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lundi 29 juillet 2019

Le téléphone disparu répparu et qui dit des choses

Les enquêteurs ont prouvé qu’Alexandre Benalla avait menti, lors de sa première garde à vue, à propos de son portable qu’il prétendait avoir égaré mais qui ne l’était pas en réalité, écrit Le Monde. Le quotidien publie plusieurs messages envoyés par l’ex-chargé de mission à l’Élysée, après les violences commises par lui le 1er mai 2018.

La suite sur Spoutnik media financé pour tout ou partie par le gouvernement russe donc diabolique

Chronique d'un nain de la République

S'il est une icône incontournable de la Véme, quelqu'un qui a toujours été du côté du manche, indéboulonnable, avec sa gueule d'enfant sage, malgré son passé d'antifa de salon c'est bien Alain Duhamel.
L'OJIM l'habille pour l'hiver . Cet article a valu à l'OJIM d'être interdit sur fuck-bouque .

A la suite de notre article sur les réactions des médias sur l’invitation de Marion Maréchal, envoyée puis retirée par le Medef, nous avons reçu une lettre de lecteur. Assez différente par la forme du ton habituel de l’Observatoire, nous la publions telle quelle en tribune libre.

« Quelle mouche a donc piqué Alain Duhamel ? Outré que le MEDEF ait pu inviter Marion Maréchal, et sans doute vexé de n’avoir lui-même jamais bénéficié de cet honneur, il s’est attaqué à elle au micro de RTL, dans l’émission On Refait le Monde du 28 juin 2019, en visant tout particulièrement l’institut des sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP), cette école qu’elle a jeté sur les fonts baptismaux à Lyon, en 2018.
Voyons donc comment Alain Duhamel refait le monde… Évoquant celle qui fut la plus jeune députée de l’histoire de la République française, sans que ce record ait été depuis battu, il s’interroge sur ce qu’elle peut avoir à dire en économie, à des chefs d’entreprise, et se demandant « quelle est sa compétence, quelle est sa culture, quel est son acquis, quelle est son expérience ? », il trouve très vite la réponse : « dans tous ces domaines, c’est zéro ! » Patrick Poivre d’Arvor, présent sur le plateau, se risquant à lui faire remarquer qu’elle venait de créer une école, Duhamel écarte très vite l’objection : « une école lamentable, avec une vingtaine d’étudiants (…) de niveau académique à pleurer de rire, avec des conférenciers qui disent tous la même chose, c’est-à-dire rien », et de conclure « franchement, c’est pas Harvard, son école » !

Même si sa charge ne s’embarrasse pas de nuances, notons que, pour la chute, Duhamel s’est un peu retenu… Sans doute n’a-t-il pas osé dire ce qu’il pensait très fort, en songeant à la seule école d’enseignement supérieur par laquelle il est péniblement passé, nous verrons dans quelles conditions, et dont il tente de tirer toute sa légitimité académique : « c’est pas Sciences-Po, son école », voulait-il dire ! Et pourtant… Si Alain Duhamel s’était un minimum renseigné, ce que nous avons pour notre part fait, il se serait rendu compte qu’avec près de 80 étudiants inscrits (une quinzaine en magistère 1 et plus de soixante en formation continue) dès sa première année d’existence, et non pas « une vingtaine », l’ISSEP détient précisément le même nombre d’étudiants que ceux qui étaient présents à Paris, rue Saint-Guillaume, la première année de la création de l’École libre des sciences politiques (Sciences-Po), en 1872, par Émile Boutmy.

