Un président qui se pavane à l'étranger pendant que le premier ministre a les mains dans le cambouis ça devrait rappeler quelque chose aux anciens qui ont vécu mai 1968.
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Je ne sais pas ce qu'on lui fait hors cadrage, mais il n'aime pas |
Ensuite De Gaulle avait fait une petite fugue chez Massu pour se rassurer et rencontrer de hauts responsables soviétiques qui étaient à même de raisonner PC et CGT.
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Sa Suffisance Ier |
Il n'y a plus d'Union Soviétique et la CGT échappe à tout contrôle, à moins qu'elle ne soit contrôlée par la CIA qui chercherait ainsi à tempérer les velléités (affirmées en tout cas) de limiter ou refuser le TAFTA, comme en 68 lorsqu'il s'agissait de rappeler De Gaulle à l'ordre. Pendant ce temps là, notre grenouille présidentielle enfle sous les flatteries des maitres du monde jusqu'à éclater .
Ne riez pas on en a vu de pires.
Ce matin le périh avait un petit air de mai 68, les routiers bloquaient le périphérique intérieur (je n'en ai pas entendu parler mais je l'ai vu de mes yeux), il y avait un je ne sais quoi dans l'air, un vibrato prérévolutionnaire qui me rappelait ma jeunesse.
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ça n'a pas trop changé, on notera le manque cruel de créativité et la grosse fôte. En dictée en 68 c'était - 4 points direct !. |
Je vais avoir l'air stupide, mais elle est où la faute ?
RépondreSupprimer"Vive les occupations ..." au lieu de "Vivent les occupations ..." (subjonctif présent 3 ème personne du pluriel de vivre : (Que) vivent les occupations, aujourd’hui admis mais faute grave en 68.
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