Faute de propositions réalistes, le PS axe sa campagne législative sur le thème "donnez au Président les moyens de gouverner".
Cet argument tenait la route en 1981 quand la gauche est revenue au pouvoir après plusieurs années d'absence. Elle ne tenait pas encore tous les médias, toutes les régions, presque tous les départements et une grande majorité communes, sans parler des syndicats, associations, clubs, show-biz et, c.
Faites comme vous le voulez, mais si vous voulez être étranglés il faut vraiment voter PS.
La liberté de parole et bientôt la liberté tout court mises sous le boisseau, les biens spoliés et pas que pour les "riches" comme l'affirme effrontément Aubry, le jour même où le gouvernement annonce, de fait, un blocage des loyers du privé.
On peut effectivement prendre le parti de suivre des cours de close-combat et d'immersion en milieu urbain pour attendre que Dieu se manifeste contre le mécréant. Mais bon, la punition de Sodome ça remonte au bas mot à 4000 ans et pas sûr que ça se répète.
sauf que...la juiverie maçonnique en 1981 tenait déjà tout !
RépondreSupprimervu comme cela autant se transformer en stylite.
RépondreSupprimercomme tu le dis...la mascarade continue de plus belle...
RépondreSupprimerTe voilà bien morose tout d'un coup...
RépondreSupprimerSe dire qu'on ne peut pas grand chose sur le cours des évènements... Il y a la philosophie, il y a ceux qui attendent le kali-Yuga, il y a ceux qui savent qu'à la fin le Seigneur triomphera de Satan... y'a bien des moyens de s'en sortir bordel!!! Y'a le vin frais qu'on boit en écoutant Brel...
La France on s'en fout. Faut commencer par là... Il faut apprendre à s'en foutre... S'en déprendre... Tout s'apprend...
Vous avez oublie le Senat.
RépondreSupprimer@jeanchrist effectivement et peut-être d'autres institutions encore, c'est simple, minoritaires dans l'absolu, mais ils tiennent tout
RépondreSupprimer@Ivane ,ce n'est pas vraiment de la morosité, c'est plutôt de la révolte devant la passivité.
La France ? j'ai beaucoup de mal à m'en foutre. Sans détailler, j'y vis et sans doute j'y mourrais et tant qu'à faire j'aimerais bien qu'elle ne se transforme pas en cloaque absolu.