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dimanche 31 mai 2020

L’inimitable arrogance élyséenne ne connaît pas de frontières

L’inimitable arrogance élyséenne ne connaît pas de frontières: Emmanuel Macron a menacé la Hongrie pour avoir instauré un état d’urgence face à la pandémie, alors même que les pouvoirs exceptionnels confiés au gouvernement français sont toujours en vigueur, pointe Pierre Lévy, du mensuel Ruptures....

Cet article de RT France met le doigt sur un des travers les plus détestables de la marionnette   de l’Élysée . Ce type qui est autant à l'écoute du peuple français qu'un autiste sourd, aveugle et muet pourrait l'être, se permet de donner des leçons à la terre entière. Certes c'est un travers bien connu de la République et de ses affidés mais qu'il a réussi à pousser au paroxysme.
Ainsi l'homme qui a massacré les gilets jaunes et s'est foutu d'eux, qui a profité d'une grippe pour établir un régime d'état d'urgence, qui a fait passer en quelques jours pléthore de lois et décrets et autres arrêtés qui limitent les libertés individuelles et collectives, qui a autorisé de facto l'euthanasie, qui a réussi une inversion accusatoire au niveau national, rendant de manière plus ou moins directe, les Français responsables d'une situation qui n'est due qu'à son incurie personnelle et à celle de ses gouvernements et à  ses deux prédécesseurs, ce type méprisable, perverti, ce menteur, se permet de donner des leçons à la Hongrie sur sa gestion de la crise migratoire en temps d'épipidémie.(il n'y a pas faute) .

Français, camarades, compagnons de désespoir, je vous le dis, si nous ne dégageons pas cette merde d'ici la fin de l'année, nous sommes tous foutus.

12 commentaires:

  1. Il est vraiment dingue, totalement inconscient.
    On le savait depuis son dénigrement de la France lors d'un déplacement en Algérie, avant son élection.

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    1. "inconscient..." ? je n'en suis pas sûr.

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    2. on fait trop porter à leur supposée inconscience ou bêtise des décisions très raisonnées mais qui ne rentrent pas a priori dans une grille de lecture normale.

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    3. @bedeau on ne peut pas poster chez vous ?

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  2. EQUALIZER31/5/20 16:12

    Et ce Petitenc se refait la cerise auprès des indécrottables droitards régimistes ! les vieilles putes LR qui ont fait campagne pour Fillon expliquant que Macron élu ce serait une catastrophe , font maintenant le tapin pour avoir le soutien d' LREM ... et l' obtiennent ! et le pire c' est qu' ils vont repasser ! j' ai qu' à voir le "Annie Dingo" niçois qui met un Bvd important à pédalo roulettes et même le Quai Lunel et des Etats-Unis idem ! les gens gueulent .. et après ? Dans ce pays ça fait des décennies que j' entends des gens gueuler contre ci- contre ça et patati patata et ? rien ! beaucoup ne votent même pas .. que ça sert à rien etc .. on en revient au slogan des gaucho "élections pièges à cons" ! ben voyons ! c' est comme ça qu' on a eu le pire de la droite-de-gauche face à la gauche-cosmopolite qui menait la danse .. L' opposition dite nationale n' aura jamais pu mener à bien et maintenir un Parti puissant . On est mal Tintin , on est mal !

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    1. franchement il n'y a que la rue qui paiera et la rue ce seront les gauchos et les bonzamis . On est très mal tintin

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  3. Comme l'a écrit Rivarol : "Règle générale : toutes les fois qu’on est mieux chez soi que dans la rue, on doit être battu par ceux qui sont mieux dans la rue que chez eux."

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  4. Tout serait différent si nous avions les mêmes droits essentiels que les ricains, droits que même la mafia étatique n'ose pas trop attaquer (un droit que le tyran peut suspendre à sa fantaisie, c'est une permission, et la permission, c'est ce qu'on accorde aux domestiques ou aux chiens) : parler, d'une part ; disposer des moyens de se défendre, d'autre part.
    Ce qui me rappelle cet excellent retournement de poncif, au début du film Lord of War : "Un homme sur dix est armé, sur cette planète". On s'attend au choeur des pleureuses humanitaristes déplorant cette horrible situation, mais non : "Le problème, c'est de trouver comment armer les neuf autres." ;-)

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    1. je ne connais pas le film j'imagine qu'il faut replacer la phrase dans son contexte

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  5. @Paul-Emic : J'avoue en faire une utilisation légèrement malhonnête. ;-)
    Le film est excellent dès le générique, à condition de faire abstraction de la bienpensance qui a inspiré le scénariste. C'est comme pour *La journée de la jupe* : les leçons à tirer d'une oeuvre ne sont pas nécessairement celles voulues par les scénariste et réalisateur. ;-)

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    1. Une fois que l’œuvre existe sont utilisation et son interprétation sont libres n'en déplaise à l'auteur cf La Blanche Hermine par exemple

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