Dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat d'un couple de policiers chez eux, à Magnanville, en juin 2016, les enquêteurs ont retrouvé les données personnelles de 2626 policiers sur une clé USB détenue par une femme fichée S, déjà en détention dans le cadre d'une enquête sur l'aide à des filières djihadistes.
On apprend aussi à cette occasion que cette femme aurait été aidée par une policière "ex-responsable départementale du syndicat policier Alliance, ainsi que
son fils de 26 ans et sa fille de 30 ans. La famille avait hébergé au
printemps 2016 Mina B., qui se trouvait être une amie de la fille de la
policière, elle-même décrite comme radicalisée. "
Bonjour la diversité ! Et ça n'est que le début, le pire reste à venir !
Source Le Point et RT France
Comme on dit familièrement:
RépondreSupprimer"Mais que fait la police ?"
Moi, par certain côté, ça me rappelle l'assassinat du père Hamel, que "la police" aurait pu éviter, mais qui n'a pas vu de "caractère d'urgence" dans le rapport qu'elle a postdaté par la suite, après que l'information se soit "perdue en cours de route"
Il reste quand même un petit espoir: le "facteur Abdul"...
RépondreSupprimerle facteur abdul ne peut pas grand chose contre d'une part la folie meurtrière fût-elle désordonnée et d'autre part l'apathie du peuple et la collaboration des "zélites" .
Supprimer.. et : à la vitesse où on transfert un petit fichier sur le ouebbes, il ya bien une 100aine de "S" à en avoir une copie :(
RépondreSupprimerça me parait être le B-A BA de l'apprentissage du petit terroriste,
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