Après que Manuel Gaz nous a joué les matamores, promettant des peines exemplaires, la peine la plus grave prononcée, pour agression d'un policier, est de quatre mois de prison dont deux avec sursis, ce qui se traduit dans les faits par une remise en liberté immédiate.
Comme je l'ai indiqué sur un ou deux blogs amis, nous sommes tout à fait dans le contexte décrit par Eric Werner dans l'Avant-guerre civile et d'autres de ses ouvrages, à savoir l’instrumentalisation du "lumpen prolétariat post moderne" à seule fin de contrôler les classes moyennes.
Et quelles classes moyennes en l'occurrence ? Celles qui ont manifesté leur désaccord contre le mariage Taubira ou taubiriage.
J'avoue que j'attends la fin du mois avec une certaine impatience, une certaine crainte aussi.
La situation est dramatique !
RépondreSupprimernous serions à la veille d'un coup d'état mondialiste que les signes annonciateurs seraient les mêmes.
RépondreSupprimerTout est fait pour monter les différentes couches de la société entre elles, diviser pour mieux régner, les élites s'en sortiront encore sur le dos du peuple.
RépondreSupprimerOui et on sait qu'ils vont servir à réglementer encore plus voire faire interdire les manifs intra muros.
RépondreSupprimerAutre hypothèse de leur utilisation, celle suggérée par Cotuatos, que je n'ai pas très bien captée d'ailleurs.
L'Etat aux abois n'est jamais indifférent ni même étranger aux émeutes de la racaille, il en joue dangereusement car il y va de sa survie en tant que structure démocratico-pyramidale et en tant que gestionnaire du nouvel ordre mondial. Institutions hors Etat, les mafias, les Loges, les coteries en tout genre, qu'il est inutile de citer ici, influent et modifient profondément le rapport de concurrence avec l'Etat, soit en s'y enkystant ou soit en le doublant. Du sbire au parain, ils sont nombreux à recruter parmi les émeutiers modernes. Il en va de même pour l'Etat pourrissant. Instructif, les couches dirigeantes de manquent pas une occasion de s'exprimer comme la racaille lorsqu'elle le juge nécessaire, révélant par là même sa stratégie diabolique.
RépondreSupprimerIl suffit de s'attarder sur les moyens utilisés et l'on comprendra que la racaille est devenue nécessaire à la gestion du capitalisme démocratique mondialisé. Il tombe sous le sens que la DCRI savait ce qui se tramait en coulisse, il est plus que probable qu'au sein de la hiérarchie la consigne était de laisser faire, le but ultime étant de démoraliser toute velléité de révolte un tant soit peu organisée.
Toujours le même scénario dira-t-on, sauf que le nouveau lumpen a changé de nature. Mieux encore, nous pouvons être assurés que les gauchistes, S.O.S. racisme,... joueront les nouveaux chiens de garde dans les affrontements qui ne manqueront pas de se produire, c'est déjà le cas. La véritable nature du gauchiste est celle de l'indic. Ne parlons même pas des communicants !
Nous n'en avons pas fini avec schéma habituel savamment dosé : provocation-répression, tout s'accélérant désormais.
Il n'est pourtant pas certain que le scénario réussisse, le lumpen demeurant imprévisible. On ne joue pas impunément avec le feu.
c'est d'ailleurs , quoi qu'il se produise, la seule vraie lueur d'espoir : que leur scénario soit mal écrit
RépondreSupprimer@ la mouette
RépondreSupprimerC'est ce que l'on peut craindre
Fondamentalement, le scénario est écrit par Satan. Ceux qui croient nous diriger n’en sont que les valets. Ils visent la satisfaction de leur orgueil et, en général, ils n’ont pas de vision d’ensemble au contraire de Satan. Lui a un objectif précis qu’il poursuit sans relâche : l’éradication du bien, du beau et du vrai. Il peut tout à fait réussir si nous ne tournons pas vers le Christ.
RépondreSupprimerla religion nous enseigne qu'il ne réussira pas mais nous ne pouvons le laisser faire.
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