Clément Weill-Raynal, le journaliste de France 3 qui a eu le courage de filmer le « mur des cons » du Syndicat de la Magistrature sur lequel on insultait des pères de victimes, a été sanctionné par sa chaîne. Il est ainsi condamné à une semaine de mise à pied sans salaire et est menacé d'un futur licenciement. Source institut pour la justice.
Dénoncer un crime ou un délit est désormais passible d'une condamnation ou d'une sanction disciplinaire. Vive la France !
Tous les jours ce pays s'enfonce un peu plus dans la merde.
Le souci est que des français aliénés réclament en douce le retour de Sarkö !!! Chapeau !
RépondreSupprimerje dois avouer que ça me laisse baba ! le Français est indécrottable. Bottez lui le cul il en redemande.
RépondreSupprimerQue manque t-il encore aux français pour comprendre ? Je crois qu'on a tous compris, mais la peur, la complaisance et l'égoïsme sévit. Il est temps de redécouvrir le sens du mot solidarité.
RépondreSupprimerc'est vrai, dans un système où l'Etat peut tout ou presque la peur règne .
RépondreSupprimerNormalement, dans un pays digne, il devrait y avoir des manifs de rue pour défendre ce bonhomme. Et dans la foulée, pour exiger que toute la justice soit faite pour Esteban.
RépondreSupprimeron ne défend pas un "fasciste"
RépondreSupprimerC'est là où on touche du doigt la force de la défaite sémantique qui nous a été infligée.
Naturellement que si nous avions les moyens de propager le vérité des faits, la situation serait un peu différente pour ce jeune homme.
"Individualisme" ??
RépondreSupprimerAu fait, quelqu'un aurait un idée pour que j'exerce mon droit aux loisirs entre le 15 juillet et le 15 août, à moins de 300e ? sans chien et sans gosses. Les grèves S?CF ne sont pas acceptées.
J'ai autre chose à faire que de m'occuper des autres.
"La Justice n'a rien à voir avec la Loi, qui n'en est que la déformation, la charge et la parodie"
RépondreSupprimer(Georges Courteline)
"Un jour les gens nerveux s’en mêleront, lassés de n’avoir pour les défendre contre les hommes sans justice qu’une justice sans équité, toujours prête à immoler le bon droit au droit légal et en proie à l’idée fixe de ménager les crapules".
(Georges Courteline)
je ne sais pas si savoir qu’on est entré dans l'univers de Courteline, c'est très réconfortant
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