Paris est la capitale du pays à deux titres, capitale économique et capitale administrative.
Le rôle de capitale économique est aujourd'hui dû à la concentration de capitaux et de moyens mais qui perdurent en grande partie à son titre de capitale administrative et politique.
Depuis que dans les années 70 la ville a réacquis une certaine indépendance administrative, la démagogie et les lobbies ont acquis un poids qui ne se faisait pas sentir du temps où la ville était administrée par des fonctionnaires.
Avec la prochaine élection en mars, les projets les plus débiles vont bon train, dont le fond est de réserver Paris aux "Parisiens" en un mot aux aux bourgeois, de gauche le plus souvent, caricaturaux à souhait.
Il faut exclure de la ville le banlieusard "qui fume et roule en diésel" ou "qui boivent de la bière et mangent avec les doigts" coupable de venir les gêner dans leur entre-soi .
au passage notons qu'ils feignent d'ignorer la catastrophe démographique qui les attend dans le croissant nord-est de la capitale.
Dans ces conditions, la capitale devant être la ville de tous les Français, accessible à tous, je propose de déplacer la capitale dans une ville de province mieux située, ou carrément d'en construire une nouvelle dans la région qui sera jugée la plus adéquate. Ce chantier pharaonique dopera l'économie et les parisiens pourront jouir de leur chère (dans tous les sens du mot) ville "lumière".
L'avantage de déplacer la capitale administrative serait de pouvoir concevoir une ville moderne, maintenant que l'on sait ce qui a raté dans les villes nouvelles des années 70, dotée d'un réseau de transport adapté, de zones d'habitat aérées et saines. Tout est à faire . On pourrait, on devrait même, assortir cette construction d'une interdiction de résidence de 20 ans pour les actuels résidents parisiens pour éviter qu'ils transportent là leurs tares intellectuelles d'aujourd'hui et leurs mauvaises ondes.
Qui osera nous présenter un tel projet ?
Très longtemps parisien, j'ai un autre projet, plus utopique encore : puisque les bobos parisiens et leurs serviteurs (bientôt leurs maîtres, mais ils ne le savent pas) haïssent le populo français, qu'on entoure la ville d'une enceinte infranchissable par les hommes comme par les marchandises, afin qu'on puisse voir ce qu'ils feront, les électeurs d'HidalgogolE, privés de ceux qu'ils exploitent sans honte. Belle émission de télé-réalité, avec ambiance sans doute plus amusante que celle du film New York 1997. Prévoir une DCA et quelques missiles, pour parer au risque d'un pont aérien. (Précision pour sainte Avia : ah ah, only serious... not ! Humouuuuur !) ;-)
RépondreSupprimerPlaisanterie mise à part, votre idée n'est pas mauvaise. Mais pourquoi une interdiction de résidence limitée à 20 ans ? Je la vois bien héréditaire, moi. ;-)
De l'interdiction de résidence il faut en retenir le principe, les modalités seront à voir
SupprimerFini de rêver. Paris n'est plus qu'un trompe-l'œil où derrière les devantures flatteuses d'un âge glorieux à jamais révolu prospèrent néo-bourgeois et lie du tiers-monde, tiers-monde qui envahit tout désormais.
RépondreSupprimerAu fameux restaurant Polidor rue Monsieur-le-Prince dans le 6ème on peut entendre : « Gilberte, cache-moi ce Tamoul que nous ne saurions voir, en cuisine ! »
Réduire Paris à un espace confiné serait une mesure de salubrité publique, mais soyons réalistes, rien n'est dorénavant réformable en république judéo-maçonnique en dépit des dires de petits malins toujours enclins à chercher une solution forcément introuvable, mais pleine de promesses pour la carrière des Marine, Nicolas, François ou Marion.
Et inutile d'aller se planquer dans les campagnes françaises, en deux décennies tout au plus le sort de Gilbert, jeune gaulois, sera réglé.
LeGrandMonarque
bitchute.com/channel/legrandmonarque/
L'avenir des campagnes françaises 06 septembre 2019.
En 1981, quand nous sommes passés des tènèbres à la lumière, j'ai commencé à l'énoncer : "Hélas, pas de France à l'étranger où pourraient se réfugier les derniers Français." :-(
SupprimerEn 1981, j'étais très loin d'imaginer pareille chute. Il m'a fallu beaucoup endurer pour comprendre. :–(
SupprimerJe suis né méchant ; vous l'êtes devenu. ;-)
SupprimerPersonne, en tout cas, n'avait prévu la vitesse et l'accélération de notre chute. J'espérais pour ma part être mort avant.
