Dans un monde normal, soit le président démissionnerait, soit Onfray disparaitrait brutalement électrocuté dans son bain par un godemichet ou noyé sous six mètres d'eau enchainé à un bloc de béton et suicidé de deux balles dans la nuque. Dans un monde normal ...
Sans sanctifier le Pr Raoult, ce qui serait anti-scientifique et probablement contre-productif, force est de constater qu'il y a de fameuses raclures dans le milieu médical
11 mai 2020, cela fait trois bonnes semaines que la courbe des contaminations s'est stabilisée et qu'il n'y a pratiquement plus de nouveaux cas de covid-19.
Nous avons eu 103289 contaminés officiels, c'est à dire des malades dont l'état a semblé assez grave pour qu'ils soient hospitalisés et testés. Le nombre réel est certainement plus élevé, peut-être d'un facteur 10, on n'en sait rien, nous sommes toujours en manque de tests.
Sur cette centaine de milliers de personnes environ 6% sont décédées, essentiellement des personnes âgées de plus de 70 ans, 60% environ, mais aussi des personnes de toutes tranches d'âge, la proportion décroissant avec l'âge . Très peu d'adolescents et infiniment peu d'enfants en bas âge.
Au total 6327 personnes ont perdu la vie à cause du coronavirus .
Depuis trois jours, le gouvernement à prononcé une reprise de l'activité par secteurs maintenant que des masques et des gants sont disponibles et curieusement qu'il trouve utile qu'on s'en équipe.
Dans certaines régions, depuis plusieurs jours déjà, ont commencé des émeutes anti-confinement; Plusieurs policiers ont été lynchés dans les banlieues à Toulouse, à Sevran, Villeurbanne, Lyon, Strasbourg..
Du coup, le gouvernement essaye de faire tomber la pression en remettant les gens au travail.
Mais la pression est loin de retomber. Les gens commencent à se rendre compte que cette épidémie est moitié moins meurtrière que la grippe saisonnière de 2017-2018 mais que les conséquences pour eux sont incalculables.
Les salaires des fonctionnaires hors personnel médical ne seront versés qu'à 50% ce mois-ci ainsi que les retraites du service public . Pour le secteur privé, l’État renvoie les partenaires sociaux dos à dos annonçant que l’État n'est plus capable d'aider qui que ce soit.
En effet la dette extérieure est passée de 1800 Mds d'euros à 2000 Mds, seulement pour la dette publique, la dette privée étant encore en cours d'estimation.
De nombreuses entreprises dont les cours se sont effondrés ont changé de mains pendant ces mois maudits et rien de ce qui vaut dans ce pays ne nous appartient plus.
D'ores et déjà, il parait certain qu'à la fin du mois, l’État ne sera pas en mesure de payer les prestations sociales, rumeur qui déjà agite celles des banlieues qui ne sont pas encore à feu et à sang.
Pendant que les riches fuient, que la classe moyenne se terre, les forces de l'ordre n'arrivent même pas à pénétrer dans les cités pour faire respecter le couvre feu instauré par le gouvernement de la nouvelle Première Ministre, comme elle veut qu'on l'appelle, Sibeth N'Dyaye, depuis que Philippe a semble-t-il fuit au Danemark, craignant pour sa vie.
Le président se montre à la télé mais personne ne sait s'il est en vie ou même s'il est encore en France, mais le poste n'est pas encore déclaré vacant.
On sent le pays au bord de l'effondrement. De quoi sera fait demain ?
Une étude anglaise estime que 50% des Britanniques auraient déjà été touchés par Covid-19
Elle conclut que c'est une maladie bénigne.
Si les Anglais ont raison, il y a au moins trois réponses possibles :
Soit leur médecine est habituellement si mauvaise qu'elle ne laisse survivre que les plus forts ;
soit c'est notre Hôpital qui tue nos malades par impréparation, protocoles inadéquats manque de matériel ;
soit nous avons habituellement trop poussé à la survie de vieilles personnes avec des pathologies multiples accessoirement en ruinant le pays.
"Alors que l’une de mes sœurs, médecin à Versailles (et mère de 5
enfants) a eu un mal fou à trouver ses 18 masques hebdomadaires
(pharmacies en rupture de stocks), la Chine est actuellement en
surproduction de masques. Je viens d’interviewer quelqu’un à Hangzhou qui m’a confirmé pouvoir livrer des millions de masques en France en
quelques jours. Il est faux de dire qu’il n’y a pas de masques
disponibles. Comme vous le savez sans doute, de nombreuses usines
chinoises ont transformé leurs chaînes de production pour produire des masques (de différentes qualités, de ceux à usage unique jusqu’aux
normes les plus élevées). Mais la France a imposé des restrictions
(décret du premier ministre du 13 mars 2020 (en lien) qui semblent
compliquer et ralentir l’importation et la distribution des masques en
France.
Inonder le marché français de masques et en imposer l’utilisation par
tous permettrait de lever assez rapidement le confinement. Les masques
pourraient être subventionnés ou distribués gratuitement, ce qui
couterait beaucoup moins cher à l’économie que les conséquences d’un
confinement drastique ‘à la chinoise’. Entre le confinement et le port
du masque comme forme de confinement individuel et mobile, les Français ne devraient pas hésiter longtemps.
Je vous remercie de votre attention en espérant sincèrement que ce
rapport d’expérience pourra vous être utile et incitera les autorités
françaises à vite évoluer dans leur gestion de cette crise afin de privilégier des solutions humaines et efficaces, à commencer par le port
du masque comme mode de confinement mobile et individuel."
Bien sincèrement…
Florence de Changy
journaliste à Hong Kong pour Le Monde, Radio France et RFI.
Je ne dis pas autre chose depuis le début. Les masques sont la clé pour sortir de la crise !
Mais il semble bien que vu de Chine, c'est le gouvernement français qui freine des quatre fers pour ralentir voire entraver l'importation de masques en organisant la réquisition systématique de ce matériel pour qu'il ne se diffuse pas dans le public !
Il est évident vu les sources concordantes que le gouvernement a décidé d'organiser la crise et d'en tirer profit.
Privés de masques et privés de Chloroquine ! Il faut maintenir la ligne terroriste
Une chronique de l'épidémie par Thierry Meyssan. La manipulation devient de plus en plus visible et met plus en lumière les faiblesses des Etats les plus touchés bien plus que la véritable dangerosité du virus.
Avec pour l'instant moins de 20 000 morts sur 7,5 milliards d'habitants, ça n'a rien à voir avec une pandémie et ne justifie en rien l'arrêt quasi total de l'économie ouest-européenne.
Revenant sur l’épidémie de Covid-19 et sur la manière dont les
gouvernement y réagissent, Thierry Meyssan souligne que les décisions
autoritaires de l’Italie et de la France n’ont aucune justification
médicale. Elles contredisent les observations des meilleurs
infectiologues et les instructions de l’Organisation mondiale de la
Santé.
Le
Premier ministre chinois, Li Keqiang, venu diriger les opérations à
Wuhan et rétablir le « mandat céleste », le 27 janvier 2020.
Apparition de l’épidémie en Chine
Le 17 novembre 2019, le premier cas de personne infectée par le
Covid-19 a été diagnostiqué dans la province de Hubei, en Chine. Au
départ, les médecins ont tenté de communiquer sur la gravité de cette
maladie, mais se sont heurtés aux autorités régionales. Ce n’est que
lorsque le nombre de cas s’est multiplié et que la population en a vu la
gravité que le gouvernement central est intervenu.
Cette épidémie n’a pas d’importance statistique significative. Elle
tue très peu, même si ceux qu’elle tue passent par une terrible détresse
respiratoire.
Depuis l’Antiquité, dans la culture chinoise, le Ciel donne un mandat à l’Empereur pour gouverner ses sujets [1].
