La question bête que j'en viens à me poser, est: quel est l'intérêt des "autorités", concernant le 11/09, Londres, Boston, Paris, d'avoir organisé tous ces exercices coordonnés (militaires, police, secours, etc) le matin même des attentats ?
Si l'on en vient à réaliser des opérations sous faux drapeau, pourquoi laisser derrière soi des indices aussi flagrants?
D'abord les indices ne sont pas aussi flagrants pour la quasi totalité de la population, puisque ceux que le système nomme les "complotistes", comme si le complot venait d'eux, sont peu nombreux et que parmi eux, encore moins ont la capacité de démontrer leurs affirmations ou leur ressenti par manque d'accès aux informations classifiées ou dissimulées. Démontrer par exemple qu'il y avait de la termite dans les Twin Towers n'est évidemment pas à ma portée pour ne citer que moi.
L'intérêt d'organiser des exercices portant précisément sur le même thème que les évènements allant se dérouler quelques heures plus tard, permet d'effectuer une répétition, sans que les participants ne le sachent et de garder le contrôle total sur le déroulement des actes. C'est ainsi que ce qu'on présente comme un raté, le suicide des deux terroristes au stade de France sur une esplanade vide n'est probablement pas un raté mais un message subliminal envoyé au peuple : "ça aurait encore pu être pire". Pour moi il a peu de doute qu'on ne les ait fait sauter "à l'insu de leur plein gré" pour reprendre une phrase célèbre.
La finalité de tout cela a très bien été décrite par Eric Werner, même s'il n'avait probablement pas imaginé un tel niveau de manipulation, stupéfier les populations et renforcer l'arsenal répressif et de contrôle de masse des pays "démocratiques" en se servant d'actes de délinquance et aujourd'hui de terrorisme.
J'entends ce que vous dites, et la répétition de ces scénarios (exercices du matin / attentats la journée) ne peut plus relever du simple hasard. On est ok.
Mais enfin, on parle d'exercices mettant à l'oeuvre des centaines, voire des milliers de professionnels (militaires, policiers, secouristes, contrôleurs aériens, agences de sécurité privées, etc.) dont on espère que pas un ne fera le lien entre les attentats et les exercices qu'ils ont réalisé le matin même ?
Or, certains font le lien, des témoignages existent et finissent par fuiter. C'est là que je ne comprends pas comment ceux qui organisent ces opérations peuvent prendre de tels risques. Visiblement, ils sont calculés. Merci pour votre réponse.
je vais probablement vous décevoir, car ne faisant pas partie des hautes sphères, très hautes sphères, qui planifieraient ces actes, je ne peux pas vous expliquer les mécanismes qui font que certains admettent comme pain béni ce qui fait bondir , poils hérissés, les autres. Je dirai que l'homme est naturellement crédule surtout si la Vérité lui est affirmée par celui qui détient l'autorité et que la réponse est peut-être là : une magnifique connaissance des mécanismes psychologiques expérimentés dans les universités américaines dans les années 50/70. Vous vous souvenez probablement de quelques unes de ces expérimentations comme le fait de torturer quelqu'un jusqu'à la mort (torture heureusement fictive pour le torturé) dès lors que c'était avalisé par l'autorité.
Ce principe psychologique associé à la parcellisation des informations et des actes, la désinformation, la focalisation des médias sur une partie de l'information, la peur qu'a tout fonctionnaire de se faire sanctionner, peut-être même éliminer pour ceux qui sont au fait de certaines pratiques, peut expliquer une certaine passivité, voire une passivité active, c'est à dire la volonté de ne pas savoir. J'ai vécu moi-même une expérience proche de cela et je vous assure qu'on n'a pas vraiment envie d'en parler car tout le monde autour de soi devient suspect. Pourtant il existe toujours des témoignages qui montrent que tout ne s'est pas vraiment passé comme on le raconte.
