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lundi 31 octobre 2011

7 milliards, bientôt 8 !

7 milliards aujourd'hui, 8 milliards dans 10 ans selon les projections statistiques de l'ONU.
Après les estimations divergent entre une poursuite d'une augmentation exponentielle (25 Mds) et un pic de population autour de 9 milliards vers la fin du siècle.
Quel que soit le scénario, tout le monde s'accorde pour prédire une augmentation de la population au minimum pour les 10 ans à venir plus probablement pendant les 50 ans futurs. L’Europe verra, elle, sa population continuer de  vieillir et décliner.
Naturellement ces hypothèses ne tiennent pas compte ni des guerres qui se dessinent, ni des mouvements/invasions de populations. Ni encore du facteur culturel introduit en Europe par des populations africaines et musulmanes.
Quoi qu'il en soit, les courbes nous montrent un monde qui ne sera plus celui que nous avons connu et nous fait apparaitre notre époque hédoniste et égocentrique,  comme une bulle, une oasis dans le monde de violence que l'on sent poindre .
Naturellement je ne crois pas que nous atteindrons jamais les 9 milliards d'habitants. D'ici une quinzaine ou une vingtaine d'année, les grands empires du moment, essentiellement asiatiques s'entre-déchireront pour le peu de matières premières qui restera à disposition.

Et nous, nous aurons quasiment disparu. Comme les Amérindiens en leur temps.


Finalement, le crime de l'Homme Blanc, ça n'a pas été la colonisation, puisque de zones désertiques battues par les maladies endémiques, la famine, les intempéries, il a fait des zones plus stables et plus maitrisées, permettant à ainsi à la population de croître et multiplier . Mieux, il accueille sur son sol les surplus de ces populations au nom de "bons"  principes en fait suicidaires et destructeurs.

Non le crime de l'Homme Blanc, ça  a été son humanisme qui lui a fait croire qu'il pouvait se substituer qui à Dieu, qui aux forces naturelles  et d'avoir ainsi introduit un profond déséquilibre dans l'ordre du monde, déséquilibre dont il est et sera la première victime. A ce titre il mérite ce qui lui arrive.

lundi 24 octobre 2011

Le rire du jour

Le rire du jour, c'est la déclaration du président du CNT, (en Libye) selon laquelle la charia sera la principale (et probablement unique) source de droit de la future constitution libyenne.
Moi ça me fait rire car je n'ai jamais pensé qu'il en serait autrement, mais BHL qu'est-ce qu'il en pense ce va-t-en-guerre apôtre des DDH judéo-bobo ?
Mes (oups) hoquets reprennent quand j'apprends que les Tunisiens de l'étranger, c'est à dire ceux qui squattent notre sol, auraient voté à leur grande majorité pour les islamistes. Ce sont les laïcards toujours sur la brèche quand il s'agit de défendre les immigrés légaux ou pas qui doivent tirer la tronche.
Tout baigne. Gouvernez comme ça ! comme on dit dans la Royale.

Retour aux sources.

vendredi 21 octobre 2011

Content, pas content .

Satisfait naturellement de l'élimination de Khadaffi. Je n'ai jamais caché que  l'intervention en Lybie n'avait qu'un intérêt , l'élimination du pitre criminel  tripolitain.
Je suis un peu écœuré par le défilé de faux-c..s politiques qui viennent exprimer leur joie ou leur satisfaction alors qu'il n'y a pas deux ans ils étaient prêts à lui faire une petite gâterie.
Écœuré aussi par les chaînes de télé qui ont parfois des pudeurs surprenantes  mais qui diffusent en boucle les films du lynchage de l'ancien maître de Tripoli. Il faut dire que beaucoup ont énormément à se faire pardonner et que la mort brutale du dictateur arrange bien du monde.

