Il y a quarante ans disparaissait la démocratie française.

En fait la disparition de la démocratie dans notre pays est extrêmement facile à dater.

Elle date très exactement du  1 juillet 1972, il y a un petit peu plus de 40 ans.

Pourquoi cette date ?
Le 1 juillet 1972 a été promulguée la loi dite "loi Pleven" (JO du 2 juillet 1972) relative à la lutte contre le racisme.
Cette loi qualifie d'injure et de diffamation et les punit comme tels, tout avis ou jugement de valeur porté à l'encontre d'un tiers pour autant qu'il soit d'une ethnie, d'une provenance  ou d'une religion  protégée.
Pourquoi utiliser le mot protégée ? parce qu'on n'a jamais vu cette loi utilisée pour défendre les Français de souche ou la religion traditionnelle, la religion chrétienne.

Or la démocratie réelle repose sur plusieurs éléments  qui sont la liberté de parole, la liberté d'association et la liberté de s'informer. On y ajoutera d'autres éléments  subsidiaires comme la liberté de désigner ses représentants, l'état de droit, le respect d'un certain nombre de droits comme les fameux droits de l'Homme et même des droits à ¹ inventoriés pour partie  dans le préambule de la constitution de 1948, liste toujours en évolution sous la pression de différents lobbies. Pour démontrer mon propos, on notera que les démocraties populaires, voire même les "démocraties" islamistes respectent (respectaient pour les premières)  pratiquement à la lettre les éléments subsidiaires tandis que les éléments clés sont purement et simplement niés.

Ce que l'on constate chez nous, c'est que depuis quelques années  le subsidiaire a été sanctuarisé tandis que l'essentiel était durement encadré par la loi, voire purement et simplement nié, signe évident d'une dérive totalitaire.

On relèvera également qu'il s'agissait là d'une des toutes premières, voire de la première utilisation de l'immigration comme levier pour détruire les institutions françaises. Depuis on a fait du chemin puisque que c'est la population, la nation, qui sont démantelées grâce à ces instruments.

Le beau et franc visage d'un des premiers fossoyeurs de la démocratie et de la nation française.

¹ au contraire de vrais droits constitutionnels dits droits de, qui dérivent des droits naturels.