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lundi 6 avril 2020

Il faut raison garder et surtout se garder des médias et des discours officiels

Un des moyens d'instiller la peur et de justifier l'emprisonnement de la population, puis ultérieurement son pistage et sa mise en esclavage salarié, c'est la diffusion de chiffres présentés comme affolants, de cartes ponctuées d'énormes tâches rouge sang, et de nous citer d'autres pays où ça se passe encore plus mal que chez nous .


100 000 contaminés en France, tant de milliers sous respirateur, tant de milliers de morts etc.

En fait si on se ressaisit un tout petit peu et qu'on replace ça à l'échelle on aboutit à ce schéma où le cercle jaune représente la population et le point rouge celui des contaminés depuis le début, les morts ne représentant à ce jour "que"  8.7% de ce petit point rouge, quasiment impossible à figurer.

On touche du doigt l'énormité de la menace !


N'oublions pas que les "experts", surtout les experts en léchage de cul ministériel nous ont promis jusqu'à 50% à 70% de contamination nationale si l'on voulait que l'épidémie s'arrête.

Put... ! j'ai peur   😂!

Et à la fin on nous expliquera que si le coronavirus s'est comporté comme une grippe et qu'il a finalement fait si peu de morts, c'est parce que le gouvernement a été extraordinairement efficace, mais qu'il faut continuer à se contraindre si on veut que ça dure !

5 commentaires:

  1. Dans sa longue nouvelle "A for anything" (a.k.a. "Tout avoir"), Damon Knight avait imaginé le retour de l'esclavage. Pour garantir l'obéissance, chaque esclave était contraint d'avaler un comprimé de poison : faute d'antidote, la mort était certaine dans la journée.
    Virus objectivement bénin à considérer les chiffres, peur panique littéralement délirante, vaccin obligatoire avec puçage pour le bétail humain -- et bien évidemment, la même mafia reste au pouvoir, qui devient cette fois absolu. Ce virus est mal baptisé : c'est Moroniavirus qui s'imposerait. Désespérant.

    On trouve le texte dans *The Magazine of Fantasy and Science-Fiction* de novembre 1957 (PDF chez archive.org).

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  2. j'adore vos références :-)
    Je n'ai commencé à lires ces revues que vers 64/65, j''adorais

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    1. Heureux mortel. En 63, ma génitrice venait de m'infliger la vie, et tout génial que j'ai été, je ne savais pas encore lire à un ou deux ans. ;-)
      Aucun rapport, mais au cas où vous l'auriez loupé, ce faux échange de SMS par Boizard est assez divertissant :
      https://fboizard.blogspot.com/2020/04/les-sms-du-virus-bojo-et-la-chloroquine.html

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    2. j'étais jeune et ceci explique peut-être cela mais je trouve que les années 55/68 étaient une belle époque bien que nous n'ayons pas eu l'aisance matérielle et technique des années suivantes. Dès 69 l'ambiance s'est dégradée et en 81 nous sommes tombés dans les chiottes.

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    3. Excellent, l'échange de SMS. Je compte les années sur mes doigts et je me dis que ça fait 39 ans que nous baignons dans la merde ! Aucun pays ne s'en relèverait

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