Enfin, tout est bien qui finit bien, on attend maintenant la prise du pouvoir par un des nouveaux héros de la "libération", à moins, que des mosquées, ne surgisse un nouvel homme providentiel qui va remettre les femmes à la maison et les hommes dans le droit chemin.
On apprend toujours de la réalité.

jeudi 20 octobre 2011

L'asservissement des peuples européens (III)

Extrait du rapport d'information parlementaire sur l’Union européenne et le G20, déposé par la commission des affaires européenne le 4 octobre 2011 (n° 3784)

(2) Le Mécanisme européen de stabilisation
A la suite du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la zone euro du 7 mai 2010, le Conseil « Ecofin »(45) des 9 et 10 mai 2010 a décidé de mettre en action un dispositif de soutien inédit, baptisé Mécanisme européen de stabilisation (MES), appuyé sur deux outils :
– le Mécanisme européen de stabilité financière (MESF), qui permet à la Commission, après décision du Conseil à la majorité qualifiée, en vertu de l’article 122 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE), d’emprunter jusqu’à 60 milliards d’euros ;
– le Fonds européen de stabilité financière (FESF), créé pour l’occasion, doté d’une capacité d’emprunt de 440 milliards d’euros, mobilisable uniquement par un accord unanime des Etats membres y contribuant.
Ce potentiel total de 500 milliards d’euros est complété par 250 milliards susceptibles d’être prêtés par le FMI.
Ce dispositif expirant au 30 juin 2013, les chefs d’Etat et de gouvernement, au terme des sessions du Conseil européen des 24 et 25 mars et des 23 et 24 juin 2011 – qui était essentiellement consacré à cette question – ont mis en chantier une révision du TFUE. Son article 136 serait amendé, afin de créer un mécanisme permanent de stabilité financière.