Pour ce qui est du niveau académique des étudiants de l’ISSEP, il est, lors de leur admission à l’école, de niveau Bac + 3, c’est-à-dire, comme nous le verrons, le diplôme académiquement reconnu le plus élevé que détient aujourd’hui Alain Duhamel… Pour ce qui le concerne, et compte-tenu de la place qu’il s’efforce d’occuper dans l’espace médiatique, il faut bien admettre que c’est « à pleurer de rire » ! Les conférenciers de l’ISSEP ? Une rapide recherche permet déjà d’identifier, parmi les intervenants de cette école, l’historien Édouard Husson et l’expert en relations internationales Pascal Gauchon, fondateur de la revue Conflits, qui a notamment eu comme élève Maxime Lefebvre, auteur de l’ouvrage de référence Le jeu du droit et de la puissance, que s’arrachent tous les étudiants qui doivent se confronter aux concours les plus exigeants en matière de relations internationales. Compte-tenu des spécificités de leurs domaines respectifs d’expertise, Pascal Gauchon et Édouard Husson ne sont pas totalement identifiés comme disant « la même chose », et encore moins « rien ». Mais pour comprendre cela, sans doute ne faut-il pas avoir, des relations internationales et de l’histoire, une vision à la Duhamel qui le conduisait tantôt à pousser à une intervention française contre la Syrie ou à se montrer complaisant avec Bernard Henri-Lévy, le va-t-en-guerre de la Libye.
Et Alain Duhamel, « quelle est sa compétence, quelle est sa culture, quel est son acquis, quelle est son expérience » ? Appliquons cette intéressante question à deux domaines, les sciences politiques et la morale, mis en exergue par l’Académie des sciences morales et politiques, cette institution qui a recruté Duhamel comme membre depuis 2012, ce qu’il ne manque jamais de mentionner avec fierté dès que possible. Demandons-nous un instant ce qu’il peut bien avoir à dire au sein de ce cénacle. Toute l’expérience de Duhamel s’est limitée, dans les colonnes du Monde, de Libération, puis sur les plateaux de radio et de télévision auquel les postes de direction occupés dans les médias par son frère Patrice lui donnaient accès, à abonder dans le sens des idées du moment, enfoncer des portes ouvertes et relayer les injonctions du pouvoir. Il n’y a donc pas grand-chose à apprendre de ce côté-là, même si cela révèle déjà quelque chose en matière de morale.

Intéressons-nous alors à « sa compétence », « sa culture », « son acquis » en nous penchant sur les études effectuées par Duhamel. Son bagage académique se résume à… Sciences-Po, et c’est tout. Tout de même, pourrait-on penser, la sélection, le concours d’entrée, le prérequis de la mention au Bac comme base du recrutement, ce n’est pas n’importe quelle école ! Sauf que… Lorsqu’Alain Duhamel, qui appartient à la promotion sortie en 1962 de la filière « service public », entre à Sciences-Po, cette école ne pratique encore aucune sélection : tous ceux qui frappent à la porte, avec un Bac en poche, peuvent y entrer. Il suffit d’avoir un peu de temps devant soi et des parents suffisamment riches pour financer les études de leur progéniture, à une époque où les études supérieures sont encore loin d’être généralisées ou identifiées comme un préalable nécessaire avant l’entrée dans la vie active. Il faut donc une motivation, pour faire des études supérieures… Chez Duhamel, on la comprend vite : né en 1940, il appartient, en 1961, à une classe d’âge mobilisable pour la guerre d’Algérie. L’objection de conscience n’étant pas encore un motif permettant d’échapper à ses devoirs de citoyen, une solution s’impose d’elle-même : devenir étudiant ! Le moins que l’on puisse dire est qu’Alain eût de la suite dans les idées, puisqu’il s’est même consacré à animer, en y occupant les fonctions de vice-président, l’Union antifasciste de Sciences-Po qui militait, au sein de l’établissement de la rue Saint Guillaume, contre la guerre d’Algérie. De là à imaginer que lui et ses camarades « antifa » cherchaient surtout à maquiller leur manque de courage derrière un mobile politique, il n’y a qu’un pas que chacun, ici, sera libre de franchir. « Antifa », à une époque où le souvenir de l’occupation est encore présent chez les ainés, ça a tout de même plus d’allure que « pétochard » ! Peut-être conscient de cette lacune de son CV, Alain Duhamel ira même jusqu’à s’inventer, un demi-siècle plus tard, dans une interview donnée en 2018 dans Émilie Magazine, une revue des alumni de Sciences-Po, un passé de combattant politique, en déclarant que, dans ses activités de militant antifasciste, « les affrontements avaient été beaucoup plus rudes » qu’en mai 68. Difficile de ne pas éclater de rire… Lui et ses camarades antifas auront au moins eu un mérite : avec 2566 élèves au cours de l’année scolaire 1961-62, le renfort des planqués de la guerre conduit l’école à atteindre la limite de ses capacités, en termes d’effectif, ce qui amène le corps professoral, après de vifs débats, à mettre en place, dès 1964, un mode de sélection sur la base d’épreuves d’entrée et de mention réclamée au Bac. Cette sélection donnera pour longtemps au diplôme de Sciences-Po, avant que Richard Descoings ne commence à saper ce principe, une reconnaissance et une qualité unanimement admises, mais postérieures à la sortie de Duhamel de cette école. Sans surprise, l’indigence politique et les résultats scolaires de l’antifa Duhamel le placent à la hauteur de ses alter ego contemporains. Nationalisée en 1945, Sciences-Po est à cette date essentiellement devenue une préparation à l’ENA, créée à la même date et avec laquelle elle se trouve colocalisée. En 1962, la voie naturelle des meilleurs élèves, surtout ceux de la filière « service public » à laquelle appartient Duhamel, est donc de rejoindre l’école de la haute administration d’État. 10 % d’entre eux parviennent à franchir le concours d’entrée, les suivants, près de 40 % des élèves, rejoignent également l’administration, mais par d’autres concours. Loin de tout ça, et peut-être aussi désireux d’affronter un concours que d’être confronté à la guerre aux côtés des appelés de sa classe d’âge, Duhamel préfère de son côté rejoindre le journal Le Monde, dès 1963, avec en poche un diplôme qui n’a guère plus de valeur qu’une attestation de suivi de cours, sans avoir franchi aucune sélection, encore moins avoir été lauréat d’un concours.

