Qu'il soit bien clair que je n'ai vraiment rien contre monsieur Soumaré dont je n'avais, avant cette attaque de l'UMP, jamais entendu parler.
Si je rédige cette note, c'est pour pointer l'hypocrisie du système.
L'UMP a traité à tort ou à raison monsieur Soumaré de délinquant multirécidiviste.
Lui-même a reconnu un délit pour lequel il a été condamné en 99.
Or son casier numéro 2 est vierge.
Comment expliquer ce miracle ?
Tout simplement, le casier N° 2 ne reprend pas les condamnations subies par les mineurs, qu'Ali Soumaré est né fin décembre 1980 et que le faits condamnés en 99 ont probablement été commis pendant la minorité du candidat.
Tout cela c'est donc du bidon, son prétendu homonyme récidiviste étant mineur à l'époque des faits, nul ne peut avoir accès au dossier. On est fondé à supposer qu'il ne s'agit pas d'un homonyme, mais personne ne pourra jamais le prouver hors procédure judiciaire.
Bref du vent, une tempête dans un verre d'eau qui au minimum prouve le manque de professionnalisme dont fait preuve l'équipe de Valérie Pécresse et a contrario, la relative bonne qualité des experts juridiques du PS qui savent pouvoir affirmer des choses irréfragables sauf à enfreindre la loi.
Rien de neuf, en somme...
RépondreSupprimerla routine
RépondreSupprimerCe Soumaré a dû suivre la voie royale du discriminé positif: petit délinquant avant 18 ans, puis "grand frère", puis agent municipal d'ambiance, puis responsable d'association puis permanent PS et enfin tête de liste PS en raison de ses incommensurables qualités...
RépondreSupprimerje pense que c'est exactement cela, d'autant plus que papa était syndicaliste donc déjà introduit en cour.
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