Comme Anonyme, dès 81 j'avais compris que c'était la fin d'un monde . Certes j'avais bien moins de moyens et de connaissances que maintenant pour le comprendre raisonnablement mais la personnalité de menteur pathologique de Mitterrand me suffisait. Malheureusement mon pressentiment était juste.
SupprimerJe n'avais pas compris non plus l'aspect délétère de la République et pas du tout saisi le rôle ô combien nocif du peuple élu, j'étais alors complètement israélo et judéo compatible.
40 ans plus tard les jeux sont quasiment joués .
Il a fallu des analyses, des lectures et du temps pour enlever l'enduit.
j' ai du tomber NS étant petit ... ou alors par contagion .. mauvaises fréquentations faut croire .. ça et un reste de Stal ça rend pas coulant avec la lie de l' Huma ;-) Paris c' est chez moi .. c' était . Ville superbe , magnifique malgré tout ça . Un blocus j' y ai pensé , faire sortir les % récupérable et puis clac on ferme .. hermétiquement même les airs et la Seine par filets infranchissables juste pour les poissons survivants ! à finir cannibales entre bouffés , étripés .. Y' aurait bien la bombe à neutrons ? (qu'existe pas?) On peut faire une uchronie mais la réalité c' est que l' avenir ressemble à Haïti , en pire ! relire LFC "Bagatelles.." ...
RépondreSupprimerPlus les rats...
Supprimer« Paris, c'est vraiment c'qui se fait de mieux au monde ! » :–D
Gallica
Paris en 1961.
Paris et son district/Gilbert Pineau
https://gallica.bnf.fr/ark://12148bpt6k1320457m
@Danny un autre monde ...
Supprimer@ Equalizer je ne pouvais pas tomber NS étant jeune, l'Allemand était l'ennemi : un oncle mort en 40 sur la Marne à la tête de sa compagnie un autre embarqué dès fin juin avec les marins de l'île de Sein vers l'Angleterre belle guerre comme officier et mon père prisonnier en Espaagne en faisant passer des pilotes allés, camp de miranda puis échangé contre 100 kg de blé. Belle guerre aussi dans la 2° DB, libération de Paris, combats de chars à Fresnes et place de la Concorde, combats en Lorraine, libération de Strasbourg. Le nazisme ce n'était pas notre tasse de thé. Mais ces hommes valeureux n'avaient évidemment ni le recul ni les informations et puis le patriotisme effaçait tout autre sentiment à l'époque.
SupprimerNationaliste-Sociaux ! mon père râlait contre les "boches" (nos morts de 14-18) et à la dernière encore plus ! guerre , résistance .. après 81 et les années passant , moi qui avait rejoint l' horrifique "extrême-droite" (tigre de papier) ça discutait ferme "on voir que tu les a pas eu à dos les boches" .. ouais je répondais "et maintenant qu' on est occupé encore pire par des millions d' envahisseurs arabo-muzz' et nèg' t' en dis quoi ?" .. alors lui bien emmouscaillé "on a fait ce qu' on a cru bon , y' avait les boches .. mais à voir ce qu' on voit on s'demande à quoi ça a servi.." Il était triste de constater que ces guerres européennes bouffeuses d' hommes (blancs!) avaient signé notre perte pour le plus grand profit d' une "minorité" .. L' affaire est pliée , ceux qui ont voulu cette guerre on gagné .
RépondreSupprimerMon père était devenu un anti gaulliste dès 1960 (peut-être même avant) et a voté Tixier en 65 puis FN quand il a émergé, mais nazi pour lui comme pour la majorité de sa génération c'était d'abord boche .
Supprimer"nazi" est un terme caricatural inventé par la gauche (SPédé allemande)mais bref , s' agit pas de venir "nazi" mais de constater que la défaite a entrainer la notre ! toute la merde est revenue avec la victoire US .. quoi qu' on en dise ou pense , cela va au-delà du "l'idéologie" ou du "germanisme".
RépondreSupprimerMoi aussi.
SupprimerCarine
#MeToo+1 !
SupprimerLF Céline avait très bien anticipé tout ça dès 1937 (Bagatelles) qui l' a écouté ?
RépondreSupprimerétonnant d'ailleurs qu'ils l'aient laissé vivre
Supprimer