La percée de Marine Le Pen dans l’électorat catholique est intéressante : c’est aux deux bouts de la pratique religieuse qu’elle réalise ses meilleurs scores. Elle est en tête chez « les catholiques de parvis », ces gens de culture catholique mais qui ne pratiquent qu’aux grandes occasions, mais aussi chez ceux dont la pratique religieuse est intense (une à plusieurs fois par semaine). C’est chez les prétendus « catholiques pratiquants » (ceux qui vont à la messe une fois… par mois !) qu’elle réalise des scores moindres. En gros, cette petite minorité de conciliaire incapable de réfléchir par eux-mêmes et soumis à la parole de leur gourou, tant sur le plan religieux que politique, gobant n’importe quoi sans sourcilier.
Le dimanche 30 avril, un curé conciliaire nantais s’est ainsi livré à un sermon d’une rare stupidité, d’une rare inculture historique mêlée à une malhonnêteté certaine. Comme on est à quelques semaines du bac, nous allons nous offrir un petit commentaire de texte…
En effet , très intéressant!C'est ce genre "d'à peu près " qui est en train d'opérer le génocide de l'intelligence, quand ce ne sont pas des mensonges officiels prémédités...
RépondreSupprimerDans mon milieu catholique traditionaliste tous votent Marine, les seuls qui s'abstiennent ont une fidélité excessive à la monarchie.
Est-ce qu'ils votent Marine parce qu'elle a affadi son discours pour être plus présentable ou sont-ce des convaincus ?
SupprimerLa "secte conciliaire" : bien trouvé.
RépondreSupprimerL'Église officielle antéchrist et shriner, quoi.
le titre n'est pas de moi, il est de MPI
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