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lundi 8 juillet 2013

Le retour du nabot.

Le retour du nabot aux affaires c'est probablement ce qui pouvait arriver de pire à la "droite de gouvernement".
Sarkozy n'a plus rien à apporter à personne. Il a eu sa chance qu'il a lamentablement foirée.

En bon agent du N.O.M. on lui doit de brillantes inventions comme le conseil musulman, la levée de l'interdiction toute théorique de l'immigration, le refus de la "double peine".
Il a temporisé les mesures vitales à prendre pour ne pas obérer ses chances de réélection, a largement endetté le pays et poursuivi en son temps notre larbinisation envers les américains en particulier en rejoignant le commandement intégré de l'OTAN.
Sarkozy, ses fils, sa bonne femme, son ex, on ne va pas encore devoir supporter tout cela ?

Il ne revient en politique que pour se venger. De qui ? on ne sait pas trop puisqu'il est à la source de tous ses malheurs !
En squattant le poste de candidat à la présidentielle, seul intérêt pour lui de revenir, il empêche tout renouvellement à la tête de la "droite".
Pire il risque de reléguer le FN au rôle de candidat croupion, tellement les Français ont la mémoire courte et le sens politique complètement atrophié.

On ne voit toujours pas émerger à droite un nouveau courant fort et viable pouvant jouer le rôle que le FN devrait ou aurait dû  remplir. Ça en devient désespérant.



6 commentaires:

  1. que les français crèvent ! arr^tons de fantasmer sur un sale type qui sera peut-être mort.

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  2. Ah nan !
    Je m'y oppose furieusement !

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  3. @ Brebis, comme nous tous, mais si on fait fi de cette possibilité, il faut bien essayer d'analyser la situation

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  4. @ la mouette
    Rejouer le printemps 2012 ne me tente pas non plus.

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  5. "Ça en devient désespérant".

    C'est tout à fait ça. Ca l'est encore plus lorsqu'on observe une partie du camp réac se pâmer d'avance à l'idée du retour de l'autre gusse, censé leur permettre de tracer une retraite pépère, sans vagues.

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  6. oui j'en viens parfois (litote) à me demander si finalement le pays ne mérite pas le sort qui lui est promis.

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