Lorsqu’il le retire, une catastrophe s’abat sur le pays : épidémie,
tremblement de terre, etc. Bien que nous soyons à l’époque moderne, le
président XI s’est senti menacé par l’incurie du gouvernement régional
de Hubei. Le Conseil d’État a donc pris les choses en main. Il a
contraint la population de la capitale du Hubei, Wuhan, a rester
confinée chez elle. Il a construit en quelques jours des hôpitaux ; a
envoyé des équipes dans chaque maison prendre la température de chaque
habitant ; a emmené toutes les personnes possiblement infectées à se
faire tester dans des hôpitaux ; a traité les personnes infectées au
phosphate de chloroquine et a renvoyé les autres chez elles ; et enfin a
soigné les personnes gravement malades en réanimation avec de
l’interféron Alfa 2B recombiné (IFNrec). Cette vaste opération n’avait
aucune nécessité de Santé publique, sinon de prouver que le Parti
communiste bénéficie toujours du mandat céleste.
Lors d’une conférence de presse sur le Covid-19, le ministre adjoint iranien à la Santé, Iraj Harirchi, apparaît contaminé.
Propagation en Iran
L’épidémie se propage de Chine en Iran à la mi-février 2020. Ces deux
pays sont très liés depuis l’antiquité. Ils partagent de nombreux
éléments culturels communs. Cependant, la population iranienne est la
plus fragile sur le plan pulmonaire au monde. La quasi totalité des
hommes de plus de soixante ans souffre de séquelles des gaz de combat US
utilisés par l’armée iraquienne durant la première guerre du Golfe
(1980-88), comme les Allemands et les Français après la Première Guerre
mondiale. Tout voyageur qui s’est rendu en Iran a été frappé par le
nombre de malades graves des poumons. Lorsque la pollution de l’air
s’accroît à Téhéran au dessus de ce qu’ils peuvent supporter, on ferme
les écoles et les administrations et la moitié des familles partent à la
campagne avec leurs grands-parents. Cela arrive plusieurs fois par an
depuis trente-cinq ans et paraît normal. Le gouvernement et le Parlement
sont presque exclusivement composés d’anciens combattants de la guerre
Iraq-Iran, c’est-à-dire de personnes extrêmement fragiles au regard du
Covid-19. Aussi lorsque ces groupes ont été infectés, de nombreuses
personnalités ont développé la maladie.
Compte-tenu des sanctions US, aucune banque occidentale ne couvre les
transports de médicaments. L’Iran s’est trouvé incapable de traiter les
personnes infectées et de soigner les personnes malades jusqu’à ce que
les Émirats arabes unis brisent l’embargo et lui envoient deux avions de
matériel médical. Des personnes qui ne souffriraient pas dans d’autre
pays décèdent dés les premières toux compte tenu des blessures de leurs
poumons. Comme à l’habitude, le gouvernement a fermé les écoles. En
outre, il a déprogrammé plusieurs événements culturels et sportifs, mais
n’a pas interdit les pèlerinages. Certaines régions ont fermé les
hôtels pour éviter les déplacements de malades ne trouvant plus
d’hôpitaux disponibles à proximité de chez eux.
CNN augmente son audience grâce au « Diamond Princess »;
Quarantaine au Japon
Le 4 février 2020, un passager du navire de croisière US Diamond Princess
a été diagnostiqué malade du Covid-19 et dix passagers contaminés. Le
ministre japonais de la Santé, Katsunobu Kato, a imposé alors une
quarantaine de deux semaines au bateau à Yokohama afin d’éviter la
contagion de son pays. En définitive sur 3 711 personnes à bord, dont
l’immense majorité a plus de 70 ans, il y aura 7 morts.
Le Diamond Princess est un bateau israélo-états-unien,
propriété de Micky Arison, frère de Shari Arison, la femme la plus riche
d’Israël. Les Arison transforment cet incident en opération de
relations publiques. L’administration Trump et plusieurs autres pays
font évacuer par avion leurs ressortissants afin qu’ils puissent faire
leur quarantaine chez eux. La presse internationale consacre ses gros
titres à ce fait divers. Faisant référence à l’épidémie de grippe
espagnole des années 1918-1919, elle assure que l’épidémie pourrait se
répandre dans le monde entier et potentiellement menacer d’extinction
l’espèce humaine [2]. Cette hypothèse apocalyptique, ne reposant sur aucun fait, va pourtant devenir parole d’Évangile.
On se souvient qu’en 1898, William Hearst et Joseph Pulitzer, pour
augmenter les ventes de leurs quotidiens publièrent de fausses
informations afin de provoquer délibérément une guerre entre les
États-Unis et la colonie espagnole de Cuba. Ce fut le début du « yellow
journalism » [journalisme jaune] (publier n’importe quoi pour faire de
l’argent). On dit aujourd’hui « fake news » [nouvelles insidieuses].
On ne sait pas pour le moment si des magnats ont volontairement semé
la panique à propos du Covid-19 faisant passer cette vulgaire épidémie
pour la « fin du monde ». Toujours est-il, qu’une déformation succédant à
une autre, des gouvernements s’en sont mêlés. Bien sûr, il ne s’agit
plus ici de vendre des écrans publicitaires en faisant peur, mais de
dominer des populations en exploitant cette peur.
Pour
le directeur de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, la Chine et la
Corée du Sud ont donné l’exemple en généralisant les tests de dépistage
; une manière de dire que les méthodes italiennes et françaises sont
des absurdités médicales.
Intervention de l’OMS
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui avait suivi toute
l’opération, a constaté la diffusion de la maladie hors de Chine. Les 11
et 12 février, elle organise à Genève un forum mondial sur la recherche
et l’innovation consacré à cette épidémie. À cette occasion, son
directeur général le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a appellé dans des
termes extrêmement mesurés à une collaboration mondiale [3].
Dans tous ses messages, l’OMS a souligné :
le faible impact démographique de l’épidémie ;
l’inutilité des fermetures de frontières ;
l’inefficacité
du port de gants, de celui de masques (sauf pour les personnels
soignants) et de certaines « mesures barrières » (par exemple, la
distance d’un mètre n’a de sens que face à des personnes infectées, mais
n’en a pas avec des personnes saines) ;
la
nécessité d’élever le niveau d’hygiène, notamment en se lavant les
mains, en désinfectant l’eau et en augmentant la ventilation des espaces
clos. Enfin, utiliser des mouchoirs jetables ou, à défaut, éternuer
dans le coude.
Cependant, l’OMS n’est pas une organisation médicale, mais une agence
des Nations-Unies traitant des questions de santé. Ses fonctionnaires,
même s’ils sont médecins, sont aussi et avant tout des politiques. Elle
ne peut donc pas dénoncer les abus de certains États.
En outre, depuis la polémique sur l’épidémie de H1N1, l’OMS doit
justifier publiquement toutes ses préconisations. Elle avait été accusée
en 2009 de s’être laissée entraîner par les intérêts de grandes firmes
pharmaceutiques et d’avoir hâtivement sonné l’alerte de manière
disproportionnée [4]. Elle n’a employé cette fois-ci le mot « pandémie » qu’en derniers recours, le 12 mars, soit au bout de quatre mois.
Lors
du sommet franco-italien de Naples, le 27 février, les présidents
français et italien, Emmanuel Macron et Giuseppe Conte, annoncent qu’ils
réagiront ensemble à la pandémie.
Instrumentation en Italie et en France
En matière de propagande moderne, on ne doit pas se limiter à la
publication de fausses nouvelles comme le fit le Royaume-Uni pour
convaincre son peuple d’entrer dans la Première Guerre mondiale, on doit
l’embrigader comme le fit l’Allemagne pour convaincre le sien de livrer
la Seconde Guerre mondiale. La recette est toujours la même : exercer
des pressions psychologiques pour amener les sujets à pratiquer
volontairement des actes qu’ils savent inutiles, mais qui les engageront
dans la voie du mensonge [5].
