On a envie de dire "Et alors ?"
Tant que les pays du Nord continueront à être heureux d'être envahis par cette piétaille inculte et sectaire, que les grosses femmes blondes seront à la recherche de gros sexes bien durs et bien noirs. Tant qu'on fera dans le misérabilisme en considérant que des délinquants sont des victimes et non des agresseurs, tant qu'on en redemande tant et plus, tant que les associations et les services officiels se préoccuperont plus des envahisseurs que des envahis, tant que l’État niera le droit au citoyen de défendre son territoire et les siens et n'utilisera son monopole de la violence que pour faire rentrer dans le rang ceux qui crient à la trahison, pourquoi pleurerions nous sur ce bonheur insoutenable que nous préparent les mondialistes ?
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Nous rappellerons à l'imprécateur un tantinet anti-boche :
RépondreSupprimer1. Qu'il serait tout de même bon de « balayer » devant sa propre porte dans cette France, patrie des droits de l'homme, où l'on se pique de deviser de tout, entre gens fins et subtils, très avertis du fléau dont il serait vain de faire semblant de rechercher la cause, le déplorant, le vitupérant, le décrivant, l'analysant, l'exécrant, l'accablant d'imprécations, mais s'en tenant là. « Mais que voudriez-vous qu'on fît ? » entend-on ici et là. La même désespérante aboulie de chaque côté du Rhin. La même fatigue "démocratique" du troupeau qui file tout droit à l'abattoir attendant encore et encore l'ultime sanction venant des urnes. Ces gens sont-ils honnêtes ?
Ils auront l'Apocalypse.
2. Qu'un esprit curieux de tout doit s'informer en dehors des sentiers battus – Salut à Emmanuel Ratier ! Requiescat in pace ! – et sortir du confort intellectuel hérité de l'acception globale de la narration historique des « vainqueurs » de 1945, même si cela coûte, remet en cause bien des idées reçues, et ne sert peut-être plus à grand chose. Les pistes ne manquent pas.
Dans l'article "Les Américains ont-ils organisé une invasion de notre Europe ?", "Boulevard Voltaire", Nicolas Bonnal écrit : « En organisant le chaos en Afrique et l'invasion en Europe, en se servant aussi de politiciens à leur cause (Renzi, Merkel, Hollande), les Américains appliquent les principes néo-machiavéliens de Leo Strauss et des stratèges à la Wolfowitz, ex-trotskistes qui veulent gouverner par le chaos des entités de qui ils auront retiré toute réalité humaine et historique, les patries devenant une base, un terrain vague, un drugstore, un centre d'accueil. »
Conclusion éclairante à mettre en parallèle avec ce qu'écrit Jacques Attali dans son dictionnaire du XXIe siècle dont on peut retrouver des morceaux choisis dans le blog Bouddhanar bouddhanar.blogspot.fr/
qui est anti boche fut-ce "un tantinet" ?
RépondreSupprimerNous sommes dans la phase suivante, après suppression des frontières et des monnaies.
RépondreSupprimerNous y sommes bien. D'ailleurs Mimolette s'est offusqué que certains suggèrent un contrôle aux frontières intérieures de l'Union
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