La peur règne sur la ville. Ce n’est pas le très bon film d’Henrilire la suite :
Verneuil, mais bien la réalité quotidienne de Calais, devenue depuis le
camp de Sangatte, la ville maudite. Les témoignages des Calaisiens, si
peu relayés par les médias aux ordres d’un pouvoir mollasson, sont
éloquents. Additionnés les uns aux autres, ils nous font frémir de
honte. Comment peut-on laisser une ville française mourir à petits feux ?
Mourir de peur ?
Écoutez ce marin-pêcheur sur la vidéo de Charlotte d’Ornenas
déclarer : « On a peur, peur de sortir. Peur d’être volé. » « Mon radeau
de survie a disparu une nuit, et je ne peux plus sortir en mer ».
Laissez votre vélo 5 minutes, et vous le retrouverez dans la
« jeuneguelle ». Sur la rocade, malgré la présence de mille policiers,
CRS et gendarmes, qu’un camion ralentisse, et il est aussitôt pris
d’assaut, ses cartons dévalisées, son chauffeur parfois frappé. « Le
trafic des transporteurs a d’ailleurs fortement ralenti, affirme un
habitant. Leurs patrons préfèrent les faire passer par la Belgique ».
La peur s’est installée sur Calais… Témoignages
Une attitude plus digne d'un certain général aurait redonné de l'espoir à tous ces pauvres gens . Un beau gâchis !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Afin d'éviter que votre commentaire ne soit détruit, veuillez indiquer un pseudo.
Les commentaires injurieux ou ne respectant pas de manière évidente la multitude de lois liberticides qui nous sont imposées sont susceptibles d'être supprimés. Faites preuve d'intelligence et d'imagination !
Les auteurs des commentaires sont responsables de leurs propos.
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.