Ceux qu'on ne sait pas trop nommer (satanistes, mondialistes ? ) mais qui œuvrent pour la destruction de la société occidentale pour faciliter on ne trop quel obscur dessein, mercantile, eschatologique, sont en passe de parvenir à leur but, au moins en France, avec la tenue du Grenelle de la violence conjugale.
Pour mémoire, "Grenelle" fait référence à ces accords signés sous l'égide du néfaste Chirac, en 68, qui nous ont menés à la société déconstruite que nous connaissons aujourd'hui. Après avoir eu la peau du social, il restait le sociétal.
L'outil utilisé pour cette déconstruction finale, c'est la guerre entre les sexes.
Le mâle blanc tel que le disent si élégamment ces pouffiasses qui marchent en tête du cortège, secondées et stimulées par un troupeau d'invertis est la cible unique de leur vindicte.
Pourquoi le mâle blanc ? parce que c'est le dernier élément de stabilité dans cette société qui se délite.
Traditionnellement dans les sociétés, la Femme a été le pilier de conservation des traditions . La gauche l'avait bien compris en France qui a tant tardé à lui accorder le droit de vote par crainte d'une vaque traditionaliste et conservatrice qui l'aurait balayée.
Depuis que dans les années 60 et suivantes, la gauche américaine a entrepris de libérer la femme, c'est à dire de la détacher de son rôle de conservatrice des traditions - tâche qui n'a pas été très difficile, il a juste fallu développer son côté frivole et mercantile - ce rôle est imparti au Mâle. Pour contrer cela, les juristes et les politiques agissant de conserve ont réduit à néant les pouvoirs du père en tant que chef de famille fragilisant sa position.
Malgré le peu d'appuis légaux l'édifice tenant encore ne serait-ce que par la force de l'habitude il faut lui porter l'estocade.
Le moyen principal est la violence de certains bourrins envers leur épouse, compagne, ou brève rencontre. On nous jette à la figure le chiffre de 100 femmes tombées sous les coups de ces tarés cette année, 200 en prévision, tueurs tous assimilés à des Blancs, vous remarquerez que la presse ne s'étend pas trop sur le groupe ethnique ou religieux dans ces cas là et que seuls quelques indices comme les blessures à l'arme blanche permettent de faire un tri sommaire entre blancs et moins blancs.
Même en comptant les blessées, le nombre de tarés ne doit pas dépasser les 10 000 ce qui malgré tout reste faible en regard de la population mâle en âge de descendre sa compagne. Mais loin de moi l'idée de leur chercher des excuses, pour moi une femme reste sacrée même si c'est une sacrée conne.
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| Sacrées ? Peut-être pas toutes quand même ! |
Qui de mieux que ces deux tâches pour illustrer la phrase d'Orwell mise en exergue sur ce blog :
"La guerre est engagée par chaque groupe dirigeant contre ses propres sujets ."
A titre de comparaison je voudrais juste citer deux chiffres dont l'un est assez peu connu.
D'abord le nombre des avortements, dont la quasi totalité est due à la demande de la mère pour convenances personnelles.
En 2017 on en recensait presque 217 000 soit 26% des naissances (entrainant un flux équivalent ou supérieur d'immigrés) .
Selon une étude de l'Inserm, les 770 000 survivants ne sont pas tirés d'affaire ni des griffes de leur mère, puisqu'il mourrait* jusqu'à 255 enfants de moins d'un an par an (hypothèse basse) et 500 à 600 s'en tirent mieux et ne sont qu'abandonnés.
Nous avons tous entendu parler de ces affaires de congélateur, mais il existe aussi des morts par manque de soins ou par violence, dont la femme toujours complice reste l'auteur principal voire unique dans la quasi totalité des cas..
Alors quelle conclusion en tirer ?
L'homme, pris dans le sens de l'espèce Homo, est un animal sanguinaire de moins en moins canalisé par la religion ou la loi.
Il se trouvera toujours un magistrat, souvent une magistrate, pour accorder des circonstances atténuantes à une mère infanticide.
Ces chiffres, même connus sont tus et jamais mis en avant dans le contexte de la guerre des sexes et ça se comprend puisque ceux qui ont déclaré la guerre sont également ceux qui détiennent le pouvoir et la puissance, donc la communication.
Pourtant, et puisque nous sommes dans un contexte de guerre des sexes, il vaudrait mieux chercher la paix que de nous forcer à contrebalancer les 200 morts que l'on impute au genre masculin par les 250 infanticides et les 220 000 avortements dûs au genre féminin.
Si il y a un sexe tueur, en dehors des périodes de guerre, c'est bien le sexe féminin, mais nous sommes prêts à le lui pardonner car ce sont elles qui donnent aussi la vie et qui deviennent dans la plupart des cas des mères et des compagnes merveilleuses ... pour l'instant.
* ce verbe est au conditionnel, les puristes l'auront noté.