Source : touteleurope.eu.
Le MES pérennisé présentera les caractéristiques suivantes :
– sa dotation par l’UE sera maintenue à 500 milliards d’euros ;
– il sera « activé d’un commun accord » – c’est-à-dire à l’unanimité des Etats membres participant au vote, les abstentions ne faisant pas obstacle à l’adoption de la décision –, afin d’accorder des prêts ou d’acheter des titres de dette souveraine sur le marché primaire(46) ;
– l’octroi de cette assistance financière « sera subordonné à une stricte conditionnalité » ;
– un prêt du MES bénéficiera du statut de créance privilégiée, « qui ne sera inférieur qu’à celui des prêts du FMI » ;
– un pays jugé insolvable sur la base des analyses de la Commission européenne, du FMI et de la BCE devra négocier un plan de restructuration global avec ses créanciers privés pour revenir à un endettement supportable ;
– sur l’insistance de l’Allemagne, il sera possible de faire participer le secteur privé au mécanisme « sous une forme appropriée et proportionnée » et « au cas par cas ».
La ratification de cette modification n’est cependant pas encore acquise, eu égard aux problèmes d’acceptabilité politique qu’il soulève dans certains pays.
(3) Un test réputationnel déterminant
Il n’en demeure pas moins que la solidarité européenne, depuis un an, a été une réalité : l’UE a déjà mobilisé pas moins de 45 milliards d’euros, le 28 novembre 2010, en faveur de l’Irlande et de 52 milliards d’euros, le 15 mai 2011, en faveur du Portugal. La situation de la Grèce est plus problématique, les 110 milliards d’aide internationale en sa faveur dans un premier temps, le 2 mai 2010 – 80 milliards de prêts garantis pour trois ans par les Etats européens et 30 milliards du FMI – ne couvrant guère que la moitié des échéances financières auxquelles le pays devra faire face. Les deux autres Etats sous programme d’aide internationale ne sont pas non plus sortis d’affaire, d’autant que les taux d’intérêt des plans de soutien font peser une lourde charge sur leurs budgets nationaux, en particulier l’Irlande, où la dette publique devrait atteindre son pic en 2014.
Les attaques répétées contre les obligations souveraines de la Grèce, de l’Irlande, du Portugal et plus récemment de Chypre ou de l’Italie, ainsi que les dégradations successives des notes attribuées à ces pays par les agences de notation, ont nécessité l’organisation d’un sommet extraordinaire de l’eurozone, le 21 juillet 2011, au terme duquel une aide supplémentaire de 158 milliards a été accordée à la Grèce pour couvrir intégralement son déficit de financement, avec un mise à contribution du secteur privé, par le biais d’échanges et de rachats de dette. La France est le premier pays de la zone euro à ratifier ce second plan de sauvetage, le 8 septembre 2011, à l’occasion d’une session parlementaire extraordinaire.
L’agenda européen de 2011 comporte aussi un événement important pour l’euro : le changement de gouvernance de la BCE, le 1er novembre 2011. Pour succéder au Français Jean-Claude Trichet, un consensus s’est en définitive dégagé assez facilement en faveur du gouverneur de la Banque d’Italie et président du Conseil de stabilité financière (CSF), Mario Draghi, nommé pour huit ans.
Fin juin, le FMI prévoyait que la croissance européenne atteindrait 2 % en 2011. Cela dit, avec la hausse de l’inflation et la multiplication des plans d’austérité imposés par les circonstances, la consommation devrait être en berne. En outre, les dépenses de construction ont connu un infléchissement au cours de l’année, de même que les investissements des entreprises en nouvelles technologies, du fait de la baisse de leur profitabilité. Le 8 septembre 2011, la BCE a d’ailleurs revu ses propres prévisions de croissance à la baisse : elle devrait se situer dans une fourchette de 1,4 à 1,8 % en 2011 et de 0,4 à 2,2 % en 2012. Sont en cause, la dégradation de la confiance et la persistance de la crise des dettes souveraines.
Même si la crise n’est pas terminée, loin s’en faut, avec notamment les risques de faillite et de sortie de la zone euro qui continue de planer sur la Grèce, l’UE s’est donc donné, dans un premier temps, les moyens de réussir un test réputationnel déterminant. Comme toujours lorsqu’ils se trouvent au pied du mur, ses dirigeants ont su faire preuve d’esprit de responsabilité et de cohésion pour trouver un consensus. Si la situation européenne est tendue – une croissance de seulement 1,8 % est anticipée, au mieux, pour 2011 –, la BCE a tout de même pu prendre le risque, le 7 juillet 2011, de remonter ses taux d’intérêts directeurs de 25 points de base, portant le taux des opérations principales de refinancement à 1,5 %, pour tenter de juguler le rythme d’inflation dans la zone euro, qui tournait autour de 2,5 % en glissement annuel depuis plusieurs mois.
La démarche du « semestre européen », cycle annuel de surveillance coordonnée de la discipline budgétaire dans les Etats membres instauré en 2011, est également de nature à stabiliser l’économie européenne et à consolider la zone euro. La réforme de la gouvernance économique de l’UE(47), à travers le renforcement du Pacte de stabilité et de croissance, qui a été votée par le Parlement européen le 28 septembre 2011 et approuvée par le Conseil « Ecofin » le 4 octobre 2011, poursuit le même objectif.
Le début de panique boursière intervenu durant l’été et l’aggravation ininterrompue de la crise des dettes souveraines ont cependant dégradé les perspectives de l’économie européenne et placé l’UE au cœur des préoccupations des membres du G20, eu égard à l’impact se sa santé sur la croissance mondiale. Le Conseil « Ecofin » des 16 et 17 septembre 2011 s’est pourtant conclu sur un constat de semi-échec, faute de mesures fortes contre la crise financière dans la zone euro et concernant la mise en œuvre du second plan d’aide à la Grèce – la décision de versement de la sixième tranche du premier plan a même été repoussée d’un mois.
Un mois avant le sommet de Cannes, la France se trouve donc dans la situation d’essayer de convaincre le monde d’adopter des mesures de régulation coordonnées anti-crise, alors que l’association continentale à laquelle elle appartient n’est pas encore parvenus à faire émerger des solutions durables pour s’extraire de ses difficultés économiques internes.

La séance photo pour la postérité lors de la signature du traité le 11 juillet 2011,
et notre petit Barouin à nous tout content comme ses collègues de signer l'arrêt de mort de son pays et de nombre de ses concitoyens.


L'asservissement des peuples européens - suite.

Le blogueur Hanoho apporte des précisions sur le fonctionnement et les prérogatives hors du droit commun dont jouira la "banque MES" qui fait l'objet de notre précédent article.

lundi 17 octobre 2011

Bruxelles met au point l'outil d'asservissement des nations européennes.

