Mediaparts où l'art de faire le buzz sur du vent.

On ne parle que de ça sur les médias collabos : l'affaire des quotas dans le football.
Tout le système veut nous faire accroire que grâce à Mediaparts, on a une fois de plus empêché le retour de la bête immonde, le racisme, avec son accompagnateur institutionnel , le FN.
Dénoncer le wacisme dans le football français, c'est se prépositionner  pour les élections présidentielles qui n'auront lieu que dans un an.
Déjà quand vous entendez parler de wacisme dans le football français, milieu en pointe dans le vivre-ensemble, milieu ou la discrimination positive est en place depuis plus de deux décennies, vous vous tenez les côtes de rire si vous êtes un minimum sensé.
Mais bon, dans ma candeur ontologique, je me disais, "tiens ils ont décidé de rééquilibrer un petit peu  la composition de l'équipe de France pour que les Français s'y reconnaissent un peu plus, ça va dans le bon  sens".
Après tout puisque selon la vulgate antiraciste officielle, il n'y a pas de différences physiques ni intellectuelles dans l'espèce humaine et si le recrutement doit revenir à un sondage à l'aveugle on a du mal a expliquer la nette  disproportion continue en faveur de joueurs colorés sans rapport avec ce qu'on est sensé constater dans la population totale. On n'en est quand même pas encore à 80% ou plus .

Candeur est un mot faible

En fait toute cette affaire n'est qu'une affaire commerciale basique, une réunion stratégique d'entreprise comme il s'en déroule tous les jours dans les grandes entreprises lorsqu'elles veulent assurer leur retour sur investissement et la maximisation des profits.
La FFF s'étant rendue compte qu'un nombre non négligeable de jeunes, formés gratuitement dans les centres de formation, fuitaient ensuite vers des destinations plus tropicales correspondant à leurs pays d'origine, a décidé de prendre le phénomène à bras le corps et de filtrer l'admission des impétrants.
Il ne s'agit donc pas du tout d'une tentative de blanchiment de l'équipe de France mais d'une manœuvre financière normale de la part de tout investisseur. Et pas le faire relèverait de la faute grave.
Imagine-t-on Carrefour inonder ses rayons de Hallal  sans avoir fait un minimum d'étude de marché sur sa clientèle ? Bien sûr que non et à part, peut-être, notre intellectuel de service Lilian, qualifié ès discriminations illusoires, personne ne détectera la moindre once de racisme dans cette démarche uniquement axée sur le profit .
Dès lors, si l'on comprend bien que certains, craignant pour leur salaire et leur emploi, voire leur pouvoir au sein de la FFF, tentent de se servir de cette affaire pour défendre leur bout de gras, elle n'aurait jamais dû dépasser l'entrefilet en cinquième page de l'Equipe.
Finalement la question qui revient c'est qu'a-t-on à nous cacher que nous ne sachions déjà pour nous polluer les oreilles avec une telle non-affaire vieille de  plus de 6 mois ?

Décelant l'aspect typique du contre-feu, je parierai que l'invasion libyo-tunisienne est bien plus avancée que ce qui filtre.