Je n'ai jamais aimé hurler avec les loups, vous ne me verrez pas participer à la curée contre Sarkozy et son gouvernement. Surtout pas contre ceux d'entre eux qui sont déjà à terre aussi antipathiques soient-ils.
Néanmoins ce n'est pas sans un certain plaisir que je vois mes prédictions se réaliser.
Quand la France l'adulait, je lui donnais deux à trois ans. Nous y sommes.
Il faut qu'il paye pour le coup d'état du traité de Lisbonne!
mardi 6 juillet 2010
5 commentaires:
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Aucune pitié pour les traitres à la France. Je leur souhaite tout le mal possible.
RépondreSupprimer« Les erreurs dues à la bonté d’âme sont (...) la pire des choses."
(Roger Trinquier)
de ma part ça n'a rien à voir avec la pitié. Je n'aime pas finir les hommes à terre, ce qui ne veut pas dire que je ne suis pas heureux qu'ils y soient. Je trouve juste indécent que les laudateurs d'hier se fassent charognards et je ne veux surtout pas être, de près ou de loin, lié à ces gens là.
RépondreSupprimerTiens, mon coeur !
RépondreSupprimerhttp://legaysavoir.blogspot.com/2010/07/consilium.html
Et qu'est-ce qui va sortir de tout ce gâchis ? Des socialos tout roses et blancs comme l'agneau qui vient de naître ou des trotskos bien rouges avec le couteau entre les dents ?
RépondreSupprimerPaul-Emic => Je comprends ta position, mais comme je ne me sens en aucune façon lié aux laudateurs devenus charognards, je souhaite aux profiteurs qui ont mis un genou au sol (ils ne sont pas encore totalement à terre) toutes les misères possibles et je leur donnerais volontiers le coup nécessaire à les faire basculer pour de bon dans la poussière. Parfois, il m'arrive d'être un méchant garçon.
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