Bruxelles prépare discrètement un coup d'État dans les 17 pays de la zone euro.
Un nouveau traité va permettre à Bruxelles de se servir à volonté dans les Caisses d'État pour sauver l'euro. Le traité doit être ratifié par les parlements avant le 31 décembre 2011.
Bien sûr, l'Union Européenne ne veut pas que les citoyens l'apprennent. Sur l'internet, ils n'ont rendu public qu'une seule copie de ce traité: en anglais!!! d'autres langues! Ce nouveau traité européen a été signé le 11 juillet 2011. Curieusement, aucun journal, ni national ni international, n'y a consacré un titre. Si ce traité est ratifié, c'est la fin des démocraties dans la zone euro. Bruxelles veut que les parlements nationaux donnent leur accord  avant le 31 décembre 2011. Si l'on se presse, on peut encore alerter l'opinion publique et tenter de réveiller les parlementaires à temps![...]
sources :
le blog de HANOHO
Court Fool.info

La crise actuelle et l'Euro prennent désormais tout leur sens. A défaut de pouvoir renverser les États, ce qui pour le coup réveillerait les citoyens, les gouverneurs du monde ont décidé de les rendre totalement inefficaces, des les empêcher d'avoir la moindre initiative, d'être comme une mouche piégée dans une toile d'araignée. Le mécanisme de la dette, mis au point dans les années 70 de manière quasi concomitante dans tous les pays du monde, a rempli son rôle. Engluer les États dans une dette impossible à rembourser. La mise en place d'élites soigneusement dressées a complété ce point. Rappelez vous comment il y a 10 ans encore tous les hommes politiques vous vantaient les vertus de l'emprunt . Tous ceux des partis "républicains" vous la vantaient. Souvenez vous-en ! Vous étiez un bouseux si vous exprimiez un avis contraire.
Aujourd'hui que de gré ou de force on nous a ficelé dans une monnaie commune qui allie la carpe et le lapin, qu'on nous a doté d’institutions qui nous ont volé notre souveraineté, l'heure est venue d'imposer la gouvernance mondiale. Les États ont désormais perdu toute capacité à légiférer ou à financer tout projet cohérent pour revenir à une quelconque autonomie.
Ceux qui en auraient encore les capacités ou plutôt les velléités, le mécanisme de stabilité européenne, va les mettre au pas ou s'il le faut les briser.

C'est clairement une déclaration de guerre aux nations .

Lisez l'article de courtfool.info, lisez aussi le traité si vous comprenez l'anglais.
Dans ce contexte, le choix par la "gauche" de porcinet ou de la mégère islamo-progressiste n'a aucune importance puisqu'ils représentent les deux faces d'une même pièce d'Euro.

dimanche 16 octobre 2011

Démocratie à la mode mondialiste.

Ou de la bonne gouvernance...
Quand les peuples votent mal, ils doivent revoter. Idem pour les parlements 
Le Parlement slovaque avait en effet eu l’impudence de rejeter mardi le renforcement du fonds européen dit « de stabilité financière » (FESF) décidé le 21 juillet par Bruxelles, en fait un fonds destiné à voler au secours des pays de l’euroland menacés de banqueroute.
Inquiète, l'Union européenne a demandé mercredi à la Slovaquie d'approuver rapidement le renforcement du FESF, en soulignant son importance « cruciale » pour la zone euro. Elle a été promptement exhaussée puisque l'opposition de gauche s'est entendue avec trois partis de droite de la coalition gouvernementale, pour abonder le FESF, en échange d'élections anticipées.
Lors du second vote qui a eu lieu le 13 octobre, 77 % des députés slovaques ont voté en faveur de l’élargissement à 440 milliards d’euros du fonds européen.
La contribution de Bratislava sera de 7,7 milliards d'euros. Deuxième pays le plus pauvre de la zone euro après l'Estonie, la Slovaquie suit actuellement une sévère cure d'austérité, dont pâtit la population. Selon une enquête de l'institut German Marshall Fund, seulement 38 % des 5,4 millions de Slovaques sont favorables à la participation de leur pays au renforcement du FESF. En France comme en Slovaquie, le système mondialiste s’assoit sur la volonté et la souffrance des peuples. Source Polémia
Ce n'est plus un hasard. Après le retour forcé aux urnes des Irlandais, le tour de passe passe exercé en France à l'égard des Français, l'épisode slovaque confirme que la voix des citoyens n'a désormais plus aucune importance pour les clubs mondialistes qui tirent les ficelles. Difficile également de faire l'impasse sur un complot des élites, n'en déplaise aux Bisounours qui s'efforcent de ne pas voir la réalité tellement elle est dérangeante.

jeudi 13 octobre 2011

Montebourg révélant la gauchitude.

