Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré vendredi 25 mai 2012 qu’il considère "l’avortement comme un meurtre." Il ajoute : "Personne ne devrait avoir le droit de l’autoriser. Que vous tuiez le bébé dans le ventre de sa mère ou [...] après sa naissance, il n’y a aucune différence."Ce n'est pas de là-bas que j'attendais ce genre de réaction, mais tout est bon à prendre.
24 mai 2012 . Un médecin espagnol a été condamné par le tribunal de Palma de Majorque pour avoir "raté" l’IVG ¹ de sa patiente, venue dans sa clinique pour interrompre sa grossesse. A titre de dommages et intérêts, le médecin a été condamné à verser 150 000 euros ainsi que 978 euros par mois jusqu’aux 25 ans de l’enfant.Je pense qu'il faudra désormais trainer le médecin en salle d'opération, encadré par deux gendarmes pour le contraindre à pratiquer des avortements.
¹ Avortement en novlangue.
Source Généthique
Faut pas exagérer dans les deux sens..
RépondreSupprimerTrop avorter et trop facilement pour ensuite immigrationner, c'est nul.
Ne pas avorter un fille violée alors, c'est con plètemet.
Religieux ou non, la bonne moyenne semble être cette bonne définition pourtant simple : "On ne peut pas dire qu'on a à faire à un mioche avant que son système céphalo-rachidien ne soit opérationnel."
La fille violée qui tombe enceinte, ça ne doit pas courir les rues.
RépondreSupprimerJ'ignore à partir de quand le système cephalo-rachidien est opérationnel, ni si cela est un critère pertinent, mais tous les pays ne semblent pas avoir la même limite.
Et puis c'est quoi "opérationnel" . Sur ce seul critère, on pourrait euthanasier un certain nombre de nos contemporains.