Commémoration

Il y a trente ans la France vivait ses derniers instants de Nation souveraine avant d'être promise à la décadence.
Un homme allait accéder au pouvoir qui institutionnaliserait la tricherie et le mensonge entrainant le pays avec lui dans son délire machiavélique.
Avant lui bien sûr il y avait eu des voleurs des menteurs et des tricheurs, mais ces gens s'en cachaient, voire avaient honte de leurs actes.
Après lui, cela deviendrait un objet de fierté.

Un député sortant du tribunal se précipiterait devant ses électeurs pour être réélu triomphalement, n'étant que le premier d'une longue liste de magouilleurs, un Président mènerait une double vie aux frais de la République donc de vous et de moi. Des hommes proches du pouvoir disparaitraient de mort violente dans des conditions jamais élucidées, et pas qu'un ; la volonté des électeurs serait bafouée, les double langage deviendrait la règle et le citoyen moqué pour avoir écouté les discours qu'on lui tenait.
L'argent deviendrait roi, les clubs, confréries, amicales, sociétés secrètes se partageraient le pouvoir et la puissance tandis que seraient tenus les discours les plus contraires et que les Français seraient poussés à se dresser les uns contre les autres pendant que, frontières grandes ouvertes, des hordes d'étrangers différents en tous points seraient admis par ceux mêmes dont la mission consistait à protéger le pays.

L'avènement du socialisme du 10 mai 1981 sous l'égide de François Mitterrand c'est cela.

Inutile de dire qu'une des bonnes raisons que j'aurais de croire en l'enfer, serait qu'il y rôtirait là-bas pour l'éternité.