Voilà pour « sa compétence » et « sa culture ». Pour « son acquis », la filière « service public » a sans doute conforté le jeune Duhamel dans l’idée que, dans le domaine public, il est plus utile de se servir que de servir. Ce mode singulier de mise en œuvre des sciences morales restera le fil conducteur de toute sa vie. Et, après tout, puisque ce qui fonctionne pour les études ou la carrière professionnelle peut bien s’appliquer pour les honneurs, autant ne pas se priver, ni faire les choses à moitié. Son statut de planqué du service national pendant la guerre d’Algérie ne facilitant pas le port de décorations, et la déontologie journalistique réclamant dans la profession, normalement, une certaine distance vis-à-vis des honneurs octroyés par le pouvoir, Duhamel identifie un artifice lui permettant de contourner ces obstacles administratifs et moraux afin d’entrer dans l’ordre de la Légion d’Honneur, la plus haute distinction française, réservée aux citoyens ayant fait preuve de mérites éminents au service de la nation. Il fallait juste trouver les fameux « services éminents ». Or, l’ancien cancre de la rue Saint-Guillaume ayant réussi, dans des circonstances sur lesquelles il se montre d’ailleurs fort peu disert, à obtenir un diplôme de 3ème cycle après de la Fondation nationale des Sciences Politiques qui, bien que dénué de toute reconnaissance académique, lui permet de donner quelques cours dans son ancienne école, le malin Alain profite de ce prétexte pour se faire inscrire par son entregent sur le contingent de la Légion d’Honneur du ministère de l’Éducation Nationale. Et pas qu’une fois ! Duhamel grimpe en effet à une vitesse vertigineuse tous les échelons de cet ordre qui se présentent à lui : Chevalier, Officier, Commandeur, puis Grand Officier en 2016… À cette vitesse, il faut se demander si l’ordre du ruban rouge ne va pas devoir inventer de nouveaux grades pour permettre à Duhamel de poursuivre cette fulgurante progression. Interrogé en 2010 par un journaliste de La Croix qui s’étonne de cette facilité, pour un journaliste, à accepter ce type d’honneur, il trouve vite la réponse : ce n’est pas en tant que journaliste, mais pour ses activités dans l’enseignement, donc ça ne compte pas ! Et de laisser comprendre que, 13 de ses ancêtres ayant été décorés dans cet ordre, il fallait bien qu’il ait aussi droit à son ruban rouge… Là encore, une application bien singulière des sciences morales, surtout quand Duhamel ajoute un dernier motif : le journaliste Jean Lacouture, son idole et son modèle sur lequel on reviendra, a aussi eu droit à la sienne. À titre de comparaison, quand, en 2013, Alain Duhamel est élevé au rang de Commandeur, un jeune officier de l’armée de Terre, le capitaine Patrice Rebout, reçoit à titre posthume le ruban de chevalier de la Légion d’Honneur. Il venait de tomber à Buulo Mareer, dans la nuit somalienne, à la tête de ses hommes, dans un assaut désespéré visant à délivrer un de ses frère d’armes, otage des milices islamistes depuis trois ans et demi.

