Un projet plus ou moins mal étudié, une concertation locale déficiente, une politisation de la contestation sans commun rapport avec les objectifs du projet, un mort "providentiel", le projet suspendu puis retiré sans raison valable autre que l'absence de volonté politique et sans prise en compte des intérêts des non-contestataires.
C'est un schéma que nous connaissons depuis le Larzac et qui se répète au moins à chaque mandat présidentiel depuis les années 60.
L’État se barre, l’État se délite.
L’État fort avec les faibles et faible avec les forts, Telle est la république que nous vivons
L’État fort avec les faibles et faible avec les forts...
RépondreSupprimerJolie formule à laquelle j'aimerais ajouter un léger bémol. Ces casseurs gauchistes ne sont forts que de l'impunité que leur laisse l'Etat...
comme souvent lors d'un état de faiblesse, la réponse est essentiellement interne
RépondreSupprimerLa force est une chose relative, elle ne l'est que par rapport à quelque chose. Certains ne le sont forts que parce qu'ils vont dans le sens du vent et profitent de son souffle.
RépondreSupprimerbien vu
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