Par exemple, en 2001, tout le monde savait que les personnes accusées
d’avoir détourné des avions le 11-Septembre ne figuraient pas sur les
listes des passagers embarqués. Pourtant, sous le choc, la plupart ont
accepté sans broncher les accusations ineptes formulées par le directeur
du FBI, Robert Muller, contre « 19 pirates de l’air ». Ou encore,
chacun sait que l’Iraq du président Hussein n’avait comme lanceurs que
de vieux Scud soviétiques n’excédant pas 700 kilomètres de portée, mais
de nombreux États-uniens calfeutrèrent les fenêtres et la porte de leur
maison pour se protéger des gaz mortels avec lesquels le méchant
dictateur allait attaquer l’Amérique. Cette fois, à propos du Covid-19,
c’est le confinement volontaire à domicile qui contraint celui qui
l’accepte à se convaincre lui-même de la véracité de la menace.
Rappelons que jamais dans l’Histoire on n’a eu recours au confinement
d’une population saine pour lutter contre une maladie. Et rappelons
surtout que cette épidémie n’aura pas de conséquence significative en
terme de mortalité.
En Italie, il s’est d’abord agit d’isoler les régions contaminées
selon le principe de la quarantaine, puis d’isoler tous les citoyens les
uns des autres, ce qui ressort d’une autre logique.
Selon le président du Conseil italien, Giuseppe Conte, et le
président français, Emmanuel Macron, le confinement de toute la
population à domicile ne vise pas à vaincre l’épidémie, mais à l’étaler
dans le temps afin que les malades n’arrivent pas au même moment dans
les hôpitaux et les saturent. Autrement dit, ce n’est pas une mesure
médicale, mais exclusivement administrative. Elle ne diminuera pas le
nombre de personnes infectées, mais le reportera dans le temps.
Pour convaincre les Italiens et les Français du bien-fondé de leur
décision, les présidents Conte et Macron ont d’abord excipé du soutien
de comités d’experts scientifiques. Certes, ces comités n’avaient pas
d’objection à ce que les gens restent chez eux, mais ils n’en avaient
pas non plus à ce qu’ils vaquent à leurs occupations. Puis les
présidents Conte et Macron ont rendu obligatoire un formulaire officiel
pour pouvoir se promener. Ce document à en-tête des ministères de
l’Intérieur respectifs est rédigé sur l’honneur et ne fait l’objet
d’aucune vérification, ni sanction.
Les deux gouvernements affolent leur population en distribuant des
consignes inutiles désavouées par les médecins infectiologues : ils
incitent à porter des gants et des masques en toutes circonstances et à
se tenir à au moins un mètre de tout autre être humain.
Vidéo du 25 février 2020 censurée par le ministère français de la Santé
Le « quotidien de référence » français (sic) Le Monde,
Facebook France et le ministère français de la Santé ont entrepris de
censurer une vidéo du professeur Didier Raoult, un des infectiologues
les plus réputés au niveau mondial, parce qu’en annonçant l’existence
d’un médicament éprouvé en Chine contre le Covid-19, il mettait en
évidence l’absence de fondement médical des mesures prises par le
président Macron [6].
Exposé du professeur Didier Raoult à l’Assemblée générale des Hôpitaux universitaires de Marseille, le 16 mars 2020.
Il est trop tôt pour dire quel but réel les gouvernements Conte et
Macron poursuivent. La seule chose qui est sûre, c’est qu’il ne s’agit
pas de combattre le Covid-19.
Notes
[1] The Mandate of Heaven and The Great Ming Code, Jiang Yonglin, University of Washington Press (2011).
[2] Human Extinction and the Pandemic Imaginary, Christos Lynteris, Routledge (2020).
CORONAVIRUS – Après les questions, les certitudes ? – medias-presse.info: Nous sommes en droit de nous poser quelques questions en ce qui concerne cette épidémie de Coronavirus 19 et surtout, la façon dont elle est si mal traitée en France. Pourquoi isoler une population entière – bien portants, porteurs de[Lire plus...]
Coronavirus : les origines | Bouteille à l'Amer: Le 9 mars j’ai décidé de tenir ce journal, je n’ai rien rectifié. Je l’ai tenu parce que cette épidémie est née sous le signe du mensonge. Je le poste parce que trop de cons nocifs et trop de cons …
Un texte à lire qui regroupe à peu près tout ce que, pour ma part, j'avais appris par les journaux Taïwan News et Asian News.
Trump souhaite un assouplissement du confinement afin de ne pas créer une crise économique autrement plus dévastatrice que le problème médical créé par le Covid-19.
Et il a raison.
Le confinement décrété en Europe sous l'influence des Chinois est une aberration complète, il ne devrait être utilisé que temporairement afin de rapidement produire des équipement de protection comme des masques, des gants et tout le reste.
Ce ne peut pas être une solution , sinon le remède va nous tuer plus surement que la maladie.
Le président de la banque fédérale de Saint Louis (Missouri) évalue à une chute de 50% le PIB des Etats-Unis et à 30% le taux de chômage d’ici quelques semaines.
C’est un cataclysme économique.
Trump prend la mesure de ce qui peut se produire s’il décide de confiner pendant des mois le pays. Il va probablement calmer les choses début avril et mettre un coup d’arrêt à l’actuelle vague de panique aux USA.
En Europe nous avons sûrement déjà franchi le point de non retour. Soit les gens retournent travailler soit les entreprises commencent à faire faillite à grande échelle d’ici quelques semaines.
Nous allons détruire l’économie pour sauver quelques milliers de Boomers.
C'est un peu méchant pour les "boomers", dont je suis, mais sur le fond c'est vrai, détruire l'économie, la médecine, les pays dont le nôtre pour sauver quelques milliers de personnes, dont l'immense majorité a atteint et le plus souvent dépassé l'âge de la retraite n'a aucun sens.
Il faut que les dirigeants des pays occidentaux réagissent, se ressaisissent. Les nôtres ont déjà suffisamment merdé. En clair ils ont tout loupé depuis le début, il va falloir que désormais ils comprennent que c'est une vraie crise et qu'il n'existe aucun TD de l'ENA capable de répondre à une telle situation où il faut des couilles (les siennes) de la détermination et une vision synthétique de la situation.
Il faut d'urgence remettre le pays au travail et forcer les entreprises à relocaliser le plus vite possible les activités stratégiques.
Allez, Macron, Philippe et consorts, montrez que vous êtes des hommes et que vous n'êtes pas là par hasard ! Sinon partez et vite, laissez la place à ceux qui sauront réagir. . C'est fini l'époque du principe de précaution quand on se voit mourir !
Coronavirus : Pour qui travaille vraiment le gouvernement Macron ?
Reprenons les faits, rien que les faits :
- En 2013, sur proposition de Jérôme Salomon, actuel « Patron » de la
Santé, alors conseiller de Marisol Touraine, la France vend les 1,7
milliard de masques qu’elle détient en stock préventif pour la somme de
15 millions d’€ seulement ;
- le mari d’Agnès Buzyn, Monsieur
Lévy, participe en février 2017 à l’inauguration du laboratoire P4 à
Wuhan, ville d’où le virus est sorti ;
- avant cela, le même mari
d’Agnès Buzyn s’est faché avec le Pr. Didier Raoult, en refusant les
labels de l’INSERM au centre de recherche mondialement réputé (IHU)
dirigé par Didier Raoult. Et depuis 2010 il met tout en place pour faire
perdre aux IHU leur statut de « fondation » afin de les faire entrer
dans le giron de l’Inserm pour en contrôler les bénéfices mais surtout
les brevets ;
- en prenant ses fonctions en mai 2017, Agnès
Buzyn, nouvellement titulaire du portefeuille de la Santé, a certifié,
qu'elle se déporterait de tout dossier concernant l'Institut national et
de la recherche médicale (Inserm), dirigé par son conjoint, Yves Lévy.