Patrice Rebout, lui, mesurait pleinement, par son engagement, le sens et le prix du mot « servir ». Mais le grade de commandeur, auquel Duhamel ne s’est pas arrêté, était après tout celui de son modèle Jean Lacouture, journaliste ayant chanté l’entrée du Viet-Cong à Saïgon, puis celle des Khmers rouges à Pnomh Penh. Comme il fallait bien poursuivre sa carrière, Lacouture s’était finalement fendu de quelques excuses, à ce sujet, quand le génocide des Khmers fut révélé, ou quand on finit par se rendre compte que le système concentrationnaire vietnamien, baptisé « la clémence d’Ho Chi Minh » avait sans doute été le plus sanglant de tout l’espace communiste mondial. Mais ça ne l’a pas empêché de récidiver dans les années 90, en apportant son soutien au communiste Georges Boudarel, tortionnaire et assassin de ses propres compatriotes quand il officiait comme commissaire politique dans les camps de la mort vietminh. Commandeur, c’est aussi le grade qui a été finalement accordé au lieutenant-colonel Huynh Ba Xuan, décédé en décembre 2018 : ancien aide de camp du maréchal de Lattre de Tassigny, il avait été capturé au combat en 1953 puis avait passé 23 années de sa vie dans les goulags vietminh, la plus longue détention connue dans cet univers concentrationnaire, pendant que Lacouture chantait des éloges à Ho Chi Minh. Décidément, à la Légion d’Honneur, les zéros de l’histoire trouvent en plus la chance d’y côtoyer ses héros. Peut-être, finalement, que le seul service rendu à la nation par Duhamel aura été, par ses pitreries sur les ondes de RTL, de nous donner l’occasion de rendre hommage au capitaine Patrice Rebout et au Lieutenant-Colonel Huynh Ba Xuan, en citant ici leurs noms.

En attendant, on peut laisser Duhamel continuer à suivre l’exemple de son modèle Jean Lacouture, suffisamment de temps lui a été ici consacré pour se faire une idée précise des apports en sciences morales et en sciences politique que l’académie compétente peut attendre de son membre admis en 2012. Comme il le dit lui-même, « dans tous ces domaines, c’est zéro ! »

dimanche 28 juillet 2019

les services de renseignements espagnols ont facilité l’attentat terroriste de Barcelone en 2017

Les false-flags ce n'est pas qu'aux USA au Royaume-Uni ou en France, ça existe aussi en Espagne et c'est ce que nous montre le blog Arbaud de Brienne

Dans un reportage explosif, le site d’information Publico allègue que le Centre national de renseignement (CNI) espagnol a suivi de près la cellule terroriste du groupe État islamique (EI) qui a perpétré les attentats du 17 août 2017 à Barcelone, jusqu’au jour même de l’attaque. Loin d’arrêter la cellule avant qu’elle n’effectue les attentats, qui ont fait 21 morts et 130 blessés, le CNI les a laissé procéder. Les responsables du siège du CNI ont ensuite tenté de supprimer le dossier du chef de cellule Abdelbaki Es-Satty au début de l’enquête sur l’attaque.
La suite chez Arnaud de Brienne

vendredi 26 juillet 2019

jeudi 25 juillet 2019

Le procureur de la République a menti pour protéger son président

Source Libération sdource garantie estampillée VERITE
Jean-Michel Prêtre a reconnu avoir minimisé la blessure de la septuagénaire lors d'une manifestation de gilets jaunes le 23 mars pour éviter d'embarrasser le Président. Le ministère de la Justice ne souhaite pas engager de procédure disciplinaire.
Le procureur de la République de Nice a menti et l’explique d’une curieuse façon. C’est pour éviter d’embarrasser le président de la République que Jean-Michel Prêtre dit avoir dédouané les forces de l’ordre mises en cause pour la grave blessure à la tête de Geneviève Legay lors d’une charge de la police à Nice, le 23 mars. Cette justification a été livrée par le magistrat à sa hiérarchie, selon les informations du Monde, dont Libération a obtenu confirmation.
La suite

mercredi 24 juillet 2019

14 JUILLET - MACRON FAIT SA FÊTE... À LA NATION









Je craque encore pour la rousse

Les écuries d'Augias étaient bien propres par comparaison.

