Le Web et l'Amérique au service de l'islamisme politique.

Pourquoi ce titre ? parce que lors des "révolutions" les USA ont fait pression sur les États tunisiens et égyptiens pour que la liberté d'internet soit maintenue ou rétablie.
Que selon l'aveu même des "révolutionnaires" internet a été un outil privilégié de mise au point de la "révolution".
Que Mme Clinton , Secrétaire d'État  a confirmé tout cela, l'a revendiqué même.

Lors des "révolutions arabes" de ce printemps, nous avions prévu que tout cela se faisait pour le plus grand profit des islamistes.
Le délai pour les voir accéder au pouvoir semble devoir être encore plus court que prévu.
En Egypte, se profile un mouvement de fuite du pays de certains chrétiens et musulmans (ceux qui en ont les moyens) devant la victoire probable des Frères musulmans . Quant à la Tunisie, on  prend le même chemin.
A l'époque, c'est à dire il y a deux ou trois mois, ceux qui prédisaient cela étaient, une fois de plus, d'infâmes réactionnaires qui ne croyaient pas en l'Homme, patin, couffin, enfin le discours habituel des droitsdelhommistes.
Et qui a raison aujourd'hui ?

Il faut que les Occidentaux comprennent qu'il n'y a pas de moyen pacifique de se sortir de l'Islam. L'islam est une religion totalitaire qui s'occupe de chaque parcelle de la vie de ses fidèles, et même de celle des autres. A partir de là et compte tenu des menaces pour leur vie qui pèsent sur ceux qui apostasieraient il n'y a pas de moyen qui fasse l'économie de la force pour  bloquer l'avancée de cette religion qui d'ailleurs prône la guerre comme moyen d'expansion.
En Libye, le problème est un peu différent. On avait Khadafi, qui haïssait l'Occident et n'a jamais raté une occasion de lui faire un enfant dans le dos on va peut-être  en changer pour un régime islamiste qui ne ratera pas une occasion d'en faire autant. Le plus probable c'est que cela ne sera ni mieux ni pire, la solution du  problème de l'immigration maritime n'étant pas là-bas comme on se complait à nous le dire mais ici. Aucune solution politique locale ne pouvant se substituer à une volonté politique européenne de clarifier sa politique d'immigration.