Presque 60 morts, 2000 blessés le jour de l'inauguration de l'ambassade des États-Unis à Jérusalem.
On peut voir cet évènement de deux façons. La première est classique entre provocation et répression le dindon de la farce étant le péquenot palestinien patriote, croyant et possédé d'un désir de vengeance contre l'envahisseur honni : quoi qu'on puisse en penser, la Palestine n'était pas vide à l'arrivée des premiers colons juifs en provenance de l'Europe au début du XX ème siècle.
On peut le voir aussi comme un vaste sacrifice humain, à la manière du 11 septembre, rendu à la divinité démoniaque qui nous prépare un holocauste d'une autre ampleur que celui d'il y a 70 ans (50 à 70 millions de morts) .
1) Plusieurs poids plusieurs mesures.. là bas, ils comptent inches et pounds
RépondreSupprimer2) Ne parles pas de malheur.. nous, on est juste en Washing-Town et Saint-Pétte ! :(
Trop vite : s'il t'es possible de remplacer ... par les LHDDT.. habituels.
RépondreSupprimerSouri & merci. Je n'aime pas trop kill y ait relation entre Google et mes posts.
je peux les supprimer mais pas les modifier
SupprimerMonsieur Israël fracasse madame Palestine après l'avoir dépossédée de tous ses biens (sous les yeux des voisins qui ne mouftent pas).
RépondreSupprimerEn expliquant à Monsieur ONU que c'est moral parce qu'elle l'avait bien cherché et qu'elle devenait envahissante (comme nous l'expliquent M.L.P et son con-joint.)
Et, qu'en définitive, c'est pour le bien de madame Palestine.
Tout ça, est une belle histoire d'amour.
Comme on en voit tous les jours.
Élégant
sous forme de conte ça passerait presque mieux
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