Un article qui je l'avoue m'a surpris mais qui répond a beaucoup de questions que je me posais sur l'attitude du FN, de son président et par la suite de sa fille pendant près de 40  ans de vie politique. Cette habitude de saboter sinon la victoire, du moins une avancée positive et déterminante.

Je n'ai pas les moyens de recouper l'information, je livre donc ceci à la critique de mes lecteurs mais j'avoue avoir terminé ma lecture avec la nausée.

Les amitiés sodomites,, sataniques et proxénètes de JMLP  du blog ODDR

mardi 23 juillet 2019

Avec la "circulation différenciée" ils ont inventé le trafic automobile ...


Cons, incultes et pas reconnaissants, merci de Gaulle

Le soir de la finale de la CAN, (coupe d'Afrique des nations de football), la statue de De Gaulle a été vandalisée dans la ville d'Evreux par des supporters de l'Algérie.
Cette crème d'imbéciles devrait aller tous les jours prier devant cette statue pour au moins deux raisons :
La première De Gaulle leur a donné, au sens propre, l'indépendance qu'ils n'ont pas du tout gagnée ni remportée.
La seconde, De Gaulle, toujours le même, leur a donné (cf ci-dessus) un statut particulier et un droit à l'immigration auquel, en raison de la guerre ils n'avaient nullement droit.

Il est plus que temps que l'Algérie et ses ressortissants retournent au régime commun en matière d'immigration et de résidence en France.
Il serait plus que souhaitable (on peut toujours rêver) que toutes les naturalisations systématiques en raison d'une naissance sur le territoire français de parents étrangers soient annulées quitte à en faire des apatrides, ce que la quasi totalité n'est d'ailleurs pas, jonglant avec deux passeports au gré des circonstances .

lundi 22 juillet 2019

Quelques réflexions sur l'affaire de Rugy

L'affaire de Rugy, dite Homard m'a tué, initiée par le sulfureux Médiapart est connue de tous.  En peu de mot, l'ex-président de l'AN est accusé d'avoir donné de fins soupers aux frais du contribuable alors qu'il était en fonction.

Il apparait de plus en plus que l'accusation d'abus soit en passe de s'éteindre, pour la bonne raison que tous les cas ont été prévus par la classe dirigeante pour se protéger.

Ainsi un ponte de LREM aujourd'hui président (lui aussi) de l'AN n'a pas été trouvé coupable de la moindre faute pour avoir fait racheter par sa banque un bien qui appartenait à son épouse. De même  l'incendie d'une cabane à lapin lui appartenant dévastée par un incendie suspect a pu être refaite à neuf et même un peu plus parait-il aux frais du contribuable. Un ministre des finances a pu brader à l'Américain des fleurons de l'industrie française et un président de la république peut jouer les tartarins en hurlant "qu'ils viennent me chercher" devant le personnel de l’Élysée réunis dans l'arrière cour du palais.
De Rugy a coûté cher à la république mais en toute légalité et, dans un état de droit, ce qui compte, ce n’est pas la morale mais la loi, laquelle n'est fondée que sur le bon vouloir d'une majorité ,de plus faussée par le scrutin majoritaire à deux tours - un infamie soit dit en passant.

On ne s'étonnera pas dans ces conditions que nous poursuivions notre course vers l'abîme un homard dans la bouche et un verre de Pétrus dans la main, le mauvais goût en rajoutant encore une couche.