Elle ne tiendra pas parole et personne ne cherchera à lui rappeler son
engagement ;
- le Pr. Didier Raoult annonce que le classique
médicament de la Chloroquine soigne 90% des cas de coronavirus s’ils
sont dépistés assez tôt, et dénonce le confinement generalisé des
porteurs sains qu’il juge digne du Moyen-Âge. Il prône un dépistage
généralisé, et un traitement rapide avec la chloroquine, et avec
confinement des seuls malades ;
- la chloroquine coûte 10
centimes le comprimé ; il est sûr que les laboratoire qui financent
l’Inserm cherchent des solutions bien plus coûteuses ;
- en
octobre 2017, en imposant une gouvernance « sans fondation support » aux
IHU, les ministres de la Santé et de l'Enseignement supérieur ont pris
une décision qui arrange bien le mari d’Agnès Buzyn - le Professeur
Raoult qui dirige l’IHU de Marseille, est directement visé par cette
directive ;
- le 13 janvier 2020, alors que l’épidémie se répand
en Chine, Agnès Buzyn classe la Chloroquine (le fameux remède) dans les
substances vénéneuses (disponibles seulement sur ordonnance), alors que
cela fait 50 ans qu’elle est en vente libre ;
- il y a quelques
jours, Agnès Buzyn annonce avoir su et prévenu que ce problème de
Coronavirus serait une hécatombe, et qu’il n’y avait pas de remède
(rappelons que sa première mesure avait été de faire mettre des
affichettes d’information dans les aéroports). Au passage elle égratigne
le gouvernement qu’elle vient de quitter, au sujet des élections
municipales ;
- le gouvernement Macron/Philippe met en place le confinement généralisé de la population, il ne parle pas de la chloroquine ;
- le gouvernement décide que les policiers ne doivent pas porter de
masques (en réalité ils ont été volés pour la plupart, et on apprend
qu’il n’y en a même pas en stock pour les soignants) ;
- le même
gouvernement refuse le dépistage de masse, pourtant pratiqué dans les
pays riches tels que la Corée, la Chine, Singapour et l’Allemagne, avec
succès car la maladie ne « décolle » pas contrairement aux pays pauvres
comme l’Iran et l’Italie ou... la France ;
- Macron annonce qu’il refuse de fermer les frontières avec les pays contaminés ;
- Le journal le Monde et l’Agence d’Etat de la santé qualifient les
recherches du Pr Raoult de Fake News, avant de se rétracter ;
-
Le docteur Christian Perrone, Chef du service infectiologie à l’Hôpital
Raymond-Poincaré, annonce que non seulement la Pharmacie centrale de
France est en rupture de stock de chloroquine mais aussi que des
pillages ont été perpétrés dans ses locaux. Tous les stocks des
différentes pharmacies hospitalières ont été vidés ;
- Ailleurs
dans le monde, la semaine derniere, grâce à un tweet d’Elon Musk, en
48h, Donald Trump met a disposition de tous les américains la Cloroquine
;
- Le Maroc achète les stocks de chloroquine de Sanofi à Casablanca ;
- Le Pakistan va accroître sa production de chloroquine à destinantion de la Chine ;
- La Suisse exclut elle aussi le confinement généralisé de la
population, pratique un large dépistage avec traitement rapide, et
accuse la France de faire de la politique spectacle ;
- La société TEVA en Israël annonce qu’elle va livrer gratuitement plus de 10 millions de dose de chloroquine aux USA ;
- Estrosi, soigné lui-même à la chloroquine, sans réponse du
gouvernement, a appelé directement Sanofi pour qu’ils livrent la
chloroquine aux hôpitaux de Nice ;
- sous le lobbying intensif du
Pr Raoult, un test à grande échelle de la chloroquine a finalement
commencé en France, sous la direction de l’Inserm (!), qui veut «
refaire les expérimentations dans d’autres centres médicaux indépendants
» : ce qui prendra 6 semaines de plus... presqu’aucun média n’en parle
!!
Il y a quelques mois, peut-être un peu plus, deux ans peut-être, que je saoule mon entourage proche en disant, "ils ne veulent plus que les gens se déplacent sauf sur des trajets et des destinations bien répertoriées" ce qui engendrait au mieux un haussement d'épaules.
Cette idée m'était venue plus à la suite d'un ressenti qu'à la lumière d’évènements très précis, mais cette prémonition prend aujourd'hui toute sa saveur.
En effet, le confinement de toute une population pour une durée qui ne devrait pas être inférieure à six semaines, s'il semble justifié par rapport à la peur de mourir que nous pouvons tous avoir, n'est absolument pas justifié quant à la réalité de la contamination qui reste très faible au regard de la population totale, ni même par rapport au nombre de décès . En écrivant cela je ne cherche pas à me mettre en haut de la colline et à regarder souffrir mes concitoyens, mais c'est parce que le remède, qu'on appelait "de cheval" autrefois risque de nous tuer tout aussi sûrement .
A notre époque mercantile, dans un pays comme la France, les richesses proviennent essentiellement des échanges. Déjà que nous sommes loin d'être un bon élève dans ce domaine, l'arrêt brutal de l'activité va nous tuer, tuer le pays, tuer les retraités et gravement appauvrir les salariés.
C'est pour cela qu'un gouvernement digne de ce nom devrait œuvrer à ce que l'activité reprenne, même réduite, bien avant la fin de la période de confinement.
Il faut absolument donner accès aux gens qui travaillent à des équipements de protection, gants, masques, lunettes, blouses, de bonne qualité et à bon marché et cesser de seriner que masques et tests ne servent à rien alors que le contraire est prouvé. Parallèlement, mobiliser ce qu'il nous reste d'industrie pharmaceutique pour produire des tests en quantité et tester l'ensemble de la population pour confiner les malades et non les bien-portants. Je préférerais que l’État s'endette en permettant aux gens de travailler plutôt qu'à ne rien faire à la maison, en chômage technique qui ne pourra pas être payé .
Il appartient au gouvernement de réquisitionner usines et travailleurs afin, dans un premier temps de fabriquer de tels équipements, puis permettre, voire ordonner la reprise de l’activité par branche.
Ce n'est qu'ainsi que le pays sortira sans trop de dégâts de cette grave crise à la fois sanitaire et financière qui risque sinon de devenir sociale.
A période exceptionnelle solutions exceptionnelles, prenons exemple sur les Chinois de Wuhan ou les soviétiques de Tchernobyl .
Il est temps que foutriquet et son premier sinistre se retirent les doigts du cul et se mettent sérieusement au boulot ! C'est la seule chance qui leur reste d'avoir un jugement pas trop sévère lors du procès qui interviendra à l'issue de cette affaire. Sinon j'en appelle au renversement de cette bande d’incapables assassins.
"Alexandre Hassanin, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
En l’espace de quelques semaines, nous avons tous appris beaucoup de
choses, mais aussi entendu pas mal de rumeurs sur la maladie Covid-19 et
le virus responsable : le SARS-CoV-2. Alors que le nombre d’articles
scientifiques sur ce virus ne cesse d’augmenter, il subsiste encore bien
des zones d’ombre quant à l’origine de ce virus. Dans quelle espèce
animale est-il apparu ? Une chauve-souris, un pangolin ou une autre
espèce sauvage ? D’où vient-il ? D’une grotte ou d’une forêt de la
province chinoise de Hubei ou bien d’ailleurs ?
En décembre 2019, 27 des 41 premières personnes hospitalisées (66 %)
sont passées par un marché situé en plein cœur de la ville de Wuhan,
dans la province de Hubei. Mais l’origine de l’épidémie n’est
probablement pas liée à des contacts avec des animaux vivants ou morts
présents sur ce marché, car il apparaît, d’après une étude chinoise menée à l’hôpital de Wuhan, que le tout premier cas humain identifié n’a pas fréquenté ce marché. En accord avec cette hypothèse, les datations moléculaires
estimées à partir des séquences génomiques du SARS-CoV-2 indiquent
plutôt une origine en novembre. On est donc en droit de s’interroger sur
le lien entre cette épidémie Covid-19 et la faune sauvage.
