« Chercher la petite bête dans les informations inexactes qui ont été écrites sur les camps n'est pas, en notre siècle, un travail scientifique ordinaire. De quelque façon qu'on s'y prenne, on aura l'air de travailler pour les nazis. La faute en est aux premiers affabulateurs, à ceux qui ont rendu le mensonge possible et l'ont cru nécessaire à la justice de leur cause, comme si une cause juste pouvait avoir besoin de mensonge. » Albert Paraz, Préface du "Mensonge d'Ulysse", Vence, le 15 juin 1950. In Albert Paraz 'Le Gala des Vaches" "Valsez Saucisses" "Le Menuet du Haricot", L'Age d'Homme, 2003.
Vous avez visionné le document ? Les Allemands quel qu'ait été leur degré de responsabilité collective en ont tellement enduré en 45 qu'en l’occurrence on peut se poser beaucoup de questions semblables à celle de l’œuf ou de la poule, mais ces questions n'ont pas leur place dans l'espace public et je tire mon chapeau à ceux qui depuis plusieurs années souffrent pour ce qu'ils croient être la vérité . Qu'un système se voulant démocratique empêche à ce point le débat le disqualifie .
J'ai revu pour la circonstance quelques extraits de ce très bon doc' que je connaissais. Il a pour principal mérite de restituer une grande part de vérité sur la guerre d'extermination menée par les Alliés contre le peuple allemand. Il rend aussi indirectement hommage à tous ces réprouvés de l'Histoire victimes de la police de la pensée.
Dès l'adolescence mon goût pour la vérité m'a éloigné des dogmes historiques communément admis par tous, c'est une chance que l'on paye souvent très cher mais qui vous renforce dans l'adversité. A l'époque, "Au grand cirque" de Pierre Closterman que j'adulais, "La Destruction de Dresde" de David Irving me servait de contrepoint. Ça commençait donc bizarrement pour moi. "J'ai lu leur aventure" publié chez Flammarion a joué un très grand rôle dans ma prime éducation en ce domaine.
"Pourquoi il fallait que les camps d'extermination aient existé", le doc' y répond imparablement.
J'ajoute ceci :
« Le vrai fondement du procès de Nuremberg, celui qu'on n'a jamais osé désigner, je crains bien que ce soit la peur : c'est le spectacle des ruines, c'est la panique des vainqueurs. Il faut que les autres aient tort. Il le faut, car si, par hasard, ils n'avaient pas été des monstres, de quel poids ne pèseraient pas ces villes détruites et ces milliers de bombes au phosphore ? C'est l'horreur, c'est le désespoir des vainqueurs qui est le vrai motif du procès. Ils se sont voilé le visage devant ce qu'ils étaient forcés de faire et pour se donner du courage, ils ont transformé leurs massacres en croisade. Ils ont inventé a posteriori un droit au massacre au nom du respect de l'humanité. Étant tueurs, ils se sont promus gendarmes. A partir d'un certain chiffre de morts, nous savons que toute guerre devient obligatoirement une guerre du Droit. La victoire n'est donc complète que si, après avoir forcé la citadelle, on force aussi les consciences. A ce point de vue, le procès de Nuremberg est un appareil de la guerre moderne qui mérite d'être décrit comme un bombardier. » Maurice Bardèche, Nuremberg ou la Terre Promise.
A Hambourg, « les cibles des bombes n'étaient nullement des installations militaires, mais des civil. » Keith Lowe, Inferno. La dévastation de Hambourg 1943. Perrin. p. 338.
Bardèche développe parfaitement bien la dernière phase de mon post. Il fallait que les camps dévastés par la malnutrition et le typhus aient été des camps d'extermination pour justifier les bombardements au phosphore et le martyre des populations civiles. Toutes proportions gardées, ça rappelle l'affaire des "armes de destruction massive" de Saddam Hussein.
Bardèche, il faut rendre à César ce qui est à César, l'avait écrit juste après la guerre. Même Rassinier le dit à sa façon, son témoignage corrobore parfaitement ce que l'on constate in situ . Des camps très rudes mais où la mort était une conséquence pas un but.