jeudi 18 juillet 2019

Syrie : les USA ont repris la formation des islamistes qui font du bon boulot

Selon l’agence de presse Anadolu, des sources d’information ont révélé qu’après une interruption d’un an, les États-Unis avaient repris la formation des terroristes sur la base aérienne d'al-Tanf au sud-est de la Syrie.
« Les États-Unis ont repris la formation militaire des éléments du groupe terroriste « Jaych al-Maghawir », lié au Front de libération nationale (FLN) dans la base militaire d’al-Tanf, dans le sud de la province de Homs et dans les bases implantées en Jordanie », ont dit des sources informées à l’agence de presse Anadolu. Elles ont par ailleurs révélé qu’un nombre d’officiers de l’armée et de responsables des services secrets américains, accompagnés des conseillers de la soi-disant coalition internationale contre Daech avaient été chargés de former les terroristes.
« Les États-Unis ont autorisé les membres d’autres groupes à rejoindre «Jaych al-Maghawir» dans le but d’augmenter le nombre des terroristes », ont par ailleurs révélé les sources d’Anadolu. Sur la base aérienne d’al-Tanf, les terroristes sont formés aux offensives compliquées, aux opérations héliportées et à la guerre dans le désert et sur les hauteurs. Les États-Unis forment les terroristes sous le prétexte de faire face aux résidus du groupe terroriste Daech sur la frontière syro-irakienne. La base militaire d’al-Tanf, située sur les frontières communes Syrie-Irak-Jordanie est considérée comme une cellule d’opération commune des forces américaines et des terroristes de la région.

Dans un moment où l’armée américaine a repris la formation des terroristes, le nouveau candidat au département de la Défense des États-Unis, Mark Esper, a annoncé que les militaires américains, faisant partie de la prétendue coalition anti-Daech, resteraient en Syrie pour donner suite à ce qu’il a nommé « la poursuite de l’opération contre Daech » dans le nord-est syrien.
Pour rappel, les forces liées à la coalition dirigée par les États-Unis en Syrie, ont récemment organisé des manœuvres conjointes avec les terroristes de Jaych al-Maghawir dans la localité d’al-Tanf. Les États-Unis s'apprêtent à trafiquer via un Israélien le pétrole de cette province et les terroristes de Daech sont chargé de lui servir dans cette bataille énergétique à venir. Sur son compte Twitter, Un Israélien le dénommé, Moti Kahana avait confirmé la conclusion d’un accord avec le « Conseil démocratique syrien » (bras politique des FDS) pour la vente du pétrole extrait dans le nord-est de la Syrie. L’Israélien pourrait vendre jusqu’à 400.000 barils par jour. 

Source PressTV


Certes ce texte ne fait pas dans la finesse, PressTV étant pro-syrien et pro-iranen mais quand même, on s'aperçoit que les USA ont de la suite dans les idées 

Loi Avia : la délation, le lynchage et l'arbitraire instutionnalisés

A lire sans faute, l'article sur la loi Avia paru sur le site de l'OJIM, loi qui vie à institutionnaliser la censure sur la base de la dénonciation, du lynchage et de l'arbitraire.
Himmler l'a rêvé, Macron l'a fait !

Plus que la Corée du Nord ou autres lieux où il fait bon vivre, « la France est une des plus grandes menaces mondiales contre la liberté d’expression », telle est l’opinion de Jonathan Turley, professeur de droit à l’Université Georges Washington, exprimée dans The Hill, « la colline », quotidien réunissant des journalistes démocrates et républicains distribué gratuitement dans et autour du Capitole. À quoi fait-il référence ? À la loi Avia, présentée et votée en France en tant que « loi de lutte contre la haine sur internet »...
la suite sur le site de l'OJIM

Qu'est-ce que la haine ? qui décide ce qu'est la haine etc, autant d'abîmes de droit dont personne se soucie et surtout pas les 434 des putes hé !  qui ont voté cette loi. En fait il n'y a que 33 Justes dans cette assemblée, les autres, lâches,  qui ont prétexté avoir leur enfants à chercher à la sortie de l'école pour ne pas voter étant encore pires que les 434 fumiers, parce que, ayant compris où était l'os, ont joué au petit malin.


Avia une avocate togolo-française, bâtie sur le même moule que Sibeth  et fan inconditionnelle de Macron, nous fera bientôt sentir toute la haine que l'immigration porte aux autochtones, elle nous fera sentir le poids de l'invasion.
VAE VICTIS !