Ce que l’on sait grâce aux données génomiques sur les Betacoronavirus
Le génome du SARS-CoV-2 a été rapidement séquencé par les chercheurs chinois. Il s’agit d’une molécule d’ARN
d’environ 30 000 bases contenant 15 gènes, dont le gène S qui code pour
une protéine située à la surface de l’enveloppe virale (à titre de
comparaison, notre génome est sous forme d’une double hélice d’ADN d’une
taille d’environ 3 milliards de bases et il contient près de 30 000
gènes). Les analyses de génomique comparative ont montré que le SARS-CoV-2 appartient au groupe des Betacoronavirus et qu’il est très proche du SARS-CoV,
responsable d’une épidémie de pneumonie aiguë apparue en novembre 2002
dans la province chinoise de Guangdong qui s’est ensuite répandue dans
29 pays, notamment en France en 2003. Au total, 8098 cas ont été
comptabilisés, dont 774 décès. On sait que les chauves-souris du genre Rhinolophus (potentiellement plusieurs espèces cavernicoles) étaient le réservoir de ce virus et qu’un petit carnivore, la civette palmiste (Paguma larvata), a pu servir d’hôte intermédiaire entre les chauves-souris et les premiers cas humains.
Depuis, de nombreux Betacoronavirus ont été découverts,
principalement chez les chauves-souris, mais aussi chez l’homme. C’est
ainsi que le virus RaTG13, isolé à partir d’une chauve-souris de
l’espèce Rhinolophus affinis collectée dans la province chinoise du Yunan, a récemment été décrit comme très proche du SARS-CoV-2, les séquences de leur génome étant identiques à 96 %. Ces résultats indiquent que les chauves-souris, et en particulier les espèces du genre Rhinolophus, constituent le réservoir des virus SARS-CoV et SARS-CoV-2.
Chauve-souris, Rhinolophus affinis.
Alexandre Hassanin, Author provided
Mais comment définit-on un réservoir ? Il s’agit d’une ou de
plusieurs espèces animales peu ou pas sensibles au virus, qui vont
naturellement héberger un ou plusieurs virus. L’absence de symptôme de
la maladie s’explique par l’efficacité de leur système immunitaire qui
leur permet de lutter contre une trop grande prolifération virale.
Mécanisme de recombinaison
Le 7 février 2020, nous apprenions qu’un virus encore plus proche du SARS-CoV-2 avait été découvert chez le pangolin. Avec 99 % d’identité annoncé, cela en faisait un réservoir plus probable que les chauves-souris. Une étude plus récente,
actuellement en cours d’expertise, suggère néanmoins une situation bien
plus complexe. Finalement, le génome du coronavirus isolé chez le
pangolin malais (Manis javanica) n’est globalement pas si
proche du SARS-Cov-2, avec seulement 90 % d’identité. Il n’est donc pas
responsable de l’épidémie qui sévit actuellement.
Cela dit, le virus isolé chez le pangolin présente bien 99 %
d’identité avec le SARS-Cov-2 si l’on compare les 74 acides aminés d’une
région particulière de la protéine S, le domaine de liaison au
récepteur ACE2 (Angiotensin Converting Enzyme 2) qui permet au
virus d’entrer dans les cellules humaines pour les infecter. Dans la
même région, le virus RaTG13 isolé chez la chauve-souris R. affinis
est quant à lui très divergent (77 %). Pour simplifier, cela signifie
que le coronavirus isolé chez le pangolin est capable d’entrer dans les
cellules humaines alors que celui isolé chez la chauve-souris R. affinis
ne l’est pas. Par ailleurs, cela suggère que le virus SARS-Cov-2 est
issu d’une recombinaison entre deux virus différents, l’un proche de
RaTG13 et l’autre plus proche de celui du pangolin. En d’autres termes,
il s’agit d’une chimère entre deux virus préexistants.
Ce mécanisme de recombinaison avait déjà été décrit
chez les coronavirus, notamment pour expliquer l’origine du SARS-Cov.
Il est important de savoir qu’une recombinaison aboutit à un nouveau
virus potentiellement capable d’infecter une nouvelle espèce hôte. Pour
qu’une recombinaison se produise, il faut que les deux virus divergents
aient infecté le même organisme de façon concomitante.
Deux questions restent en suspens : dans quel organisme a eu lieu
cette recombinaison ? (une chauve-souris, un pangolin ou une autre
espèce ?) Et surtout dans quelles conditions a eu lieu cette
recombinaison ? Alexandre Hassanin, Maître de Conférences (HDR) en biologie de l’évolution à Sorbonne Université, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)"
On se demande bien dans quel organisme ces deux virus ont pu partouzer au point d'enfanter ce monstre ?
Nulle mention des "découvertes" indiennes quant à la présence d'éléments du VIH dans l'ADN de ce virus. A suivre.
Comme je vous le disais hier, il ne faut pas carabistouiller les Français
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Comme je vous le
disais hier, il ne faut pas carabistouiller les Français Et plus on me
dit « en transparence » plus je sais que l’on se fout de ma gueule.
Bien
évidemment restez chez vous, car ce confinement est la seule bonne
décision de ces dirigeants, ineptes, incompétents, menteurs,
manipulateurs et pour tout dire minables et dangereux, qui dirigent
notre pays. Il nous appartiendra d’en débarrasser le pays aux prochaines
élections.
La liste des mensonges est grande.
Très grande.
Commençons-là pour l’histoire, elle n’est pas terminée.
1/ Ce virus ne viendra jamais en Europe. Il n’y a aucune chance, ou très faible, que nous y soyons confrontés.
2/
Fermer les frontières ne sert à rien contre un virus… Préciser que les
hommes en sont porteurs et que les frontières servant de « contrôles »
peuvent être utiles est pourtant une évidence. Que fermer les frontières
soit difficile quand nous avons des centaines de milliers de nos
compatriotes partout dans le monde est une évidence aussi. Contrôler a
minima permet sans atteindre le risque 0 de le diminuer.
3/ Porter des masques ne sert à rien.
4/ Tester systématiquement ne sert à rien.
5/ J’attends l’avis de nos brillants « scientifiques » sur l’intérêt de désinfecter les lieux publics…
Pourquoi ces éléments là ?
Parce
qu’en Corée du Sud, pays touché, l’épidémie est contenue grâce au port
du masque systématique par tout le monde (ce qui est utile avec un virus
aérorpoté), parce qu’en Corée on désinfecte partout les lieux publics,
parce qu’en Corée on teste tout le monde systématiquement et l’OMS le
recommande. « test, test, test » dit le Directeur général de l’OMS le
docteur Tedros.
En France nous…
Ne testons pas car nous n’avons pas assez de capacité de test. Nous gérons le « guère de tests »… nous ne faisons pas la guerre.
Ne
portons pas de masques parce que nous ne « savons pas les mettre »,
nous les gueux… on pourrait bien nous faire un ou deux « tuto » sur
youtube pour nous apprendre à enfiler un masque vu que l’éducation
nationale sait payer des imbéciles qui vont expliquer à mon gosse de 12
ans comment enfiler une capote en classe… et non, ne mettez pas une
capote sur votre nez, sinon, un abruti de la police de la pensée viendra
m’accuser d’exercice illégal de la médecine. La réalité, nous gérons le
guère de masques… nous ne faisons pas la guerre. Quant au reste, si
nous pouvons apprendre à nos collégiens de 5ème l’enfilage de capotes
dans le noir, mettre un masque de jour devrait être à la portée de tous !
Ne
désinfectons pas les lieux publics, car je ne sais même pas, à part nos
amis agriculteurs, qui dispose de pulvérisateurs en quantité suffisante
sans même parler des produits nécessaires. Nous gérons le guère de
pulvérisateurs… nous ne faisons pas la guerre.