Pour cette semaine j'ai bien failli écrire "rien" comme Louis XVI, finalement, j'ai pris le parti d'en rire.

samedi 8 octobre 2011

L'abolition de la peine de mort : une honte pour la France.

Le 9 octobre 1981, la peine de mort est abolie  par le régime socialiste alors en place avec la collaboration de tout ce que la "droite" compte de collabos.
Cette abolition a été complétée  le 20 décembre 1985, lorsque la France ratifie  le protocole additionnel numéro 6 à la Convention européenne des droits de l'homme. Dès lors  la France ne peut plus rétablir la peine de mort, sauf en cas de guerre. Enfin le 3 mai 2002   la signature, par le détestable Chirac, qu'il croupisse en enfer, du protocole numéro 13 à la convention européenne des droits de l'homme abolit la peine de mort même en temps de guerre.
Désormais en France s'il existe toujours une peine de mort elle ne peut être appliquée qu'aux innocents .

La France est donc depuis trente ans entrée de plain-pied dans la barbarie, puisque lorsque la société n'est plus capable de protéger ses membres contre la sauvagerie de certains, cela signifie clairement le retour à l'état de nature, hors la loi.
L'habillage très solennel, les discours sirupeux, les comportements de bisounours n'empêcheront pas la constatation d'une vérité : en France au XXI ème siècle, un quidam peut tuer une fois, être condamné à quelques années de détention, être libéré et recommencer encore une ou deux fois . Il se trouvera toujours des traîtres à leurs compatriotes, des ennemis du genre humain qui seront prêts à trouver des circonstances atténuantes au pire des criminels.
Les victimes, elles, sont évacuées du débat. On en parle peu, il se trouvera toujours une ordure pour déclarer qu'elles n'auraient pas dû être là ou ne pas faire ceci ou cela. L'horreur de leur mort est rarement évoquée, il faut respecter la présomption d'innocence n'est-ce pas ?
J’appelle de tous mes vœux le rétablissement de la peine de mort, le retour à la civilisation, quand au petit matin blafard, le couperet tombera de nouveau sur la nuque du condamné qui ainsi ne pourra plus jamais récidiver et enlever d'autres vies.


Socialisme et droits sociaux

Le dimanche est un jour de repos hebdomadaire, issu de la tradition chrétienne, mais depuis longtemps récupéré par la République, la Gauche et les syndicats. Jusqu'à il a peu, pas grand monde sauf peut-être les athées militants ne revendiquaient  la joie et le plaisir de travailler le dimanche.
Les socialistes ne sont pas les derniers  à monter en ligne lorsque que les "droits sociaux" sont mis en cause à l'occasion d'une demande d'ouverture des commerces le dimanche.

Je ne leur jetterai pas la pierre sur ce point, contraint moi-même de travailler le dimanche, je comprends parfaitement la nécesité qu'il y a de disposer d'une journée commune de repos pour tous les membres d'une même famille ou d'un même cercle d'amis.
Les socialistes, dont nous pouvons en ce moment admirer les rodomontades, effets de plume et caquetages de basse-cour, à la télé à l'occasion de leurs primaires, savent montrer l'exemple sur ce point . On ne leur en  remontre point !

Sauf que ...