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La question bête que j'en viens à me poser, est: quel est l'intérêt des "autorités", concernant le 11/09, Londres, Boston, Paris, d'avoir organisé tous ces exercices coordonnés (militaires, police, secours, etc) le matin même des attentats ?
RépondreSupprimerSi l'on en vient à réaliser des opérations sous faux drapeau, pourquoi laisser derrière soi des indices aussi flagrants?
D'abord les indices ne sont pas aussi flagrants pour la quasi totalité de la population, puisque ceux que le système nomme les "complotistes", comme si le complot venait d'eux, sont peu nombreux et que parmi eux, encore moins ont la capacité de démontrer leurs affirmations ou leur ressenti par manque d'accès aux informations classifiées ou dissimulées.
SupprimerDémontrer par exemple qu'il y avait de la termite dans les Twin Towers n'est évidemment pas à ma portée pour ne citer que moi.
L'intérêt d'organiser des exercices portant précisément sur le même thème que les évènements allant se dérouler quelques heures plus tard, permet d'effectuer une répétition, sans que les participants ne le sachent et de garder le contrôle total sur le déroulement des actes.
C'est ainsi que ce qu'on présente comme un raté, le suicide des deux terroristes au stade de France sur une esplanade vide n'est probablement pas un raté mais un message subliminal envoyé au peuple : "ça aurait encore pu être pire". Pour moi il a peu de doute qu'on ne les ait fait sauter "à l'insu de leur plein gré" pour reprendre une phrase célèbre.
La finalité de tout cela a très bien été décrite par Eric Werner, même s'il n'avait probablement pas imaginé un tel niveau de manipulation, stupéfier les populations et renforcer l'arsenal répressif et de contrôle de masse des pays "démocratiques" en se servant d'actes de délinquance et aujourd'hui de terrorisme.
J'entends ce que vous dites, et la répétition de ces scénarios (exercices du matin / attentats la journée) ne peut plus relever du simple hasard. On est ok.
SupprimerMais enfin, on parle d'exercices mettant à l'oeuvre des centaines, voire des milliers de professionnels (militaires, policiers, secouristes, contrôleurs aériens, agences de sécurité privées, etc.) dont on espère que pas un ne fera le lien entre les attentats et les exercices qu'ils ont réalisé le matin même ?
Or, certains font le lien, des témoignages existent et finissent par fuiter. C'est là que je ne comprends pas comment ceux qui organisent ces opérations peuvent prendre de tels risques. Visiblement, ils sont calculés. Merci pour votre réponse.
je vais probablement vous décevoir, car ne faisant pas partie des hautes sphères, très hautes sphères, qui planifieraient ces actes, je ne peux pas vous expliquer les mécanismes qui font que certains admettent comme pain béni ce qui fait bondir , poils hérissés, les autres.
SupprimerJe dirai que l'homme est naturellement crédule surtout si la Vérité lui est affirmée par celui qui détient l'autorité et que la réponse est peut-être là : une magnifique connaissance des mécanismes psychologiques expérimentés dans les universités américaines dans les années 50/70. Vous vous souvenez probablement de quelques unes de ces expérimentations comme le fait de torturer quelqu'un jusqu'à la mort (torture heureusement fictive pour le torturé) dès lors que c'était avalisé par l'autorité.
Ce principe psychologique associé à la parcellisation des informations et des actes, la désinformation, la focalisation des médias sur une partie de l'information, la peur qu'a tout fonctionnaire de se faire sanctionner, peut-être même éliminer pour ceux qui sont au fait de certaines pratiques, peut expliquer une certaine passivité, voire une passivité active, c'est à dire la volonté de ne pas savoir.
J'ai vécu moi-même une expérience proche de cela et je vous assure qu'on n'a pas vraiment envie d'en parler car tout le monde autour de soi devient suspect.
Pourtant il existe toujours des témoignages qui montrent que tout ne s'est pas vraiment passé comme on le raconte.