Des candidats au RSA se noient au large de l'île de Lampedusa.
Oh pas par hasard, pas par la faute de la fatalité, parce qu'un couillon — mort ou pas, ce n'est qu'un couillon — a arrosé d'essence une couverture pour, qu'en plus, on vienne les remorquer jusqu'au port, tellement les Européens sont des tarés.
Manque de bol (pour eux) le bateau a pris feu, tout le monde s'est mis à courir dans tous les sens et le bateau a chaviré.
Quand le bilan sera définitif le décompte s’élèvera à plus de 300 morts.
Belle affaire, mais ne croyez pas que nous prendrons des mesures de rétorsion à l'encontre de la Tunisie, NOUS sommes les coupables et que nous !
Au passage, j'ai pu constater, dans le reportage, que des militaires et des bénévoles italiens sortaient les corps de l'eau, les transportaient. Certains pleuraient — une manisfestation particulière du syndrome de Stockholm — mais alors que l'ile de Lampedusa regorge d'hôtes africains, pas un seul sur le quai. Étonnant non ?
Non rien d'etonnant...
RépondreSupprimerEt puis ce sont les risques du "metier" que de se noyer quand on tente l'immigration en clandestin
quand on voit que certaines associations préconisent un couloir humanitaire pour favoriser l'immigration clandestine on se dit qu'il est temps d'aiguiser les couteaux.
RépondreSupprimerEt pourquoi pas un "pont aérien" pour les transborder plus vite ?
RépondreSupprimerça n'est pas sans rappeler cet excellent dessin de Konk où l'on voit un policier saluer un Africain qui exhibe sa carte de clandestin.
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