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vendredi 10 novembre 2017

Pour remporter un prix, parler des nazis - Décryptage - Actualité - Liberté Politique

Pour remporter un prix, parler des nazis - Décryptage - Actualité - Liberté Politique

[... ] Depuis vingt ans, a relevé le site, un quart des ouvrages primés par les quatre principaux prix littéraires (Goncourt, Goncourt des lycéens, Renaudot, Fémina) ont trait à la Deuxième Guerre mondiale. Et cette année, c’est belote et rebelote, fromage et dessert, Goncourt et Renaudot.

Certes, c’est dans ce contexte historique que Zweig, Mann, Vercors, Buzzati, Némirovsky, et d’autres encore, ont planté leur décor pour leurs plus beaux romans. Il n’y a pas de mauvais sujet, il n’y a que de mauvais écrivains. Mais quand la source d’inspiration ne se renouvelle pas, quand le thème devient aussi attendu dans un Goncourt que les roucoulements dans un Barbara Cartland, on a des raisons d’être inquiet pour la littérature française, comme un prof de lycée se soucierait de voir tous ses élèves, un jour de dissertation libre, s’engouffrer en rang d’oignons dans la même tarte à la crème [...]
La suite sur LP



Quelle plus belle démonstration de l'absurdité du politiquement correct, de la nullité de cette chasse aux prétendus nazis, de ces faux frissons devant la pseudo résurgence d'une menace brune, quand les vraies menaces sont toutes autres.

6 commentaires:

  1. Si c'est une citation du Huffington Post, il vaut mieux vérifier.

    Personnellement, le premier ouvrage qui me viendrait en tête serait les Bienveillantes, en 2006, où j'ai eu l'impression que les média sortaient des réalités de l'histoire pour tomber dans celle du mythe où on peut refaire n'importe quoi.
    En vérifiant la liste des prix, j'ai trouvé finalement que trois romans primés avant 2006, autobiographiques pour 2004, et donc, difficile d'accuser ses auteurs d'avoir voulu sacrifier à une mode, le 3ème roman de 2005 étant lié à un choix polonais, soit plutôt extérieur.

    Cette mode n'est pas une tendance sur 20ans, mais plutôt 10, et elle a un point de départ...
    Amike

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    1. Quelle citation du Huffington Post ?

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    2. L'étude sur 20ans vient du HP et est citée par LP.
      Amike

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    3. Ok, mais sur le fond qu'est-ce que ça change ? Il parait indéniable, mais vous me détromperez peut-être, que l'on assiste à une résurgence - depuis 10 ans ? 20 ans ? pour ma part je dirais pas loin de 40 ans (les Aventuriers de l'Arche Perdue 1981 par exemple)- du nazi comme mal absolu qui inspire tous les "bons" films ou livres. De même qu'on ne peut commencer un débat politique sans ostraciser le FN et le "fââââchisme" comme préalable à tout débat politique (débat en forme de soliloque le plus souvent) dans notre "beau" pays.

      Désolé pour cet usage inconsidéré de guillemets, mais en l'occurrence ça s'impose.

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  2. Le titre du journal à changé , depuis c' est JE SUIS PARTOUZE !

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    1. encore une fois nous n'avons rien vu venir. D'une certaine manière la gauche n'a pas tort de nous considérer comme des bourrins. Candeur qui est tout à notre honneur mais nous nuit énormément.

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