Méchiar Alijan, d'origine arménienne, a été présenté hier au juge. Qui a ordonné sa remise en liberté.
Le juge des libertés et de la détention a tranché. Méchiar Alijan, d'origine arménienne, ne sera pas expulsé vers son pays d'origine. Cet homme, demeurant à Lorient, avait été arrêté mercredi matin à Vannes lors d'un contrôle routier.Arrêté puis gardé à vue, Méchiar Alijan, 24 ans, avait été transféré au Centre de rétention administrative de Saint-Jacques-de-la-Lande à Rennes « en vue d'une reconduite à la frontière vers l'Arménie ».
Comme le relève Maryse Butel, la présidente de la Ligue des droits de l'homme de Lorient à son retour de la Cité judiciaire de Rennes, « le juge a vérifié la légalité de la procédure. Y relevant trois erreurs, il a ordonné la remise en liberté de M. Alijan ». La section lorientaise va « travailler à sa régularisation. Mais la préfecture a tout loisir de le faire ».
Méchiar Alijan a déposé une demande d'asile en avril 2008. Elle a été refusée. Il devait quitter le territoire français le 3 mai, mais a fait appel de la décision fin juin, au tribunal administratif. Comme d'autres étrangers.(*)
La section de Lorient de la Ligue des droits de l'homme a relevé en mars, 19 contestations devant le tribunal administratif. Et pour sa part, Maryse Butel a accompagné les demandes de 15 adultes, soit 7 familles en appel devant le tribunal de Nantes.
source Ouest France
D'un côté on agite un chiffon rouge, aujourd'hui les Roms, dont on sait que de toutes façons il sera à terme sans effet et de l'autre côté, justice et associations poursuivent leur travail de sape quotidien de la nation et des institutions.
Nettoyer ces écuries d'Augias, Hercule n'y suffirait pas !
Comme disait Robert Lamoureux : Et le lendemain matin, le canard était toujours vivant !
(*) sauf erreur de ma part, le délai d'appel de la décision d'expulsion est de 2 mois, donc fin juin il est plus que probable que ce délai était largement expiré, l'expulsion était donc exécutoire, d'où le transfert dans un centre de rétention en vue de l'expulsion directe. Heureusement un petit juge gauchiste était tapi dans l'ombre.
Comme le relève Maryse Butel, la présidente de la Ligue des droits de l'homme de Lorient à son retour de la Cité judiciaire de Rennes, « le juge a vérifié la légalité de la procédure. Y relevant trois erreurs, il a ordonné la remise en liberté de M. Alijan ». La section lorientaise va « travailler à sa régularisation. Mais la préfecture a tout loisir de le faire ».
Méchiar Alijan a déposé une demande d'asile en avril 2008. Elle a été refusée. Il devait quitter le territoire français le 3 mai, mais a fait appel de la décision fin juin, au tribunal administratif. Comme d'autres étrangers.(*)
La section de Lorient de la Ligue des droits de l'homme a relevé en mars, 19 contestations devant le tribunal administratif. Et pour sa part, Maryse Butel a accompagné les demandes de 15 adultes, soit 7 familles en appel devant le tribunal de Nantes.
source Ouest France
D'un côté on agite un chiffon rouge, aujourd'hui les Roms, dont on sait que de toutes façons il sera à terme sans effet et de l'autre côté, justice et associations poursuivent leur travail de sape quotidien de la nation et des institutions.
Nettoyer ces écuries d'Augias, Hercule n'y suffirait pas !
Comme disait Robert Lamoureux : Et le lendemain matin, le canard était toujours vivant !
(*) sauf erreur de ma part, le délai d'appel de la décision d'expulsion est de 2 mois, donc fin juin il est plus que probable que ce délai était largement expiré, l'expulsion était donc exécutoire, d'où le transfert dans un centre de rétention en vue de l'expulsion directe. Heureusement un petit juge gauchiste était tapi dans l'ombre.
Les roms et les gens du voyage ne cacheraient pas la foret par hasard ?
RépondreSupprimerEt nous qui tombons dans le piège du doigt plutot que la Lune - Brave, Oh Sarko !
http://lhddt.wordpress.com/2010/08/22/politique-friction-votez-sarko/
http://lhddt.wordpress.com/2010/08/25/je-suis-un-gen-du-voyage/
C'est bien l'impression que j'en ai
RépondreSupprimer"Y relevant trois erreurs...", n'auraient-elles pas été placées là VOLONTAIREMENT ?
RépondreSupprimeron peut effectivement se demander si certains jugements ou certaines procédures ne sont pas persillées d'erreurs permettant la cassation ou bien la suspension comme ce cas particulier.
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