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samedi 18 août 2012

Fafa déraille

Laurent Fabius, l'ex premier ministre des affaires du sang contaminé et du Rainbow Warrior, déclare :
"Après avoir entendu les témoignages bouleversants des personnes ici, et je suis conscient de la force de ce que je suis en train de dire, M. Bachar El Assad ne mériterait pas d'être sur la Terre."
M. Fabius a en effet également estimé que, pour avoir mené une "opération de destruction d'un peuple", "le régime syrien devait être abattu et rapidement".
On nous ressert le même cocktail aux relents d'égouts que depuis Timisoara.

Franchement, ça viendrait d'une oie blanche on pourrait croire à la sincérité du propos pour cause de mauvaise information, mais venant d'un vieux cheval de retour, ayant usé sa carrière politique dans toutes sortes de compromissions,  ça sent le faisandé, la manœuvre belliciste.
Encore une fois on va nous le faire à la "armons-nous et partez", "vas-y, je t'encourage de loin".

Au passage on notera que Fafa se rapproche de la Turquie. Sans les doutes exprimés par les Français contre la nécessité de l'entrée de ce pays dans l'Union, doutes pris en compte malgré eux par Chirac et Sarkozy, nous aurions aujourd'hui une frontière commune avec la Syrie.
N'hésitez pas à faire savoir à votre député que vous ne tenez pas du tout à ce que cette situation change !

2 commentaires:

  1. Le fourbe Fabius cherche à crier plus fort que ses maîtres, dévoilant ainsi son insondable degré de soumission aux visées bellicistes dans la région de l'Empire américano-sioniste et son peu de considération quant aux conséquences incalculables de l'aventure guerrière dans laquelle il nous entraîne. Arrogance et mépris.

    Et pendant ce temps, " ...on laisse les médias parisiens déverser au quotidien une propagande unilatérale assourdissante en leur faveur (aux insurgés islamiques), alors qu'on la sait financée par l'Arabie Saoudite et par le Quatar, appuyée par les ambitions régionales de la Turquie. "... écrit JG Malliarakis dans L'Insolent le 31 juillet 2012.

    Il a raison.

    Ainsi nous avons un Hollande et un Fabius figurant parmi les ultras de cette agression sanglante largement téléguidée de l'extérieur contre une Syrie encore souveraine.

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  2. Fabius est un roquet qui aboie sur commande de ses maîtres...

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