Enfin nous n’avons plus guère de gel hydro-alcoolique… c’est la « guère » dans ce pays, pas la guerre.
Nous
sommes dirigés par les mêmes mauvais, les mêmes incompétents (au mieux)
que ceux qui nous ont menés au désastre de 40 et à de vraies heures
sombres.
La bombre Buzyn. 1ère pièce à conviction pour la postérité et l’Histoire.
C’est dans ce contexte qu’Agnès Buzyn a expliqué dans un article du Monde ici, qui
sera versé comme la pièce à conviction numéro 1 dans le procès que
l’Histoire ne manquera pas de faire, que le gouvernent savait.
En
creux Agnès Buzyn, ancienne ministre de la santé, savait que ces
élections étaient une ânerie, que les risques pour la santé sont
considérables, que notre pays aura des milliers de morts.
Pendant
ce temps là, ce pauvre président, n’est pas un chef de guerre, il n’est
guère qu’un gestionnaire de tous nos manques, de tous nos « guère de
quelque chose ». C’est un chef de guère, pas un chef de guerre, que Dieu
ait pitié de la France et de son pauvre peuple livré en pâture à des
immatures incompétents et menteurs.
Que l’on nous dise simplement
la vérité, du genre… « bon, je ne vous le cacherais pas, nous avons raté
la première mi-temps. Nous allons avoir de lourdes pertes. Nous n’avons
pas de masques, pas de gants, pas de matériel pour faire face. On vous a
menti, pour ne pas vous faire peur. Ce n’est pas une grippette, c’est
une putain de pneumonie, qui rend malade tout le monde, les jeunes comme
les vieux, et qui tue tout le monde mais plus les vieux mais pas que.
On vous a menti car on ne voulait pas vous faire peur. Pourtant restez
chez vous, c’est la seule façon de contenir ce virus monstrueux.
Prenez-le au sérieux. L’ennemi est redoutable. En restant chez vous,
vous nous donnerez le temps de fabriquer des masques, des blouses de
protection, des respirateurs ». Au moins ce sera cohérent et les gens
comprendront pourquoi rester chez eux. Mettre une amende, ne leur fera
pas prendre conscience de la gravité tant que des médecins de salons
parisiens comme Cymes expliqueront doctement que c’est une grippette
sans gravité.
Au lieu de cela, le chef de « guère » nous a
expliqué qu’il fallait sortir mais pas trop loin et téléphoner à mémé…
pathétique et très inquiétant. Monsieur le président, ressaisissez-vous
avant qu’il ne soit trop tard.
Vive la France, vive les Français, prenez bien soin de vous, protégez-vous.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous et désormais protégez-vous!
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin Pour m’écrire charles@insolentiae.com Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com
Charles Sannat nous résume en quelques lignes les manquements de ce gouvernements et en premier lieu de son chef.
Tout ce qu'il dit nous l'avons dit ici et même un peu plus et nous sommes entièrement d'accord avec lui sauf sur le fait de croire que nous pourrions régler cela par des élections. Ça se réglera dans le sang comme toutes les grandes affaires des nations au fil de l'histoire et nul ne peut encore prédire qui sera vainqueur, qui sera vaincu.
Parmi les choses que l'on peut souhaiter tirer de cette crise, c'est que le règne de la parole et de l'embrouille prenne fin !
Je viens de subir une grosse attaque de spams aussi j'ai rétabli momentanément le contrôle des commentaire pour pouvoir filtrer ce genre de comique. Vos commentaires s'afficheront quand je les aurait validés .
Désolé pour la gêne apportée
Buzyn qui n'a fait que de la figuration lors du premier tour des municipales, vient de déclarer qu'elle était au courant de la gravité de l'épidémie qui s'annonçait et à quitté son ministère en pleurant (je suis ému)
A mon avis, elle a compris qu'il faudrait un fusible à la sortie de crise et elle n'a pas envie de jouer le rôle du mouton noir.
Depuis le 11 septembre 2001 il n'y a plus de hasard !
Le gouvernement de France, mondialiste, a tout simplement décidé dès janvier de se servir de cette maladie pour "remplacer" le peuple indocile afin de pérenniser le grand remplacement.
Pour plusieurs raisons on ne peut s'empêcher de penser à un plan concerté qui commence à être dénoncé par les gouvernements chinois et iraniens.
Parmi celle-ci on peut trouver étrange que la province la plus technologiquement avancée de la Chine dérangeant les USA, soit la "source" de la maladie. Ça peut évidemment relever du hasard mais quand le second pays touché le plus durement est l'Iran et en particulier sa classe dirigeante on peut être étonné mais encore s'en remettre au hasard. Le virus atteint l'Europe et ce sont deux peuples parmi les plus rebelles qui attirent le virus, le peuple italien rétif à l'UE, émanation du projet mondialiste, et la France dont le peuple s'est révolté un an durant.
En France, dès janvier, Buzyn a organisé la pénurie systématique des masques et gants, puis n'a pris aucune disposition pour pallier ce qu'on aurait pu, au départ, prendre pour des fautes stratégiques, à tel point qu'aujourd'hui encore, gants, gel, masques sont introuvables.
Le gouvernement multiplie les déclarations anxiogènes après avoir temporisé pendant près d'un mois et demi mais s'accroche à la position selon laquelle fermer les frontières ne servirait à rien — malgré les enseignements chinois, taïwanais, coréens et les récentes décisions de gouvernements européens — mais confine les Français et interdit les rassemblements, mesures contradictoires s'il en est.
On entend les chiffres les plus ubuesques. Alors que le Hubei, province d'une population comparable à la France a eu moins de 60 000 contaminés (1‰ de la population) et ne dépassera pas les 3500 morts, nos ministres nous expliquent qu'il faut s'attendre à ce que 30% à 70 % de la population soit contaminée — c'est parait-il une nécessité "naturelle" — c'est à dire en fourchette basse 20 millions d'habitants et alors que le taux de mortalité parmi les malades a atteint 6% dans le Hubei, un professeur goguenard nous explique qu'il ne faut pas s’affoler car 98% des malades s'en sortiraient sans problème.
Outre qu'on ne sait pas d'où il sort ses chiffres, 2% de 20 millions font quand même 400 000 personnes, pouvant aller jusqu'à 1 million de victimes si la contamination était de 70% de la population. Plus probablement, avec un taux chinois on atteindrait de 1,2 à 3 millions de victimes. Chiffres presque dignes de la peste noire comparables à la guerre de 14-18 et tirés de l'esprit agité de politiciens et de médecins emportés par un délire morbide. Est-ce leur but ? Se défaire de 3 millions de Français pour créer un appel migratoire violent ?
On est en droit de se poser cette question qui est tout à fait pertinente quand Erdogan lance 1 million de pauvres hères et d'agents de ses services secrets à l'assaut des frontières de la Grèce et de la Bulgarie, en pleine crise sanitaire. Et ne voilà-t-il pas qu'il exige désormais l'admission dans l'Europe, ce qui pour nous ne serait rien d'autre qu'un arrêt de mort.
La conséquence de tout cela, même si le nombre de victime reste faible, sera de profondément désorganiser le pays au profit d'une oligarchie qui va tenter de reprendre la main par le biais de lois d'exception comme la ripoux-blique sait si bien le faire .
Macron l'a dit à la fin de son discours, mais comme d'habitude quand il dit des choses désagréables, en masquant son discours avec des phrases ampoulées et un petit sourire vicieux en coin.
Attali : une petite pandémie permettra d’instaurer un gouvernement mondial !
