Alors que les bourses ouvertes ce jour (Tel Aviv, Djeddah) s'effondrent (-6%), Alain Minc a parlé, JSS news (blog d'information israélien) l'a écrit c'est la faute de l'organisme de notation Standard & Poors accusé de "jouer à l'enfant gâté" ou "de se faire plaisir".
Le système confronté à sa propre turpitude commence à manquer d'arguments à usage des gogos.
Si quelqu'un me dit qu'il va me donner une note, je lui dirai que ce n'est pas son point de vue qui changera le jugement que j'ai sur moi-même.
RépondreSupprimerLes médias arrivent à faire gober n'importe quoi aux gens. Ces histoires de notes sont d'un ridicule...
je crois que vous n'avez pas bien compris le système des notes.
RépondreSupprimerLes agences de notation qualifient la capacité d'un État emprunteur à pouvoir rembourser ses dettes.
Le prêteur qui cherche à placer ses liquidités, parce que ça fait longtemps que l'on ne stocke plus celles-ci sous forme de lingots au fond d'une caverne, va le faire en se fiant, entre autres, à l'avis des agences. Mais rien n'empêche de placer son argent chez quelqu'un qui est noté triple D , vous avez juste plus de probabilités de ne pas en revoir un kopeck.
Cela n'a rien à voir avec l'estime que l'on peut avoir de soi même.