L'Essonne est un département du sud de la région parisienne, connu pour ses temples de la diversité monocolore que sont Evry, Grigny, les Tarterêts et autres lieux de basse mer.
Mais l'Essonne est aussi connu dans le monde du commerce pour ses temples de la consommation de masse que sont, la zone industrielle de la Croix Blanche, commune de Sainte Geneviève des Bois et  le centre commercial de l'Agora ou Evry 2 dans la bonne ville d'Evry dite aussi Tombouctou sur Seine tant sa densité de femmes noires voilées de la tête au pieds, mains incluses y est ... intéressante.
Je vais vous faire une révélation, la ZI de la Croix Blanche qui draine chaque année plusieurs milliers de chalands et  de consommateurs est ouverte le dimanche  et le maire de cette bonne ville de Sainte Geneviève des Bois est ... socialiste.
Jaloux de la manne que lui vole la ville de Sainte Geneviève distante d'à peine quelques kilomètres (10 à 15 minutes en voiture) le maire d’Évry vient d'accepter l'ouverture d’Évry 2 le dimanche... les employés des commerces le remercieront.  Et devinez qui est le maire d'Evry ? Manuel Valls bien sûr, socialiste et candidat aux primaires.



mardi 4 octobre 2011

Sénatoriales : une explication par Michel de Poncins

Michel de Poncins, dans son magazine internet Tocqueville magazine, nous livre son explication de la victoire de la gauche aux sénatoriales.


SENATORIALES : ECHEC DU SOCIALISME 




Le titre de ce flash va surprendre bien des lecteurs. En effet, la victoire du parti socialiste aux sénatoriales est claire. Non seulement il vient de conquérir la majorité des postes mais il a obtenu le perchoir. Saluons, en passant, la richesse immense de chacun des sénateurs et la richesse encore plus grande du président du Sénat : cette richesse s'ajoute au statut incroyable des autres élus qui écrasent l'économie française et jouent leur partition dans la paupérisation du pays. Mais là n'est pas notre propos aujourd'hui, car il y a bien lieu d'écrire : « échec du socialisme » et voici comment.
Pour saisir le mécanisme, il est besoin de rappeler que les élections au Sénat reposent sur de grands électeurs sélectionnés par un système extraordinairement compliqué et issus eux-mêmes d'élections intermédiaires : municipales, régionales, etc. Or il se trouve que la droite a perdu depuis 2007 ces élections intermédiaires, d'où la victoire des socialistes aux sénatoriales. Il reste alors à expliquer cette défaite de la droite aux élections intermédiaires. Les caciques de la même droite donnent, certes, beaucoup d'explications savantes, mais sans aller évidemment au fond de la réalité : « cachez-moi ce sein que je ne saurais voir ».
En 2007, le nouveau pouvoir était élu sur un programme de droite par une majorité de droite et il avait, non seulement la possibilité de rompre avec le socialisme, mais le devoir de le faire. Il n'a pas fait la rupture et, au contraire, a consolidé et amplifié le socialisme à grande vitesse, ce qui a découragé les électeurs.


AMPLIFICATION DU SOCIALISME

Le premier moyen fut d'appeler autour de la table ministérielle et aussi ailleurs des socialistes décidés à empêcher toute réforme valable. Le deuxième moyen fut de donner très publiquement le pouvoir à des syndicats guère représentatifs et ne subsistant que grâce à des lois obsolètes et à de l'argent volé aux citoyens.
La marche forcée imposée à la France vers le socialisme par ce pouvoir s'est traduite par une liste considérables d'actions diverses. Citons au hasard et dans le désordre.
La politique industrielle, l'État intervenant à tort et à travers dans le fonctionnement des entreprises ; le quasi blocage des loyers, avec un retour hypocrite à une sorte de loi de 1948 ; le nouveau droit de préemption accordé aux maires : sous prétexte de leur donner le droit de veiller sur les changements de fonds de commerce, ils ont un droit de préemption sur les baux commerciaux au détriment des droits de propriété ; le grand emprunt par lequel l'État se donne la possibilité abusive d'emprunter de l'argent pour choisir des investissements baptisés « d'avenir » ; le véritable déchaînement dans l'accroissement des impôts avec une inventivité marquée pour trouver de nouveaux systèmes de prélèvements fiscaux ; la poursuite et l'aggravation sans limite de l'endettement public général ; le véritable tsunami des réglementations diverses et changeantes selon l'humeur du pouvoir avec l'insécurité juridique totale en conséquence.
Les fruits amers de cette marche forcée vers le socialisme s'observent de plus en plus : chômage récurrent, destruction des industries dont beaucoup quittent le territoire, difficulté permanente dans le logement, souffrance intolérable des PME, départ des grandes fortunes pourtant nécessaires pour faire rouler la machine, paupérisation croissante du peuple français avec la prospérité des restos du cœur, du secours catholique et d'autres œuvres charitables. C'est pour toutes ces raisons, que le pouvoir de Sarkozy-Fillon a perdu les élections intermédiaires ce qui a conduit au vote des grands électeurs en faveur du parti socialiste pour les sénatoriales. Le 29 septembre, lors de la parade télévisée des six candidats aux primaires socialistes, il était tristement drôle de voir que leurs programmes sur beaucoup de points n'étaient guère différents de ce qu'avait fait Sarkozy depuis son arrivée au pouvoir.
Il est donc légitime de dire que la victoire du parti socialiste aux sénatoriales met en lumière d'une façon surprenante les échecs du socialisme, ce qui justifie le titre de ce flash.


