.
RépondreSupprimerParadoxalement, j'ai quand même un doute sur le fait que tous ces trafics puissent durer éternellement...
rien ne durera éternellement, c'est clair. La question est comment et dans quel état en sortirons-nous ?
RépondreSupprimerPlus pauvres ! (Si on en réchappe...)
RépondreSupprimerc'est sûr
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