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« Chercher la petite bête dans les informations inexactes qui ont été écrites sur les camps n'est pas, en notre siècle, un travail scientifique ordinaire. De quelque façon qu'on s'y prenne, on aura l'air de travailler pour les nazis. La faute en est aux premiers affabulateurs, à ceux qui ont rendu le mensonge possible et l'ont cru nécessaire à la justice de leur cause, comme si une cause juste pouvait avoir besoin de mensonge. »
RépondreSupprimerAlbert Paraz, Préface du "Mensonge d'Ulysse", Vence, le 15 juin 1950. In Albert Paraz 'Le Gala des Vaches" "Valsez Saucisses" "Le Menuet du Haricot", L'Age d'Homme, 2003.
Vous avez visionné le document ? Les Allemands quel qu'ait été leur degré de responsabilité collective en ont tellement enduré en 45 qu'en l’occurrence on peut se poser beaucoup de questions semblables à celle de l’œuf ou de la poule, mais ces questions n'ont pas leur place dans l'espace public et je tire mon chapeau à ceux qui depuis plusieurs années souffrent pour ce qu'ils croient être la vérité . Qu'un système se voulant démocratique empêche à ce point le débat le disqualifie .
SupprimerJ'ai revu pour la circonstance quelques extraits de ce très bon doc' que je connaissais.
SupprimerIl a pour principal mérite de restituer une grande part de vérité sur la guerre d'extermination menée par les Alliés contre le peuple allemand. Il rend aussi indirectement hommage à tous ces réprouvés de l'Histoire victimes de la police de la pensée.
Dès l'adolescence mon goût pour la vérité m'a éloigné des dogmes historiques communément admis par tous, c'est une chance que l'on paye souvent très cher mais qui vous renforce dans l'adversité. A l'époque, "Au grand cirque" de Pierre Closterman que j'adulais, "La Destruction de Dresde" de David Irving me servait de contrepoint. Ça commençait donc bizarrement pour moi. "J'ai lu leur aventure" publié chez Flammarion a joué un très grand rôle dans ma prime éducation en ce domaine.
"Pourquoi il fallait que les camps d'extermination aient existé", le doc' y répond imparablement.
J'ajoute ceci :
« Le vrai fondement du procès de Nuremberg, celui qu'on n'a jamais osé désigner, je crains bien que ce soit la peur : c'est le spectacle des ruines, c'est la panique des vainqueurs. Il faut que les autres aient tort. Il le faut, car si, par hasard, ils n'avaient pas été des monstres, de quel poids ne pèseraient pas ces villes détruites et ces milliers de bombes au phosphore ? C'est l'horreur, c'est le désespoir des vainqueurs qui est le vrai motif du procès. Ils se sont voilé le visage devant ce qu'ils étaient forcés de faire et pour se donner du courage, ils ont transformé leurs massacres en croisade. Ils ont inventé a posteriori un droit au massacre au nom du respect de l'humanité. Étant tueurs, ils se sont promus gendarmes. A partir d'un certain chiffre de morts, nous savons que toute guerre devient obligatoirement une guerre du Droit. La victoire n'est donc complète que si, après avoir forcé la citadelle, on force aussi les consciences. A ce point de vue, le procès de Nuremberg est un appareil de la guerre moderne qui mérite d'être décrit comme un bombardier. »
Maurice Bardèche, Nuremberg ou la Terre Promise.
A Hambourg, « les cibles des bombes n'étaient nullement des installations militaires, mais des civil. »
Keith Lowe, Inferno. La dévastation de Hambourg 1943. Perrin. p. 338.
Bardèche développe parfaitement bien la dernière phase de mon post. Il fallait que les camps dévastés par la malnutrition et le typhus aient été des camps d'extermination pour justifier les bombardements au phosphore et le martyre des populations civiles.
SupprimerToutes proportions gardées, ça rappelle l'affaire des "armes de destruction massive" de Saddam Hussein.
Je crois que c'est la clef.
RépondreSupprimerTout est dit.
Bardèche, il faut rendre à César ce qui est à César, l'avait écrit juste après la guerre. Même Rassinier le dit à sa façon, son témoignage corrobore parfaitement ce que l'on constate in situ . Des camps très rudes mais où la mort était une conséquence pas un but.
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