L'EXPLICATION DEMOCRATIQUE

En face de ce phénomène historique incroyable de Sarkozy aidé par Fillon dans sa course derrière le socialisme, il reste à chercher l'explication ultime. Nous allons rencontrer alors le fonctionnement de la démocratie à laquelle j'ai consacré un livre intitulé « La démocratie ou le rêve en morceaux ».
La première explication est que le socialisme déclenche et alimente sans s'arrêter jamais la « rivière argentée » des fonds publics laquelle arrose d'une façon absolument incroyable la pyramide des élus du peuple ; celui qui se trouve hissé sur le pavois serait un très mauvais camarade, si aussitôt arrivé aux affaires il voulait enlever à ceux qui l'ont hissé l'essentiel de leur propre richesse. C'est une nouvelle forme de l'interpellation fameuse « Qui t'a fait Comte, qui t'a fait Roi  ?» survenue à Hugues Capet il y a plus de mille ans !
La deuxième explication est que l'élection est obtenue non seulement grâce à l'aide des camarades mais grâce à beaucoup d'argent dont la provenance est disons « diverse et variée ». Tout le monde observe que les présidents américains ne sont, trop souvent, que les serviteurs de leurs fastueux sponsors.
Enfin il se trouve que ces deux phénomènes inhérents à la démocratie trouvent un terrain tout à fait favorable : la prétendue éducation prétendue nationale diffuse la doctrine socialiste à tous les niveaux en commençant par le secondaire et en se terminant par le supérieur jusque même dans les grandes écoles. La presse et les médias continuent le « travail ». Il en résulte que les élus de tous ordres, y compris l'élu suprême, n'ont aucun mal à se couler dans le moule général.
S'il y a d'autres explications, nous les lirons avec plaisir et, en attendant, nous faisons comme Candide et nous cultivons notre jardin.

Michel de Poncins.

samedi 1 octobre 2011

La Gauche emporte le Sénat

Un DeGauche élu à la tête du Sénat pour la première fois, parait-il depuis l'avènement de la République.
Cela ne signifie pas que le progressisme est entré à la Haute Assemblée, non, bien au contraire. Cela montre que désormais le conservatisme est de gauche, que c'est la  partie de la France  rassie dans un progressisme de façade qui tient toutes les rênes du pouvoir. Presse, pouvoir politique local ou national, syndicats, associations, milieux d'affaires, éducation, rien n'échappe à cette nouvelle bourgeoisie.
C'est grâce aux idées délétères mises au point dans les milieux intellectuels souvent en marge de la bourgeoisie et qui ont éclot en mai 68 que nous en sommes arrivés où nous en sommes. Le personnel politique de la "droite" souvent issu des mêmes milieux a, au mieux, laissé faire, au pire accompagné le mouvement.

Finalement on constate que pour se maintenir au pouvoir, la bourgeoisie a changé d’oripeaux. Mais elle reste la bourgeoisie. Oh plus la bourgeoisie décrite par Balzac persiflée par les moqueurs et ses adversaires ! la bourgeoisie moderne est écologiste et hédoniste, produit peu et profite beaucoup, mais dans l’échelle sociale elle occupe le même créneau qu'auparavant.

Désormais il va lui falloir s' inventer des ennemis encore plus implaccables pour justifier la course folle vers le gouffre où tous ces donneurs de leçons (mais pas pour eux, pour les autres ) nous entraînent. Le choc est désormais proche.