Communiqué de presse [du bloc Identitaire] du 22 octobre 2012
Ils ont dit 732 !
Le traitement médiatique de l'action menée par Génération Identitaire sur le toit de la mosquée de Poitiers est symbolique de l'état d'agonie de la France d'en-haut.De quoi s'agit-il ? D'une centaine de jeunes qui montent sur le toit d'une mosquée en chantier, qui déploient une banderole, et qui réclament l'organisation d'un referendum sur l'immigration et l'islamisation. Pas moins. Mais pas plus.Quelle est la réaction politique ? Le premier ministre (1), le ministre de l'intérieur se fendent aussitôt chacun d'un communiqué. Le parti socialiste et le parti communiste réclament l'interdiction de Génération Identitaire. Jean-François Copé s'empresse de condamner. L'appareil d'Etat se met en branle. Le procureur parle d'un crime inouï : des tapis de prière auraient été déplacés en plein air et, de ce fait, mouillés par la pluie.De son côté, la presse traite l'information. C'est-à-dire la met en scène pour l'édification de ceux qui croient encore ce que les médias leur disent. Sur France 3, une caméra filme un site internet, qui n'a rien à voir avec les Identitaires où l'on peut entr'apercevoir une croix gammée, à la Nouvelle République, on donne longuement la parole au chef musulman de la grande mosquée de Poitiers (2), proche des Frères Musulmans, qui parle de “fanatiques”. Sur telle radio, on parle “d'extrêmistes”, sur telle autre, de “racistes”.L'objectif est évident : faire peur. Ecraser sous les mots magiques de “racisme”, ou de “fanatisme”, toute velléité de résister à l'islamisation de la France, toute velléité de résister à l'immigration massive. Cette manipulation du langage et des faits est exactement la même que celle qui, sous l'ex-URSS, consistait à traiter les dissidents de “hooligans”.Ce sont d'ailleurs les mêmes médias, les mêmes Ayrault, Valls, Duflot et bien d'autres qui, voici deux mois, parlaient d'un scandale mondial au sujet des Pussy Riot. Or, il existe bien une différence entre les Pussy Riots et Génération Identitaire. Les militants GI sont entrés sur un chantier, pas dans un lieu de culte en activité. Ils ont tenu des revendications politiques, sans user de violence.La CGT occupe régulièrement des bureaux et des usines. Les immigrés clandestins occupent régulièrement des églises, des immeubles, des rues. Ce qui est permis aux uns est donc interdit aux autres. La Vème république agonisante est une démocratie de façade.Le Système est épouvanté. Il sait qu'une majorité de Français n'en peut plus de l'immigration. Il sait qu'il ne tient plus que par la force des médias, par le biais de mensonges. Il sait que le sentiment d'impuissance chez les Français est son meilleur allié.Le Bloc Identitaire renouvelle ses félicitations à Génération Identitaire. Dans un monde de faux semblant, cent de ses militants ont montré un exemple. Ils ont dit : 732.(1) Maire de Nantes, M. Ayrault a versé 200 000 euros de subvention à un centre "culturel" musulman de la ville dirigé par l'UOIF (Union des Organisations Islamiques de France), organisation qui, voici quelques mois, avait invité à son congrès des orateurs dont certains appellent à tuer les "infidèles", à exterminer les juifs et les homosexuels et à conquérir l'Europe.
Comme le relève parfaitement bien le Bloc Identitaire, ce type d'action déboussole complètement le pouvoir, ses clients et ses protégés.
Dans la "tradition" sociale française, c'est la gauche qui manifeste, occupe et proteste ou délègue à l'action ses nervis "divers".
Le groupe Génération Identitaire qualifié à tort, mais c'est une manœuvre connue, de groupuscule d’extrême droite, montre ici le chemin à suivre et qu'il n'est pas trop tard encore, pour autant que les dirigeants politiques de la droite nationale cessent d'imaginer qu'ils auraient un destin si la France continuait sa course folle vers le néant.
L'union et l'action !
Dans la "tradition" sociale française, c'est la gauche qui manifeste, occupe et proteste ou délègue à l'action ses nervis "divers".
Le groupe Génération Identitaire qualifié à tort, mais c'est une manœuvre connue, de groupuscule d’extrême droite, montre ici le chemin à suivre et qu'il n'est pas trop tard encore, pour autant que les dirigeants politiques de la droite nationale cessent d'imaginer qu'ils auraient un destin si la France continuait sa course folle vers le néant.
L'union et l'action !
Quand il ne reste rien, que l'oppression des "native" (j'aime pour une fois un terme anglais qui indique bien le côté invasif des autres), leur impossibilité à avoir des élus pour mener le combat, et ce malgré une représentation nationale de près de 20%, et qu'il ne reste qu'un sentiment d'impuissance et de destruction de son pays et de néant, il ne faut pas s'étonner que la dictature de ces gens venus de partout, qui se sont octroyé les lois et le pouvoir, sans possibilité de véritable alternance, engendre à la finale des individus comme Anders Behring Breivik.
RépondreSupprimerAHAE
bien que cette action n'ait rien à voir avec les actes de Breivik
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