Aux abois, la dictature socialiste se transporte sur le plan du racisme, comme prévu.
C'est porteur (du moins ça l'était) et ça peut raporter gros.
Après Taubira, affaire dont nous avons dit le mal que nous en pensions, voici que madame Najat-Belkacem se dit victime d'attaques racistes.
Le CRAN, organisme ouvertement raciste, ne serait-ce que par sa dénomination, se mêle de la partie,sans parler de toute la clique d'organisations "anti-racistes" qui servent surtout à faire vivre grassement leurs quelques dirigeants.
En fait, la Une de Minute, sans être ni de bon goût encore moins intelligente est digne des titres à la con de Libération ou du Canard Enchaîné qui embrument les kiosques tous les jours que le bon dieu fait.
Rien à voir avec les appels au meurtres de quelques organisations antifas ou de quelques personnalités politiques de la gauche contre leurs opposants. Propos jamais punis .
Espérons que les dirigeants de ce journal auront les reins assez solides pour mener l'affaire jusqu'aux instances judiciaires européennes. Ce sera un long et dur voyage.
Je voudrais en profiter pour revenir sur l'affaire des huées à l'encontre de l'Ami Mollette le 11 novembre.
A gauche, mais pas que, on veut faire ressurgir le crime de lèse-majesté, et seul le manque de moyens les empêchent de réclamer l'écartèlement en place de Grève.
Petit rappel le délit d’offense au chef de l’État a été abrogé par l'actuelle majorité le 15 mai 2013... (Les Echos.fr)
Le Parlement a définitivement instauré, hier, dans le droit pénal français, un nouveau crime de « réduction en esclavage », et abrogé le délit d'offense au chef de l'Etat, dans le cadre d'un projet de loi voté à l'unanimité. Le délit d'offense au chef de l’État a été utilisé, pour la dernière fois, contre un homme qui avait brandi, en 2008, à l'encontre de Nicolas Sarkozy l'affichette « casse-toi pov'con », ce qui avait valu à la France d'être condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme. Pour éviter un vide juridique, que craignait le Sénat, le texte voté abroge ce délit, mais prévoit que, comme pour les parlementaires et les ministres, l'injure ou la diffamation envers le président de la République puissent être punis de 45.000 euros d'amende .
Autre remarque, certains s'indignent de la date choisie au nom d'un respect dû aux morts de la guerre.
Ces morts sont morts pour que vive la France et leurs descendants, pas pour qu'elle soit dépecée et livrée aux charognards.
Par ailleurs A-t-on déjà vu la SNCF où les contrôleurs aériens se mettre en grève à une date où ça ne gênerait personne ?
La réponse est dans la question !
La simple présence de Hollande et des socialos au pouvoir est une injure de tous les jours aux soldats de 14-18, alors leur appel au respect...
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que le pouvoir aux abois se lance dans la répression tous azimuts. Après les gens qui ont hué Flanby, après Minute, c'est au tour de Soral d'être mis en examen sur plainte de la Licra pour avoir publié quelques classiques de l'antisémitisme (Ford, Drumont... ) sur son site KontreKulture. A quand la réouverture du Goulag et l'internement de tous dissidents en asile psychiatrique comme au bon vieux temps du père Joseph ?
RépondreSupprimerDécidément, la ripoublique gère mal mais se défend bien ! (c'est à dire férocement... )
Nullande réputé mou du genou ne cède en fait sur rien : union des paires homos, impôts, TVA, écotaxe et maintenant lutte à mort contre "l'esstrème drouate".
Ils sont d'ailleurs plus préoccupés par les quelques milliers de fusillés que par les quelques millions de braves "ordinaires", héros du quotidien de la grande boucherie..
RépondreSupprimerma réponse ci-dessus s'adressait plus particulièrement à Pharamond
RépondreSupprimer@CCRIDER
contrairement aux apparences l'ami-mollette est un idéologue de la pire engeance, il dévie assez peu de sa route, sous d'autres latitudes il aurait fait un parfait Pol-Pot.
La Droite ferait bien de se méfier de ce proto-tueur en charentaises.
Une petite différence :
RépondreSupprimerLa diffamation est définie ainsi : toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé. e.g. : "Laurent Gloaguen est un escroc".
L'injure est toute expression outrageante ne contenant l'imputation d'aucun fait. e.g. : "Laurent Gloaguen est un connard".
S'en suivent évidemment des tas de considérations juridiques sur l'identification des gens,la prescription, etc.
Voir le blog de Me Eolas
Mais bon, le racisme est la boussole qui mène le monde.
@ blh
RépondreSupprimerd'où il ressort deux faits, :
1- huer un président n'est ni une injure ni de la diffamation donc ne justifie pas l'arrestation même provisoire du contestataire, mieux même, cela devrait conduire les membres des forces de l'ordre et leur ministre au tribunal pour arrestation arbitraire (ne rêvons pas ).
2- l'énonciation d'un fait avéré et reconnu peut conduire à la mise en cause pour diffamation
"2- l'énonciation d'un fait avéré et reconnu peut conduire à la mise en cause pour diffamation"
RépondreSupprimertoutes vérités ne sont pas forcement bonnes à dire.
Mais au contraire : certaines circonstances banalisent; alors qu'on fait la guerre à la banane, "..le bruit et les odeurs" chiracienne sont banalisées et font plutôt rire que de donner du grain à moudre à la justice.
je l'avoue j'ai longtemps cru que seule la révélation de faits cachés voire de pure invention portant atteinte à l'honneur, la probité, les bonnes mœurs, constituaient une diffamation . Que nenni, il peut s'agir de faits connus et publics
RépondreSupprimer"Ils sont d'ailleurs plus préoccupés par les quelques milliers de fusillés que par les quelques millions de braves "ordinaires", héros du quotidien de la grande boucherie.."
RépondreSupprimerC'est d'ailleurs ce qui est dit dans la vidéo ProRussia-tv sur le 11 novembre.
"- huer un président n'est ni une injure ni de la diffamation donc ne justifie pas l'arrestation même provisoire du contestataire,"
RépondreSupprimerIls ont été arrêtés pour port de bonnet rouge !
on est obligé de le constater
RépondreSupprimerle délit vestimentaire est en passe de détrôner les viols dans les parkings et les attaques de petites vieilles au sortir des bureaux de poste dans le hit parade du ministère de l'intérieur, mais pas de souci pour les antifa on peu toujours parader avec la tronche de cet empaffé de Guevara
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