L'incident naval en mer d'Azov, dû à une provocation ukrainienne, l'élection comme présidente de la Géorgie d'un ex-ambassadeur de France en Géorgie, bi-nationale franco-géorgienne à la suite d'élections largement truquées, le refus de Trump de dialoguer avec Poutine, c'est à dire de désamorcer la machine infernale, le soutien des USA à l'Arabie Saoudite dans une guerre contre des miséreux, nous font nécessairement penser aux années qui ont précédé les deux guerres mondiales du siècle passé.
Il y a une volonté du camp de la guerre, l'Occident en l'occurrence de pousser les Russes à la faute pour des intérêts purement stratégiques et économiques qui n'ont rien avoir avec la défense des opprimés ou des DDH.
Ces jours derniers, une attaque aux gaz a été perpétrée à Alep depuis la poche d'Idlib. Qui en parle parmi les médias occidentaux ? Fausse ou vraie, cette attaque aurait mérité de la part des journalistes au moins autant d'attention que les précédentes attaques bidons commises dans le camp adverse.
Je vous le dis, nous sommes à des années lumières d'avoir le beau rôle dans les exactions commises par l'Occident depuis l'élimination de Khadafi .
Trucage et mensonge sont devenus une routine en Occident dans une grande collusion entre le pouvoir, la Banque et les Medias et ça ne pourra que mal se terminer. L'affaire des gilets jaunes, quelle qu'en soit l'issue et le malaise social qui existe en Occident, constituent des prémices à la crise que tous sentons venir.
Comme l'a dit il n'y a pas très longtemps Poutine, "on nous pousse à la guerre mais nous aurons une ultime satisfaction, nous, nous irons au paradis" et je suis pas loin de le croire.
Une analyse intéressante mais malheureusement pas concluante du "Saker".
RépondreSupprimerCa craint, ça craint, oui, on le voit mais quoi d'autre?
rien ou pas grand chose car nous n'avons aucun pouvoir sinon de faire des sittings
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