13 mai 2009 (Nouvelle Solidarité) – Il fallait Jacques Attali pour y penser ! Dans sa rubrique du magazine L’Express du 3 mai, l’ancien sherpa de François Mitterrand dévoile quelques fantasmes intimes du monde oligarchique. En bref : là ou le krach financier a jusqu’ici échoué, une bonne petite pandémie pourrait précipiter nos dirigeants à accepter la mise en place d’un gouvernement mondial ! « L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur : elle met alors d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire dans une politique de santé démocratique. » Pour Attali, « La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes », car elle fera surgir, « mieux qu’aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. »(1) « Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine - inévitable - on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. »(2) « C’est d’ailleurs par l’hôpital qu’a commencé en France, au xviie siècle, la mise en place d’un véritable Etat », avance-t-il pour conclure. Cependant, avec la loi Bachelot et les autres « reformes » qu’impose son « ami Nicolas », c’est précisément l’hôpital qu’on démantèle.
Aujourd'hui, il semble bien que nous aurons les deux, la pandémie et le krach financier avec en prime la guerre et l'invasion migratoire. Donc ce type en 2009, il y a 11 ans (un chiffre symbole) nous décrivait notre réalité d'aujourd'hui.. Naturellement on est prié de n'y voir qu'une coïncidence .
Quand on lit l'article suivant on s'aperçoit que le Covid-19 n'est qu'une version améliorée du SRAS grâce à des emprunts au virus VIH, ce qu'ont rapidement découvert des chercheurs Indiens.
Sinon la description du virus, le mode de transmission, les symptômes sont en tout point semblables à ceux du Covid-19 au point qu'on croirait un copié-collé, même la grosse blague du virus aérien qu'on attrape en ingérant un animal infecté y est mentionnée.
Il n'y rien de naturel dans tout ça, rien de normal.
Notes
(1) c'est bien le mode opératoire de la crise du coronavirus, une peur irrationnelle et disproportionnée déclenchée artificiellement par la dramatisation et la privation des moyens de protection individuels
(2) c'est presque mot à mot ce que Macron déclarait ce soir à la télévision et là aussi il faudrait prendre ça pour un hasard ?
L'épidémie de coronavirus qui sourd et va bientôt vraiment jaillir fera sans nul doute bien moins de morts que la Grande Peste du XIVème siècle, laquelle avait tué, selon les estimations entre 20% et 50% de la population.
La peste de l'époque pouvait tuer la quasi totalité d'un boug ou d'un village ce qui ne sera pas le cas de cette grippe pneumonique.
Mais dans un monde habitué au confort, à ce que tout soit contrôlé voire manipulé, un rappel à la faiblesse physique de l'être humain fait toujours peur.
pour la quasi totalité d'entre nous, nous n'avons plus de potager ni de ruisseau ou de puits dans la cour.
Nous sommes entièrement dépendants d'un travail salarié, donc d'entreprises fragiles et surendettées pour beaucoup, notre nourriture vient par des voies de communications qui dépendent des approvisionnements en pétrole et de quelques milliers de chauffeurs routiers. Notre approvisionnement en énergie peut fort bien se ralentir voire même s'interrompre quelques jours. C'est le moment que choisit un autocrate nostalgique du grand Sultan pour prononcer un acte de guerre aux frontières de l'Europe en pressant des centaines de milliers de pauvres hères sur la frontière. Ce même fou joue avec le feu sur sa frontière sud, mais là il a à faire à plus forte partie.
Pendant ce temps là notre gouvernement dirigée par un foutriquet, ne prend pas la mesure des choses, discourt sur l'air du temps dispense ses bonnes et mauvaises notes et ne prend pas du tout la mesure des choses.
Compte tenu du temps d’incubation il est déjà trop tard pour la quarantaine généralisée et nous n'échapperons pas à plusieurs milliers de morts et des scènes dramatiques comme en Italie.
Ps : je viens d'assister au discours de foutriquet : à la hauteur de sa nullité. Un discours sans ligne directrice où à la fin on ne sait même pas de quoi il a parlé pendant un quart d'heure. Des "Je veux" "Nous ferons" mais rien de très précis, rien sur la disparition des masques, rien sur le fait que depuis deux mois ils branlent le mammouth !
Il y a des choses qui vont se passer d'ici quelques mois mais probablement pas le virage écologique qu'il a suggéré !
«« À bas la France ! », « Barkhane dégage ! », « Stop au génocide français au Mali ! »… Dans
un précédent article, je pointais la difficulté pour nos 5000 soldats
français de l’opération Barkhane de réussir à contrôler un territoire
aussi étendu que l’Europe qui s’étend sur cinq pays, la Mauritanie, le
Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad.
Soldats français au Mali.
En 2013, les troupes françaises arrivaient au Mali, accueillies par
une foule en liesse. Aujourd’hui, notre action est de plus en plus
critiquée par une partie de l’opinion. L’euphorie laisse place au doute
sur l’issue de ce conflit et même à la suspicion. Les causes de ce
revirement ? Elles sont quatre : déception, colère, amertume et soupçon.
Déception, car les Maliens qui avaient sûrement mythifié le pouvoir
de nos troupes imaginaient que leur arrivée mettrait un coup d’arrêt
rapide aux attaques djihadistes. Mais depuis deux ans la pression des
rezzous mécanisés musulmans s’accentue contre les camps militaires
maliens, les postes de gendarmerie et les villages. Actions éclairs
menées en Toyota ou à motos, par des groupes puissamment armés. Ils
frappent, tuent et disparaissent. Au Mali et au Burkina Faso, des
dizaines de militaires et de civils sont tués chaque mois et des régions
entières échappent désormais à l’autorité de l’État. Terrorisées les
populations commencent à se demander si elles peuvent continuer d’avoir
confiance en nous aux côtés de l’armée malienne ou si elles ne doivent
pas commencer à composer avec les terroristes.
Colère, car ce sont surtout les soldats maliens qui se font tuer et
qui apparaissent insuffisamment soutenus par les Français. Après ceux de
Dioura et de Mondoro, l’attaque du camp militaire de Boulkessi fut
psychologiquement catastrophique, car considéré comme l’un des plus
sécurisés du pays, il était occupé par une centaine de commandos
parachutistes placés sous le mandat de la Force conjointe du G5 Sahel.
Les morts sont les militaires Maliens et les populations sont restées
perplexes : comment les djihadistes ont-ils réussi à s’en emparer si
facilement ?
Amertume également. De nombreux Sahéliens, dont Mahamadou Issoufou,
le président nigérien, considèrent que la pénétration des djihadistes
est la conséquence de la calamiteuse intervention militaire contre
Mouammar Kadhafi, en Libye, en 2011. La suite était prévisible et ils
reprochent aux Français de n’avoir jamais tenu compte de leurs mises en
garde. Amertume également vis-à-vis de ce qu’ils considèrent comme du
mépris. Au Mali, personne n’a oublié lors de la libération de Kidal, en
2013, que les soldats français sont entrés dans la ville sans aucun
militaire malien à leurs côtés alors qu’ils avaient pourtant combattu
courageusement et subi des pertes importantes.
Soupçons enfin. Cette guerre s’éternise. La multiplication des
attaques et le manque de protection des soldats maliens, malgré la
présence de ces forces internationales, engendre une suspicion
généralisée de connivence entre Barkhane et les terroristes, explique
Issa Ndiaye, politologue et professeur de philosophie à l’université de
Bamako. Ainsi l’idée que la France maintiendrait volontairement une
forme de chaos dans la région fait son chemin. Certains sont convaincus
que si cette grande puissance occidentale, avec tous ses moyens
militaires et technologiques, ne parvient pas à neutraliser quelques
centaines de jihadistes, c’est qu’elle ne le veut pas vraiment.
Ce discours est relayé par des personnalités politiques ou publiques.
En juin, Chériff Sy, le ministre burkinabé de la Défense, s’étonnait
que la France n’ait pas réussi à «éradiquer cette bande de terroristes » et se demandait si elle n’avait pas « d’autres priorités ».
« Tout laisse à penser que la France coopère avec les groupes
jihadistes pour rendre la zone instable et piller nos matières
premières », renchérit Hervé Ouattara, le responsable burkinabé de l’association Urgences panafricanistes, présidée par Kémi Séba.