Petit rappel

Vendredi 23 juin à 23 h 30 à Saint-Mandé (Val-de-Marne), Laetitia Avia, députée de la 8e circonscription de Paris, a mordu l'épaule d'un chauffeur de taxi, rapporte Le Canard enchaîné. La raison ? Le terminal de paiement par carte bancaire était hors service. N'ayant sur elle que sa CB, la députée fraîchement élue ne peut pas payer la course d'un montant de 12 euros. Le chauffeur lui propose alors de la déposer à un distributeur afin de retirer ladite somme. Refus catégorique de la députée qui ne veut pas payer. « Pourquoi payer un taxi qui ne prend pas la carte bancaire ? » s'insurge-t-elle en substance. Le chauffeur démarre et, soudain, il sent les dents de Laetitia Avia s'imprimer dans son épaule.
Après un échange vif et tendu entre les deux protagonistes, la police arrive sur place. Selon le rapport des agents, Laetitia Avia aurait pris un « ton condescendant » et ne se serait pas privée d'annoncer « [sa] qualité de parlementaire », sans pour autant revendiquer une quelconque immunité. D'après l'hebdomadaire, elle aurait reconnu devant les policiers avoir mordu le chauffeur et, après 45 minutes de négociations, la députée a fini par accepter de payer la course. Puis Laetitia Avia et le conducteur du taxi ont été conduits au commissariat de Vincennes, où elle a porté plainte pour séquestration et tentative de vol, et lui pour coups et blessures. (Le Point)


mercredi 17 juillet 2019

Le cercle des pouët-pouët disparus

Plus ça va, plus Macron peine à renouveler ses ministres, tant il n'a qu'un cercle restreint ... de fidèles.
Ainsi voici nos prévisions pour  le remaniement ministériel de 2021, celui qui préparera l'élection de 2022 ou sa Plénitude envisage d'ores et déjà de se représenter.

Un.e seul.e ministr.e et secrétair.e d’État.e voilà qui me semble une organisation propre à déchaîner les foul.e.s





mardi 16 juillet 2019

Il va vraiment falloir nous défendre

Deux informations révulsantes ce 16 juillet.

Une association surgie de nulle part demande au Parlement français la criminalisation de l'action française en Algérie.
Deux sentiments , d'abord ça me fait bien rigoler que les chantres des DDH se retrouvent ainsi piégés par leur propre connerie et celle de leur dernier président en date qui a été souffler cette idée géniale au cul des Algériens (et il s'y connait à ce qu'on dit) lors de sa campagne.
Ensuite ne jamais oublier que la colonisation est le fait du Second Empire et de la gauche de la IIIème et le fait que ça dégénère sans que l'on puisse trouver un accord, le fait de la gauche de la IVème et des Gaullistes pur beurre.
La droite nationaliste n'a agit qu'à partir de 60 quand il a été clair que De Gaulle avait menti à tout le monde. Il est hors de question que nous endossions les conneries de la Gauche.

Génération identitaire qui avait mené une action en 2017 dans les Alpes afin de démontrer que le franchissement sauvage des frontières n'était dû qu'à la volonté de l’État de ne pas agir - une forfaiture - vient d'être condamnée à une peine lourde, plus exactement ses dirigeants à 6 mois de prison ferme et l'organisation à 75000 euros d'amende.

Ça ne peut clairement plus durer et j'en appelle aux hommes jeunes et moins jeunes. Si rien n'est fait nous ne finirons pas, nous Français, la prochaine décennie .

J'en appelle aussi aux Catholiques pour qui la prière est le remède universel. Sans nier la force de la prière, aucun des Évangiles n’a jamais recommandé de rester les mains sur les cou...es pour contrer la persécution. Si Jésus demande à Pierre de ne pas le défendre contre les gardes de Caïphe ce n'était que pour que son destin s'accomplisse, par contre quand il est allé au Temple il a remis de l’ordre manu militari.
Donc mes frères, je sais que le portefeuille est près du cœur, mais n’hésitez pas un instant à l'en éloigner et à défaut d'agir, attitude passive qui vous sera reprochée, au moins n'entravez pas l'action des autres par des votes débiles quasi blasphématoires ! Voter Macrouille fallait quand même oser !

lundi 15 juillet 2019

14 juillet : bien sûr que Macron méritait d’être sifflé !


Valérie Bugault étrille le gros Raymond

Un excellent article de Valérie Bugault à  propos de  Raymond Barre sur MPI

Je sais , j'avais dit que je ne relaierai plus MPI, mais en l'occurrence il s'agit d'un article d'opinion, pas d'information, donc j'ai craqué .

jeudi 11 juillet 2019

Faut-il couper l'hydratation à Merkel ?

Après sa troisième crise de tremblements dus à la chaleur excessive, à la tiédeur excessive, au frais excessif, la question se pose sérieusement : faut-il l'inviter à Reims et supprimer ses traitements sous la bienveillante surveillance du docteur Sanchez ?
Perso, je vote OUI !

