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jeudi 28 avril 2011

France . Pays de cocagne ! (4)

MAIS POURQUOI NOUS AIMENT-ILS TANT

Vous êtes maintenant bien installé, vous avez trouvé un travail ou non, peu importe, le RSA est là pour y pourvoir. Les différentes associations ont œuvré pour vous loger, au pire vous squattez un immeuble pris d'assaut par des bobos-zorros-urbains.
Il va falloir penser à vous assurer un revenu stable pour les quinze à vingt ans à venir d'une manière qui vous rende inexpulsable.
Il n'existe pas trente six façons, soit vous épousez un résident ou une résidente légale, le mieux étant qu'il ou elle ait la nationalité française, mais si vous êtes encore un clandestin, sortir du bois risque d'être une démarche pleine d'imprévus.
Il va donc falloir faire des enfants. D'ailleurs vous êtes issu d'une tradition où faire des enfants est encore considéré comme une chose normale et nous ne vous critiquerons pas là-dessus. Néanmoins, faire des enfants en France quand on est un immigré, légal ou non, c'est un acte politique et une garantie de sécurité. Cela rend votre situation beaucoup plus sûre.
Et puis il y a quand même des avantages sonnants et trébuchants
Abordons les allocations familiales.

LES ALLOCATIONS FAMILIALES

Vous avez au moins 2 enfants à charge âgés de moins de 20 ans.
Vous avez droit aux Allocations Familiales, quels que soient votre situation familiale et le montant de vos revenus.

Montants valables jusqu'au 31/12/11

Vous recevrez chaque mois :
si vous avez 2 enfants  125,78 €
si vous avez 3 enfants  286,94 €
ajouter, par enfant en plus  161,17 €
En plus des allocations familiales, pour vos enfants âgés de plus de 11 et 16 ans, vous recevrez une majoration ; son montant est de :
35,38 € par enfant de 11 à 16 ans,
62,90 € par enfant de plus de 16 ans.
Pour vos enfants nés après le 30 avril 1997, vous ne recevrez pas ces deux majorations ; vous recevrez une majoration de 62,90 € à partir du mois suivant leur 14ème anniversaire.



On voit que le système pousse d'une part à faire plus de trois enfants, d'autre part à entretenir une famille de jeunes enfants tant que la femme peut en avoir.
Cette démarche qui serait une bonne démarche nataliste si elle était réservée au nationaux, est une catastrophe dans le contexte immigrationniste que nous connaissons.
En effet, bien que les revenus des allocations familiales ne soient pas négligeables, ils ne peuvent se substituer à un second salaire dans le cadre d'une famille de un à trois enfants conforme au mode de vie européen. Par ailleurs, depuis les années 60, la société a été poussée à un mode de vie hyper-consumériste dont les nouveaux migrants, souvent très religieux, sont épargnés, au moins pour un temps.
Ce n'est pas un hasard si les dernières grandes familles françaises de souche sont le plus souvent des familles très chrétiennes également résistantes à la société de consommation. Or ce mode de vie contemporain considère tout à la fois l'enfant comme un objet de plaisir, parfois dans les pires sens du terme et comme un obstacle au désir de jouir. Où les révoltés de mai 68 marchent dans la main avec les grands-prêtres du consumérisme !
La règle est donc un enfant mais pas trop...
Dans ces conditions, ne vaudrait-il pas mieux transférer les allocations familiales par exemple sur un crédit d'impôt, sachant que par définition, l'assisté ne paye pas d'impôts et qu'ainsi il ne pourrait profiter d'une incitation nataliste.

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