Soupçons contre lesquels Joël Meyer, l’ambassadeur de France au Mali s’insurge.
« Si la France est intervenue militairement au Mali – une
intervention encadrée par un mandat du Conseil de sécurité des Nations
Unies –, c’est parce qu’il y a eu une demande d’assistance des autorités
maliennes », insistait-il ainsi en juillet dernier dans un entretien accordé au journal L’Indépendant.
« Nous ne souhaitons pas rester indéfiniment au Mali et n’avons aucun intérêt à le faire, au-delà du devoir accompli ».
Avec les tueries d’Arbinda puis de Silgadji au Burkina Faso, puis de
Sokolo au Mali, ces assurances ne convainquent pas les populations
massacrées. L’Afrique semble grignotée par ces attaques qui se
multiplient trop impunément, faute de pouvoir être contenues par des
troupes manifestement insuffisantes et qui apparaissent impuissantes aux
yeux des populations. Déçues des résultats contre des terroristes qui
donnent l’impression de faire ce qu’ils veulent, elles sont de plus en
plus réceptives au discours affirmant que la force Barkhane est
impuissante et qu’elle n’est là que pour défendre des dirigeants
corrompus au service des intérêts français.
Philippe Joutier »
Les Maliens en colère parce que leurs soldats se font tuer pour défendre leur pays ! On marche sur la tête !
Qu'est qu'on a à faire avec des QI85 ? si ça plaît aux Chinois ou aux US de se faire tuer pour des gens qui tôt ou tard leur cracheront à la gueule, qu'ils y aillent.
Une des pires fautes de l'Homme Blanc a bien été de coloniser l'Afrique, oh non pas pour des raisons morales, l'histoire se passe le la morale et du bon droit, encore que la gauche a cru accomplir là une œuvre humaniste mais parce que ça a été une grave faute contre notre culture et notre race !
Nous, nous avons beaucoup mieux à faire. Il faut ici nettoyer les écuries d'Augias et rapatrier dare-dare tous ces parasites dans leurs beaux pays d'origine, sortir de l'UE et reconquérir notre territoire, notre monnaie et notre indépendance, arrêter les banquiers et les bradeurs de richesses nationales et épurer la classe politique et économique de tout ce qu'elle comporte d'internationalistes profiteurs.
Après seulement l'horizon sera de nouveau dégagé pour la reconstruction.
Test du fascisme: Ce test détermine à quel point vous êtes fasciste.
Test du fascisme
Vous êtes 59% fascistes, ce qui fait de vous un un Crypto-Fasciste.
Il semblerait qu'il y ait un degré important de concordance entre
vos doctrines politiques préférées et celles du fascisme. Puisque le
fascisme est en réalité un mélange de communisme, de socialisme, de
conservatisme et de libéralisme, avec quelques innovations propres, il
n'est pas surprenant que la plupart des gens aient des points communs
avec les doctrines du fascisme. Cependant, même en tenant compte de ces
seuils, l'interprétation la plus probable de vos réponses au test est
que vous êtes quelqu'un qui est sur le point de devenir un fasciste à
proprement parler. Vous ne vous considérez peut-être pas de cette façon,
mais les recherches en sciences sociales ont montré à plusieurs
reprises qu'un pourcentage important de la population est naturellement
attiré par les doctrines politiques autoritaires (dont le fascisme n'est
qu'un exemple). En fait, une étude a même révélé que dans le cas des
personnes attirées par l'ordre et le contrôle, ces valeurs sont plus
importantes pour elles que les paramètres politiques plus courants, tels
que la gauche et la droite traditionnelles. Selon toute vraisemblance,
ces valeurs sont également parmi les plus importantes pour vous.
En quelques minutes,cette vidéo de Wanted Info fait le point sur les bizarreries que l'on peut relever dans ce virus et l'épidémie associée :origine étrange, maladie prophétisée dans un livre de SF, avec lieu et cause de la létalité s'il vous plait !
Pierre Cassen, lui, met de doigt sur l'incurie du gouvernement français, président, ministres, porte-parole et bien qu'il n'en parle pas hauts fonctionnaires et directeurs d'administrations . Aucun n'a fait son travail en temps et heure et aujourd’hui, alors que l'on sait que l'épidémie a pris son envol, ça pédale dans la sciure. Pompiesr, ambulanciers protestent car ils sont privés du matériel de protection alors qu'ils sont amenés à intervenir sur de plus en plus de cas suspects.
La population, elle, a le sentiment d'être abandonnée face à la maladie, privée des équipements de base pour assurer sa protection en cas de risque et se met à douter de la réelle destination des équipements réquisitionnés.
Malgré sa progression fulgurante, le coronavirus reste largement en deçà des performances du virus de la grippe saisonnière, laquelle les "bonnes années" peut contaminer en France jusqu'à 5 millions de personnes et en tuer en moyenne 10 000 l'année, toujours en France. Même Wuhan, si l'on en croit les chiffres officiels, est très largement en deçà de ce score domestique
En France, les quelques morts, tous des personnes âgées, ne représentent même pas une goutte d'eau, pour l'instant, par rapport à son cousin grippal.
Alors pourquoi ce stress, ce suivi heure par heure des malades et des morts ? La maladie est manifestement bien moins contagieuse que la grippe, du moins si l'on en croit les chiffres chinois, même si elle est plus mortelle..
Si l'on se réfère au chiffres du Hubei qui est d'une taille comparable à la France, , à la louche, 85000 malades et 3500 morts à comparer avec une grippe ordinaire 4 millions de malades et 10 000 morts
On a donc toujours à la louche 40 et quelques fois moins de malades donc de chances d’attraper la maladie mais si vous l'attrapez vous avez 20 fois plus de chances d'y laissez votre peau. D'où la peur que ça engendre .
En résumé, la maladie est moins dangereuse pour l'ensemble de la population que la grippe mais nettement plus dangereuse pour l'individu.
J'ose ce parallèle en disant que le coronavirus est la bombe à neutron de la bactériologie. On sent tout de suite l'aspect militaire de ce virus qui, pulvérisé par des moyens aériens assurerait la reddition d'une ville ou d'une région en moins d'un ou deux mois car tout le monde ou presque serait malade ou mort, tout en limitant les risques d'une contamination plus importante y compris de l'armée adverse qui serait protégée avec des moyens simples et relativement peu coûteux.
On en vient à la question posée dans le titre, le coronavirus est-il une arme de sidération dans son emploi actuel.
Naturellement, j'exclus l'origine naturelle qui est une vaste, car on ne voit pas comment le virus aurait pu acquérir certaines caractéristiques du VIH chez un pangolin ou une chauve-souris aussi dégen(é)rées soient-ils .
L'origine accidentelle reste possible mais peu probable. L'histoire d'animaux de laboratoire vendus au marché semble plus destinée à créer un racisme anti-asiatique qu'à être un reflet de la vérité.
par contre l'origine criminelle ma semble plus probable et je ne pense pas que ce soit le fait des Chinois.
Après chacun en tire les conclusions qu'il veut. Wanted Info rappelle que la fondation Soros dispose d'un laboratoire à Wuhan près de l'épicentre de la maladie.
Quel serait le but ?
Le but réel on ne le connaitra qu'à la fin. Tester in situ la simulation électronique de Bill Gates ne me semble pas impossible. Voir comment les populations se comportent devant une vraie épidémie et comment les médias peuvent aider à propager la peur et l'angoisse est naturellement du domaine du possible. Depuis le 11 septembre, ces analyses que j'aurais repoussées d'un revers de main ne me semblent plus impossibles.
Quelle attitude avoir ? De la prudence non paranoïaque. Prudence parce que la maladie est dangereuse, non paranoïaque parce qu'avec des moyens de protection simples on peut s'en protéger, et surtout gardons l’œil ouvert sur les actions et manipulations du système global qui , n'en doutons pas, est à la manoeuvre.