Vincent Lambert est décédé, l'Hôpital va pouvoir désormais tuer tranquille

François de Rugy peut reprendre une grosse part de homard et Manu danser un tango collé serré avec Omar, Vincent Lambert est décédé ce matin.
Paix à son âme, condoléances à ses proches et honte sur la France et les Français



mardi 9 juillet 2019

Du rififi à Dysneyland







les darblés en vacances

La France championne de l'anti-démocratie.

La France est devenue cet étrange pays où le régime entend être le chantre de la démocratie en bridant complètement la liberté d'expression. Or la liberté d'expression n'est pas un gadget de la démocratie, c'en est le pilier fondamental. Il faut être Français pour ne pas le ressentir au plus profond de son être.

Nul ne peut prétendre voter , nul ne peut prétendre élire un quelconque représentant, nul ne peut prétendre exercer la représentation du peuple si l'électeur n'est pas éclairé, s'il n'a pas accès aux tenants et aux aboutissants de son choix politique.
Ainsi cela fait grosso modo un siècle et demi que nous vivons un ersatz de démocratie, un régime qui le plus souvent n'en porte que le nom.

Attention, car c'est une erreur souvent commise, cela n'a rien à voir avec la brutalité du régime en question. Un régime démocratique pourrait parfaitement être brutal, ne serait-ce que parce qu'il impose le règne de la majorité sur diverses minorités ce qui au passage vaut toujours mieux que l'inverse, tel que cela se pratique ici depuis 1981 au moins.

Un universitaire américain vient de produire un article dans un journal local de Washington DC, un article où il entend montrer comment la France de Macron et l'Allemagne de Merkel tentent d'imposer au monde occidental une censure et une unicité de pensée qui pourrait représenter un danger pour ce même monde occidental.

On ne peut qu'être d'accord avec cette analyse d'autant plus que ça fait une quinzaine d'années que nous tenons ce discours sur nos blogs successifs.

Macron, Juju pour les intimes, est le parachèvement de cette Vème République qui n'a jamais été d'essence démocratique. Tant qu'elle a été dirigée par des gens intelligents ayant une certaine retenue et une certaine culture, le système s'est encore tenu. Elle a vraiment dérapé lorsque Mitterrand a fait appel aux minorités pour emporter le pouvoir et s'y maintenir, pervertissant l'essence même de ce que devrait être une démocratie.
Il y a longtemps maintenant que ces minorités ont décidé de passer à la caisse, sur notre dos.

L'addition est plus lourde chaque jour et la restriction de la parole alliée aux lois prétendument antiracistes est une arme efficace. On ne saurait nier le rôle primordial  joué par le lobby qui n'existe pas.
On en viendra bientôt à souhaiter une "libération" qui ne viendra jamais sinon pour "délivrer " les minorités de notre supposé joug.

Ainsi va le monde Vae Victis !

lundi 8 juillet 2019

Un texte d'une étonnante actualité

1:22 Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous;
1:23 et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l'homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles.
1:24 C'est pourquoi Dieu les a livrés à l'impureté, selon les convoitises de leurs cœurs; en sorte qu'ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps;
1:25 eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen!
1:26 C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes: car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature;
1:27 et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.
1:28 Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes,
1:29 étant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité;
1:30 rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d'intelligence,
1:31 de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde.
1:32 Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font.

Ces onze versets de l'Epître au Romains datent de deux mille ans environ. On les croirait écrits par un témoin de notre époque tant tout y est, tant la perversion des mœurs que, pire encore, la perversion des esprits.

vendredi 5 juillet 2019

Le baccalauréat en poche

En cette troisième année de la présidence de Manu , il y a fort à parier que le taux de réussite au bac va friser les 100% puisque des résultats ont été affichés sans que les copies ne soient corrigées .
Suivra la réforme supprimant le bac ce qui satisfera tout le monde sauf ceux qui n'auront pas la chance d'être dans une minorité représentative.
Le rêve des immigrationnistes sera enfin réalisé, nos chers invités pourront enfin accéder aux grandes écoles.
Les pigeons seront les enfants ou les petits-enfants des Gilets jaunes.
Vas-y Manu tu tiens le bon bout les "Français" t'adulent.