Cela ne faisait qu'un an qu'on en parlait.
Houhou la surprise !..
J'espère que dans sa grande mansuétude et sa volonté souvent réaffirmée de ne s'entourer que des meilleurs, sa Luminescente Présence, notre Guide Suprême, Phare de la pensée, Empereur des Marches d'Occident et autres dépendances, n'oubliera pas celle qui illumine notre vie politique et facilite notre digestion après chacune de ses interventions médiatique, j'ai cité l'aérienne Roselyne.
Sauvez Roselyne !
Un gouvernement qui ne serait constitué que de roselynes ne serait pas crédible mais deux ou trois roselynes dans un gouvernement, cela permet de maintenir les convoitises de prétendants plus ambitieux (et qui s'estiment bien meilleurs qu'une roselyne) tout en les maintenant à distance.
RépondreSupprimerC'est fait ! On prend les mêmes et on recommence... les mêmes c... sûrement.
RépondreSupprimerC'est un vrai plaisir que d'assister à la formation de ce gouvernement.
RépondreSupprimerAu départ Sarkozy se serait bien passé de Fillon.
Mais celui-ci jouit d'une cote de popularité bien plus importante que celle de son maître.
Le relâcher dans la nature à deux ans des présidentielles serait suicidaire, donc il le garde, mais s'il le garde, il perd Borlo, donc une partie des centristes, du coup on supprime le ministère de l'identité nationale "gage" donné aux votant récupérés à l'extrême droite ;
c'est à mourir de rire
Toujours la même vieille tambouille. On exhibe du chiraquien pour faire gaulliste, on agite du tricolore pour faire FN et on espère ratisser large en 2012 et replumer une fois de plus la volaille d'extrême-droite. Mais cette fois, ça risque de marcher moins bien ! Enfin, on peut l'espérer...
RépondreSupprimerJe crois qu'il s'y entend parfaitement pour maîtriser son camp.
RépondreSupprimerPlus tard, la gauche pourra lui élever une statue pour services rendus, car après lui, la droite mettra plusieurs années à s'en remettre. Juste le temps qu'il faudra à la gauche pour livrer le pays aux mains des enturbannés .
La quête d'un idéal a complètement fuit les rangs de ce qu'il convient d'appeler la droite pour rester compréhensible. Leur idéal c'est d'être élu ou réélu, ensuite de triturer les chiffres pour présenter une courbe de bilan qui fasse illusion.