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samedi 25 mai 2019

Première Guerre mondiale : Dans le pétrin de Verdun





Pour une fois qu'on ne traine pas Pétain dans la boue.

13 commentaires:

  1. EQUALIZER27/5/19 15:41

    Dans un docu sur Verdun j' ai pu voir le passage ou il est question du fort de vaux , Souville . Là ou mon grand oncle a été réduit en charpie (tombe ignorée) son frère (mon grand père) s' en est mieux tiré : gazé ! après sa convalescence il repartira au front . Tout ça pour en arriver à une France envahie par la vermine , dirigée par des vermines élues par des vermines .

    https://www.youtube.com/watch?v=2LnVMEKKTHw

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    1. mon grand-père maternel qui a survécu à toute la guerre avec médaille militaire est passé à Verdun comme une grande partie de l'armée française, il a eu sa dose de gaz comme tout le monde ou presque. Je ne suis pas sûr que le Breton des Monts d'Arrée aurait bien compris pour quoi il se battait s'il avait vu la France cent ans plus tard. Idem pour mon père et ses frères 30 ans plus tard.

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  2. EQUALIZER27/5/19 16:45

    si je me souviens bien , Le Gallou en avait remis une couche à propos de je ne sais plus quel connard (si nombreux) et avait dit que ne devrait se prétendre français à part entière que ceux dont un ancêtre avait combattu en 14-18 .. je n' ai pas retrouvé la citation exacte mais c' est dans cet esprit . Certes ça peut paraître "abusif" mais ça recadre les fraichement débarqués qui viennent nous dire ce qu' on doit penser dire et faire CHEZ NOUS ! "... putain de bordel de merde!" (Jean-Pierre Marielle)

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    1. oui un peu comme les quartiers de noblesse

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    2. EQUALIZER29/5/19 21:09

      Nous pouvons les revendiquer ces "quartiers de noblesse" même s' ils ne remontent pas aux croisades ;-)

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  3. N'oubliez pas que le Français, en bon héritier de la Révolution, se félicite le plus souvent de sa tolérance envers l'Autre qu'il considère comme une qualité majeure, et cela, depuis avant Verdun.

    Je relisais incidemment l'intéressant "Verdun" de Pierre Mac Orlan (1935) quand je suis tombé sur cet extrait significatif que j'avais jadis souligné à propos d'une certaine inclinaison de notre peuple :

    "Pour être juste, le Français possède d'excellentes qualités sociales dont le premier est, à mon avis, la tolérance d'où naît l'absence de préjugés philosophiques et autres. Quoi qu'en pense Mac Kay qui me paraît injuste, les hommes de couleur ne peuvent guère se plaindre de la France. C'est peut-être la seule nation au monde où un homme de couleur puisse avoir une autorité sur les Blancs, soit dans la politique, soit dans l'armée. Il lui suffira d'être en règle avec les formalités qui donnent accès à cette autorité. Ce sentiment de l'égalité relative des hommes est une survivance de la Révolution et de quelques rois antireligieux comme Philippe le Bel pour ne citer que celui-là."

    La racine du mal se trouve bien en nous, pas la peine d'aller toujours chercher le bouc.

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    1. je vais aussi être honnête, quitte à passer pour un infâme libéral, mais je n'ai rien contre cette attitude du moment que tout demeure mesuré.
      Je me réjouis de lire du Dumas, je trouve également du plaisir à regarder des peintures orientalistes et il m'est arrivé une fois d'être commandé par un homme de couleur. Les poèmes de Baudelaire dédiés à la femme noire ne me dérangent pas. Le problème vient de la submersion.
      Des sociologues (ou quelque chose d'apparenté) américains avaient défini ou plutôt découvert un seuil de tolérance qui se situait autour de 10%. Au-dessus ça se dégradait. Déjà 10% ça me parait énorme, mais à quelques pourcent tout se passe bien dès lors qu'il y a une volonté de s'intégrer dans la société d'accueil.
      Il va sans dire que nous avons explosé tous les compteurs, sociaux, ethniques cultuels et culturels.

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    2. Mais non, mais non, vous n'êtes pas un infâme libéral – j'ai lu Bastiat figurez-vous – et je vous sais honnête pour avoir fréquenté votre blog depuis de nombreuses années (il y a plus de dix ans déjà, si je n'ai pas la mémoire qui flanche).

      Je partage vos considérations en matière d'art et de littérature, c'est l'évidence même.

      Mais cette ouverture d'esprit, arrogante et présomptueuse la plupart du temps, alimentée par l'égalitarisme obligatoire prôné par les officines républicaines et poussée jusqu'à l'absurde, nous a épuisés et vaincus. De façon irrémédiable ? C'est possible.

      Cette logique est devenue infernale après 1945, en partie pour les raisons dont vous parlez.

      Pierre Duverger, ami et confident de Céline, relate cette anecdote prophétique à plus d'un titre :

      "En l'aidant à éplucher ses pommes de terre, au sous-sol, j'entends encore sa voix et l'entendrai tant que je vivrai : « La révolution... mais nous y assistons tous les jours... la seule, la vraie révolution, c'est le facteur nègre qui saute la bonne... dans quelques générations, la France sera métissée complètement, et nos mots ne voudront plus rien dire... que ça plaise ou pas, l'homme blanc est mort à Stalingrad. »

      Et les mots ne veulent déjà plus rien dire, le métissage trace son chemin, partout.

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    3. Bardèche fait le même constat dans ses deux livres (Nuremberg et la Terre Promise et Nuremberg et les Faux Monnayeurs) sur les conséquences du procès de Nuremberg . Dès 45-46 il a tiré un constat définitif sur le monde de l'Après-Guerre, que l'on peut écrire avec des majuscules car il s'agit d'une nouvelle ère.
      ps merci pour les gentils compliments.

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  4. EQUALIZER28/5/19 15:24

    Le seuil de tolérance ? 2 à 5% maxi et encore, sous une loi pénale de fer applicable à TOUS avec la même rigueur ! pas d' exception d' abattage halal ou cachère , pas de mosquée : des lieux de prière discrets tolérés , fermés au moindre écart avec retour au bled des pas contents , traitement radical pour les criminels , obligation d'un travail ou d' un revenu , pas de prise en charge des parasites ! dehors ! bref une règle commune pour tous ! l' intérêt national , le bien commun . La France on l' aime , on la respecte , ou on la quitte ! et s' il le faut on se fait dégager à grand coups de pied au cul ! et même au culte ! ;-)

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    1. Sauf que ça ne se passera JAMAIS comme ça, et nous le savons très bien, pas la peine de raconter des fables.

      Nous avons eu droit à la Taubira, matez la Sibeth, observez son arrogance et écoutez son épouvantable jactance.

      L'avenir est sombre.

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    2. Je pense que personne ici ne croit que cela se passera comme ça. nous décrivons une chose qui n'a jamais eu lieu sinon de façon fugace, l'espace d'un instant.

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