Buzyn qui n'a fait que de la figuration lors du premier tour des municipales, vient de déclarer qu'elle était au courant de la gravité de l'épidémie qui s'annonçait et à quitté son ministère en pleurant (je suis ému)
A mon avis, elle a compris qu'il faudrait un fusible à la sortie de crise et elle n'a pas envie de jouer le rôle du mouton noir.
Cher Paul-Emic, vous semblez avoir été victime d'une attaque de spambot malgré les captchas. Voyez, dans de nombreux billets récents, le commentaire de réclame pour un "lanceur de sorts" -- d'un autre côté, s'il peut nous délivrer de Foutriquet 2.0, je suis prêt à donner mon obole. ;-)
RépondreSupprimerje viens de voir ça et j'ai rétabli momentanément le contrôle des commentaires en espérant que ça dure moins qu'une quarantaine
SupprimerAch zaloooooopeuh !
RépondreSupprimerPardon, mais j'en peux plus de tous ces fokus.
insupportables en effet
SupprimerL'intrigante Agnès Buzyn, soi-disant en larmes, crache enfin le morceau en mentant une fois encore éhontément sur sa part de responsabilité dans l'affaire : il y aura des milliers de morts prédit-elle dans Le Monde. Au cœur de la matrice, rien ne pouvait lui échapper en matière de connaissances sur ce virus de laboratoire : elle a donc sans doute raison.
RépondreSupprimerLe culot d'Agnès est sans limites.
Le masque de la mort rôde et la déstabilisation du régime dépourvu d'autorité est en marche – observons l'impossibilité de la mise en place du confinement un peu partout.
C'est à la fois terrifiant et passionnant de voir se mettre en place sous nos yeux étonnés et dans la quasi indifférence des veaux un système totalitaire à visées mondialistes
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